Le bonheur c’est, se départir du jugement, des passions qui troublent l’âme, tout en acceptant son destin. Ne se préoccuper que de ce qui dépend de soi, savoir s’estimer à sa juste valeur ni plus, ni moins. C’est également vivre dans le présent sans espoir pour demain. Mais aussi, vivre selon sa et la nature, le tout dans la constance de la vertu. Le bonheur c’est, le contentement de l’âme.
L’argent ne fait pas le bonheur, au contraire ceux qui mettent le bonheur dans l’argent finissent par tomber dans la passion de l’amour de la richesse. Mettre le bonheur dans l’argent, c’est prendre le risque de vivre dans un état de frustration permanente. Il n’y en aura jamais assez ! Et le jour où celui-ci n’est plus disponible, la dépression s’installe. L’argent pour pallier à la nécessité, oui. Mais pas pour être heureux. Courir après lui, c’est devenir son esclave.
Cher lecteur, aujourd’hui, j’ai décidé de te parler d’un sujet parfois flou et complexe : les différents types d’éditions.
Je vais tenter de vulgariser au plus pour que cet article soit accessible à tous. Sans plus attendre, voici les trois grands types d’éditions :
L’auto-édition (AE)
L’édition à compte d’auteur / participatif
L’édition à compte d’éditeur
L’auto-édition :
L’AE est un type d’édition jusqu’il y a peu encore méconnu et qui gagne en popularité ces dernières années. Avec ce mode d’édition, pas de maison d’édition, l’éditeur, c’est l’auteur. L’auteur a alors pour charge non seulement d’écrire son livre, de le relire/réécrire, corriger… mais également de faire tout le travail d’édition qui suit (maquette, mise en page, communication, déclaration à la BNF…). Bien évidemment, l’auteur n’est pas obligé de faire tout cela seul et peut faire appel à des professionnels pour l’épauler tout au long de son parcours (correcteur pro, bêta-lecteur pro, graphiste…). Contrairement aux idées reçues, un auteur en AE n’en est pas moins un auteur professionnel ! De très bons textes sont publiés en AE tous les ans. N’hésitez pas à lire les œuvres de R.Oncedor (dont sa saga Masques et Monstres qui est extraordinaire), Lucille Chaponnay et j’en passe !
L’édition à compte d’auteur / participatif :
L’édition à compte d’auteur / participatif, qu’est-ce que c’est ? C’est passer par un prestataire de service (aussi appelé maison d’édition à compte d’auteur / participatif) qui, en échange d’une certaine somme (souvent élevée), s’occupe du travail d’édition du livre (correction, mise en page, maquette, déclaration à la BNF) dans une certaine limite. Je vous parlerai plus amplement de mon expérience dans une ME à compte d’auteur si vous le souhaitez, mais il y a parfois un manque de professionnalisme et de communication avec ce type d’édition. Bien évidemment, cela ne veut pas dire que les auteurs sont mauvais, pour mon cas (je ne pense pas être une piètre auteure), je ne m’étais tout simplement pas renseignée sur les différents types d’éditions en ME avant de publier mon livre en ME à compte d’auteur.
L’édition à compte d’éditeur :
L’édition à compte d’éditeur, quésaco ? C’est passer par une maison d’édition dite “classique” qui finance elle-même l’édition du livre (la correction, la mise en page, la maquette…) et qui fait également de la communication. Les auteurs édités en ME à compte d’éditeur ont souvent plus de crédits, notamment ceux édités en “grande ME” (Hachette, Gallimard, Harper Collins…) mais il ne faut pas oublier qu’un auteur est crédible, et ce, peu importe le type d’édition qu’il a choisi.
NB : un auteur est, selon Le Robert, “une personne qui écrit un livre”. Il n’y a pas besoin d’être édité pour être auteur !
Ce post a été écrit en toute bienveillance, si j’ai commis des impaires ou si je n’ai pas été claire concernant certains sujets, n’hésite pas à venir m’en parler !
Cher lecteur, aujourd’hui c’est un sujet plutôt sensible et qui me tient à cœur que je souhaite aborder avec toi.
J’ai nommé : Supporter les droits des minorités dans les écrits !
Pourquoi est-ce si important de supporter les droits des femmes, personnes racisées, personnes membres de la communauté LGBTQIA+, personnes porteuses de handicaps (parfois invisibles) et j’en passe ? Et, pourquoi est-ce que cela me tient tant à cœur ?
