*******
Cette nouvelle vous sera contée par une charmante jeune femme à la voix douce et cristalline, nommée Lys. Cette dernière découvre en même temps que vous cette petite histoire originale alors qu’elle vous en fait la lecture.
Je vous l’offre donc sous une forme particulière, non conventionnelle et qui, je l’espère, saura vous surprendre et vous offrir un petit moment de légèreté. Ne soyez pas étonné de la présence, par instant, d’un langage familier, si je l’avais retiré, cette comptine n’aurait plus le même charme.
Sachez qu’elle a été écrite initialement dans le cadre d’un défi d’écriture spécial Saint-Valentin, sur le thème d’une scène d’amour, où devaient être placés les mots : Saint-Valentin, apocalypse, rencontre et amour. Je conserverai donc dans ce court récit le placement de ces quatre mots.
Je vous laisse, désormais, en compagnie de Lys, mais ne vous inquiétez pas, je ne suis pas loin…
*******
Je suis Lys, votre narratrice, qui va donc vous conter l’histoire d’un être hors du commun et un peu à part : Sénestro. En tout cas, sachez que c’est ainsi que Galatéa me l’a vendu.
Sénestro est un escargot unique en son genre ou presque. Oui, oui ! Vous avez bien entendu ! Elle n’a pas fait de fautes de frappe, même si, avouons-le et elle ne me contredira pas là-dessus, elles sont légendaires. Elle n’a pas consommé de drogue non plus, à moins que la bière soit considérée comme telle, me précise-t-elle.
Sénestro est bien un escargot. Je vous sens dubitatif et vous comprends… Je ne sais pas, moi non plus, d’où elle sort cette idée saugrenue.
Vous êtes sûrement en train de vous demander comment Galatéa va s’arranger pour caler une rencontre amoureuse, un jour de Saint-Valentin, dans une vie de limaçon… Eh bien, je crois que cela est fait…
À cet instant, sachez qu’elle rit, tellement fière de sa connerie !
Soit, blague à part, partons donc ensemble à la découverte de cette petite aventure hélicienne.
Ainsi, laissez-moi vous raconter l’histoire d’un être à part et si rarissime que sa spécialité lui valait l’admiration de toute une communauté. En effet, Sénestro est un escargot sénestre, c’est-à-dire qu’il possède une coquille s’enroulant vers la gauche.
Vous allez sûrement me dire : “Et alors ?”.
Sachez que les représentants de son espèce sont tous dextres, puisque leur coquilles s’enroulent vers la droite. Et là, comme tout le monde, vous devez penser : “Ah chouette ! Cela lui permet de sortir du lot !”.
Oui, en effet, Galatéa vous l’accorde bien volontiers. D’ailleurs, il est observé pour cette particularité puisque la coquille sénestre est rarissime, allant de un cas sur vingt milles, voire même moins fréquent pour certaines espèces de gastéropodes, avec jusqu’à un cas sur un million. Cette singularité serait due à une mutation génétique dont la fréquence est très peu élevée dans la population hélicienne.
Faisons confiance à Galatéa là-dessus, je ne sais pas pour vous, mais pour ma part, la génétique, je n’y connais rien…
Si cette spécificité peut faire le bonheur des collectionneurs qui les recherche activement, elle entraîne également un énorme inconvénient pour notre ami : celui de rester célibataire… Malheureusement, notre charmant limaçon peine à trouver l’amour.
Comme dirait Galatéa, le célibat… très peu pour moi ! Vous comprendrez aisément, que, comme tout un chacun, notre petite cagouille rêve de trouver sa moitié afin de pouvoir fricoter.
Au passage, remercions notre autrice pour cette charmante précision… Sachez, mes chers camarades, qu’elle affiche un petit sourire en coin et un regard empli de malice, alors que moi je commence à transpirer. Mais, bon, poursuivons, si vous le voulez bien, je reprends.
Alors, nous en étions aux difficultés de Sénestro à rencontrer le ou la partenaire qui lui convient. Oui, après tout, une ou une, peu importe pour notre gastéropode, puisque les escargots sont hermaphrodites. Qu’est-ce donc que cela ? C’est, tout simplement, le fait d’être pourvu à la fois des organes sexuels mâles et femelles. Et, justement, le gros inconvénient de notre ami, c’est qu’en ayant une coquille sénestre, il est monté, sans mauvais jeu de mot, dans le sens inverse de ses congénères.
Bon sang, achevez-moi ! Votre douce narratrice n’est pas prête ! Inspiration profonde… Expiration profonde… Allez, retournons-y.
Sa coquille tournant dans le sens inverse des aiguilles d’une montre entraîne pour notre gastéropode que ses attributs lui permettant de faire des galipettes, sont placés à gauche également. Cette singularité l’empêche donc de pouvoir profiter des doux plaisirs de la chair avec ses semblables… En effet, ceux-ci étant des escargots dextres, les leurs se trouvent à droite. Donc, pas besoin de réaliser un dessin, pour comprendre les incompatibilités anatomiques…
Remercions de nouveau notre chère autrice pour cette proposition, mais, en effet, nous nous passerons aisément d’un tel croquis. Je pense que vous êtes, mes chers amis, d’accord avec moi…
Ainsi, compte-tenu des chiffres énoncés précédemment, avec, à l’arrivée, une moyenne de une chance sur quarante mille pour découvrir un escargot gaucher, autant vous dire que la probabilité de lui trouver un partenaire est encore plus faible que celle d’une apocalypse.
Sachez, mes chers lecteurs, que celle-ci est sur le point de s’abattre sur les épaules de votre aimable Lys. Moi qui m’attendais à une histoire emplie de tendresse…
Mais, bien sûr, cette fatalité de disette amoureuse n’en restera pas une, c’est bien mal connaître Galatéa…
Oui, eh bien, je commence à le regretter moi, de la connaître ! À cet instant, notre délicate autrice se tord de rire devant mon visage qui se déconfit petit à petit. Mais bon, je garde espoir avec cette dernière phrase, nous arriverons, peut-être, à avoir une histoire mignonnette… Enfin, je l’espère…
Ainsi, afin de remédier à la triste situation de Sénestro, un gigantesque appel est lancé par les scientifiques qui observaient notre cher ami pour sa spécificité. En effet, le généticien ayant la charge d’étudier sa particularité, trouve bien triste qu’il ne puisse pas profiter, lui aussi, des plaisirs de l’amour. Toute l’équipe de recherche refuse la fatalité du célibat pour cet être à part. Lui trouver un partenaire d’exception, telle est la mission !
Ainsi, c’est décidé ! Un appel doit être lancé ! C’est ainsi que démarre la sollicitation des ressources scientifiques collaboratives, mais aussi la prise de photos, la rédaction d’articles, de descriptions, la diffusion d’alertes aux communautés de passionnés… Enfin bref, vous l’avez compris, tous les moyens sont bons… Cette démarche commence par un simple message à la radio, se poursuit par la une des journaux régionaux, puis nationaux, pour finalement finir sur la toile, si bien que le petit escargot gaucher est même détenteur d’un compte Tweeter. Après tout, pourquoi il ne trouverait pas, lui aussi, l’amour sur internet.
Grâce aux réseaux sociaux, le message a circulé à travers le monde entier et son histoire a déclenché une émotion planétaire. Tout le monde s’est pris d’affection pour ce petit limaçon qui n’avait pas de compagnon. De nombreuses communautés se sont mobilisées afin que notre cher Sénestro puisse avoir la chance de trouver sa moitié. Déniché un second individu de son espèce, possédant les mêmes particularités, n’allait pas être simple et les passionnés du monde entier n’allaient pas être de trop pour relever le défi, quitte à ce que les jardins de la planète entière soient fouillés s’il le faut.