Je vais tenter de répondre à ces questions de la manière la plus succincte possible tout en apportant une réponse complète.
D’un point de vue sociétal, il est important, à mes yeux, de supporter les droits des minorités par l’écrit, car l’écrit est un moyen pacifique de militer pour l’égalité des droits. De plus, il est important, à mes yeux, d’inclure ces minorités dans les écrits afin d’habituer et d’éduquer les lecteurs à un monde inclusif. Cela peut passer par la lutte contre les inégalités dans un monde fantastique/fantasy (dans
, Rosabella lutte contre les inégalités entre sorciers et non-sorciers, je fais alors référence à la lutte contre les inégalités entre personnes blanches et personnes racisées). Cela peut également passer par la lutte contre les inégalités entre les hommes et les femmes/personnes non-binaires/agenre…, ou bien par la lutte pour les droits des personnes membres de la communauté LGBTQIA+ ou même la lutte pour l’inclusivité pour les personnes porteuses de handicaps (parfois invisibles).
Je ne suis bien évidemment pas une élève parfaite en la matière et n’utilise pas toujours un schéma aussi inclusif que je l’aimerais dans mes écrits, mais, si cela t’intéresse d’en savoir plus à propos de mes écrits inclusifs, n’hésite pas à lire De Sang et De Raison,
Maintenant, venons-en au point de vue personnel. Pourquoi est-ce que cette lutte contre les inégalités me tient tant à cœur ?À vrai dire, il y a plusieurs raisons, dont certaines que je vais garder pour moi car je ne suis pas prête à m’ouvrir complètement sur mes propres handicaps invisibles. Cependant, je vais tenter d’être le plus transparente et ouverte possible.
Concernant les inégalités personnes blanches/personnes racisées, je m’inspire beaucoup de l’actualité et de ce que je peux constater dans la vie de tous les jours. Je suis souvent révoltée de voir, par exemple, qu’une personne blanche a plus de chances de se voir employée qu’une personne racisée à compétences et diplômes égaux.
De plus, en tant que personne de sexe féminin, je suis confrontée quasi quotidiennement aux inégalités parfois si bien intégrées dans le cerveau des personnes qu’elle en devient invisible à leurs yeux (une femme ne peut pas porter de grosses charges, une femme doit forcément avoir des enfants pour être épanouie, une femme ne peut pas faire de travail manuel, une femme est trop sensible pour avoir une place de dirigeant…), et je ne vous cite que les inégalités les plus “douces”.
Par ailleurs, moi-même membre de la communauté LGBTQIA+ en tant que pansexuelle, j’en ai assez d’entendre que le fait d’être attiré par plus d’un genre n’est pas normal, que ce n’est qu’une phase, que ça me passera quand j’aurai trouvé l’homme idéal… Et puis, spoiler alert, si je termine ma vie avec un homme, je n’en serai pas moins pansexuelle. Je veux donc créer des relations LGBTQIA+ dans mes écrits pour militer pour la visibilité et les droits de cette communauté.
Dernièrement, je trouve important de lutter pour les droits et l’inclusivité des personnes en situation de handicap (notamment de handicap invisible) car je suis moi-même porteuse de handicaps invisibles et que j’ai grandi aux côtés de mon grand frère porteur de TSA SDI (Trouble du Spectre de l’Autisme Sans Déficit Intellectuel) anciennement appelé Autisme Asperger (si vous êtes intéressés pour savoir pourquoi le terme d’Asperger n’est plus employé, n’hésitez pas à faire des recherches ou me contacter, je ferai un post à ce propos avec plaisir !). Mes parents ont dû se battre pour que mon frère puisse rester dans un cursus scolaire classique et il a dû se battre durant toute sa scolarité contre le harcèlement. Cela me semble être une minime contrepartie de lutter pour ses droits et ceux des personnes dans son cas. Je n’ai toujours pas écrit de personnages neurodivergents mais cela fait partie de mes projets à court ou moyen terme !
J’espère que ce post t’aura été utile et qu’il t’aura donné envie de lire plus de livres inclusifs !
N’hésite pas à partager des titres en commentaire !
> Extrait de Résilience Silencieuse, publié chez L’Harmattan
Note d’intention :
Ce poème traite de l’indicible, de ces blessures de l’enfance qui restent muettes mais visibles dans les regards d’adulte. Sans nommer, il évoque le silence, l’oubli, la résilience invisible.
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