Bien évidemment, quand on bouscule un peu le destin, celui-ci finit par offrir un coup de main. C’est ainsi que deux partenaires sénestres ont été découverts par des passionnés à travers l’Europe : Rolly et Gekko. Ce n’est donc pas un, mais deux potentiels compagnons qui vont rejoindre notre petit limaçon. Et autant vous dire que la barrière de la langue n’est pas un problème chez les gastéropodes…
C’est ainsi qu’une rencontre est donc programmée, elle sera digne d’une exceptionnelle soirée de Saint-Valentin pour notre éternel célibataire. En tout cas, c’est ainsi qu’elle sera préparée. Tout le monde espère contrer le mauvais sort, afin que notre petit gastéropode adoré puisse trouver un partenaire pour remédier à sa disette sexuelle.
Et oui, il faut le dire, notre ami mérite, lui aussi, de pouvoir tremper son biscuit au moins une fois dans sa vie.
Aaahhh !!! Non, mais !!! Galatéa a craqué et n’a pu s’empêcher d’écrire cette calamité… Sachez qu’elle est en train de se bidonner devant ma tête dépitée, suite à cette énormité que je viens d’énoncer. Je tente de reprendre contenance afin de vous compter la fin de cette… non-romance.
Le moment tant attendu arrive et nos trois charmants escargots se retrouvent enfin ensemble. Sénestro n’en revient pas… Ils sont comme lui… Il tente d’attirer l’attention de ses deux congénères par une approche un peu hésitante, voyez-vous c’est un gastéropode un tantinet timide… Malheureusement pour lui, ces deux compagnons n’ont d’yeux que l’un pour l’autre, à tel point qu’ils ne lui témoignent aucun intérêt et oublient totalement notre escargot admiré et célèbre. Ils sont restés, purement et simplement, indifférents à ses charmes alors que c’est tout de même grâce à cet être d’exception qu’ils se rencontrent…
Le pauvre Sénestro assiste, impuissant et triste, aux rapprochements des deux nouveaux amants. Il n’a même pas le temps d’espérer ne serait-ce qu’un regard fugace de la part de l’un des deux que Rolly et Gekko se tournent déjà autour sans attendre. Oui, les deux jeunes tourtereaux ne trainent pas en palabres et souhaitent passer rapidement aux choses sérieuses.
C’est ainsi qu’ils démarrent les préludes à leur union et s’entrelacent dans une étreinte empli de désir, sans même la moindre petite attention pour notre pauvre ami, qui se trouve relégué au rang de chandelle…
La scène qui s’en suivra ne sera aucunement relatée, n’étant pas adaptée à tout public, sans compter qu’elle peut durer dix à quinze heures…
Ouf… Votre chère Lys a cru mourir… Mes chers camarades, sachez que je n’aurais pas eu la force de vous la conter… Je n’ai absolument pas été préparée à la potentielle présence d’une scène croustillante… Revenons donc à notre petit escargot…
Le pauvre Sénestro, quant à lui, n’est pas resté observer ces deux êtres dégoulinant d’amour s’unir, vous vous en doutez bien, comme nous, il se passera aisément de cette scène… Il est parti, la queue entre les jambes, frustré, pour finir par rentrer dans sa coquille en broyant du noir. Le destin est parfois ironique puisqu’il a fait de Sénestro le plus célèbre des escargots, mais aussi le plus solitaire…
Malgré tout, après un calvaire si terrifiant, un espoir est encore présent, puisqu’une descendance va voir le jour suite à l’accouplement des deux amants. Il suffit donc à Sénestro de patienter encore quelques temps, après tout il n’est plus à quelques semaines près, ni même deux ou trois mois après une vie entière de diète sexuelle. Le naissain est assez conséquent, puisqu’une centaine d’œufs sont désormais présents.
Notre célèbre gastéropode n’a plus qu’à patienter, avec un peu de chance, il y aura peut-être un partenaire d’exception qui lui sera destiné parmi ces nouvelles arrivées.
Mais… Oui, il y a encore un mais… Je sais, c’est le deuxième ou le troisième que Galatéa nous met…
En observant les nouveau-nés – même si les escargots n’y voient pas très bien – c’est très étonné, qu’il est dans l’obligation de constater, que la totalité sont… dextres. Finalement, nous sommes forcés de conclure que la génétique est bien peu empathique, en se moquant si ouvertement, d’un pauvre petit limaçon malchanceux.
Mais, ne soyez pas déprimés par cette triste épopée, puisqu’à la saison des amours suivante – période qui revient régulièrement chez les escargots – l’un de ses deux équipiers s’est finalement laissé tenter. Et oui, Gekko, qui l’avait congédié quelque temps auparavant, a succombé aux charmes de notre doux Sénestro. C’est ainsi qu’il a pu profiter d’un instant de félicité, tendrement accompagné de bon nombres de bisous baveux, amoureusement offerts par son partenaire du moment.
Une nouvelle descendance en découle, tous dextres également, c’est à n’y rien comprendre… Ou plutôt, tout n’est pas histoire d’hérédité et donc de mutation de gène dans ce cas. Il faut donc se l’avouer, ce n’est pas encore cette fois que nous percerons les mystères de la génétique.
Petit mot de Galatéa :
Lorsque j’ai écrit le premier texte de cette petite aventure, j’avais envie de prendre une voie un peu inhabituelle, mais aussi, je voulais surprendre. J’avoue que j’espère avoir réussi à vous étonner ou, tout du moins, vous distraire le temps d’une lecture peu orthodoxe.
Sachez que cette petite comptine est inspirée d’une histoire vraie, elle a été vécue par Jérémy, l’escargot gaucher. Il est devenu célèbre grâce à cette anomalie de sa coquille qui a poussé un généticien de l’Université de Nottingham à l’étudier, mais aussi à faire un appel mondial pour lui trouver un partenaire. Libre à vous d’aller découvrir la véritable histoire de ce défunt petit escargot.
Vous vous demanderez aussi quelle importance d’étudier un tel gastéropode ? Sachez que nous sommes loin d’avoir percé tous les secrets de la génétique et ces charmants escargots ont aussi leur rôle à jouer dans ces recherches. En effet, l’étude de la descendance de ces escargots sénestres est une source de connaissance qui éclaire nos chercheurs sur un phénomène qui les intrigue depuis des siècles : les situs inversus. Ce sont des êtres – humains ou animaux – dont les organes sont inversés, en position de miroir par rapport à leur disposition normale (pour les humains : cœur à droite, foie à gauche…). Il faut savoir que de nos jours, la cause de cette anomalie n’est toujours pas connue et qu’elle toucherait environ 1 humain sur 20 000.
Et donc, les chercheurs essaient de comprendre ce phénomène en observant la descendance de ces escargots gauchers. L’élevage se poursuit, de nouveaux escargots sénestres y sont ajoutés. À ce jour, après de nombreux croisements entre descendants de gauchers, complétés par un important travail de laboratoire, une conclusion ressort : cette propriété est un accident de développement, très précoce puisqu’elle se produit lors de la troisième division des cellules. Pour autant, les causes ne sont pas encore déterminées et peuvent être si nombreuses : combinaison de mutations, anomalie d’épigénétique, conditions environnementales de développement, voire même tout cela associé… Serait-elle dépendante d’un certain nombres de ces facteurs associés et bien particuliers ? Probablement…
Je vous laisse sur cette petite réflexion après ce clin d’œil à ma profession.
Oui, je suis aussi une scientifique et je fais partie des petites mains qui tentent de faire avancer la recherche dans la génétique. Certains diront sûrement : “Des chercheurs qui cherchent on en a, mais des chercheurs qui trouvent on en cherche”. J’espère un jour, faire partie de ceux qui trouvent, à défaut j’aurai au moins fait partie de ceux qui cherchent.
Mon petit clin d’œil se termine donc ici et j’espère vous avoir permis une découverte un peu originale et inattendue.
Bien le bonjour 🙂
Je vais tenter de faire assez bref car, oui, je suis une pipelette, alors cela peut vite prendre des proportions importantes surtout quand je parle des mes passions 😉 .
Je suis une droguée de musique, dès que j’ai l’occasion j’en ai dans les oreilles, je ne peux pas vivre sans. J’adore la lecture depuis toute petite, mon père et ma grand-mère étant des passionnés de livres, ils m’ont transmis le gène 😎 . Quand il me reste un petit peu de temps je tente de pratiquer le dessin, dans une vie déjà très remplie. En 2021, je me suis découvert une nouvelle passion : l’écriture. Désormais, elle est même devenue vitale, un peu comme l’oxygène.
D’ailleurs, je vous parle de mes passions sans même m’être vraiment présentée… Alors, je suis Galatéa, je fais partie des brebis égarées, mais je suis une de celles qui n’a pas envie de rentrer dans le troupeau, ni même de faire tout comme tout le monde et qui aime cultiver son petit côté différent.
J’aime aussi faire les choses bien et je mets souvent beaucoup de cœur à l’ouvrage et même peut-être parfois un peu trop, ce qui fait que je m’investis souvent de façon très importante, mais toujours avec plaisir 😉 Et, forcément, qui dit plaisir, dit libre court à mon imagination qui ne connaît que les limites que je lui impose, c’est-à-dire aucune… Je suis de la catégorie des rêveuse, dès que mon cerveau permet à mon esprit de dérivé, il le fait et celui-ci s’évertue à construire des mondes et des histoires.
Alors, du coup, la fantasy est mon domaine de prédilection pour l’écriture, la plupart de mes projets en cours ou à venir baigne dans cette catégorie. Mes projets sont assez nombreux, comme je le disai mon esprit s’évertue à créer, donc j’ai :- Une saga en cours d’écriture : L’Ultime Gardienne (mon bébé), – Quelques nouvelles à retravailler que je vais probablement réunir dans un recueil- Plusieurs idées de tomes uniques : Rosyliance, Printinoxia, Sanguis Nymphaea, Tombée dans l’oubli, Désentravée… que j’écrirai probablement entre deux tomes de la Saga, – Un recueil de Poésie : Mots pour Maux que je remplie au fil de mes inspirations.Comme tout un chacun, j’espère du fond du cœur pouvoir publié mes écrits un jour, nous verrons bien ce que l’avenir me réserve 😉 , dans tous les cas, à ce jour, je n’ai aucun projet de prêt pour franchir cette étape 🙂
Je lis un peu de tout, avec une préférence pour les domaines fantasy et fantastique, mais j’apprécie également les autres. Depuis peu, je m’essaie à la poésie, à ma grande surprise, puisque je ne me pensais pas le moins du monde en être capable. D’ailleurs, pour l’anecdote, il faut savoir que j’étais une quiche ultime en rédaction imaginaire et en poésie à l’école… Comme quoi, aucun cas n’est vraiment totalement désespéré… 😉
Voilà, je pense que j’ai fait à peu près le tour… J’espère ne pas vous avoir assommés ou perdus en cours de route…
Bonne journée 🙂
Sacré Sénestro !
c’était en effet plutôt singulier comme façon de raconter !
L’histoire est drôle mais j’ai un peu de mal à m’imaginer Lys nous relayer en direct l’histoire que tu lui racontes. Je me demande pourquoi alors tu ne nous la raconte pas directement si tu es à coté.. Peut être aurait été plus logique que Lys nous raconte une histoire que tu lui avait raconté dans le passé.
Quoi qu’il en soit je constate qu’un travail de recherche sur nos amis les escargots a été réalisé et cela rend le narratif travaillé ! Et je suis heureux pour Sénestro !
Merci 😊
Je le voyais plus comme Lys qui réalise cette lecture à un auditoire et qui découvre l’histoire en même temps qu’elle la lit, alors que je ne suis pas très loin. Merci, c’est en effet un point que je n’avais pas relevé et qu’il faut donc que je retravaille 🥰
Oui, je vais réfléchir à comment je vais amener cela 😉
Oui, j’ai pris le temps d’en apprendre un peu plus sur nos amis gastéropode ainsi que l’histoire originelle de Jérémy dont je me suis inspirée, même si la génétique je connais de par mon métier 😉.
Il fallait bien que cette mésaventure se finisse bien pour notre ami 😉