Aller au contenu

Asphalte, mon 5ème roman. . Thriller noir comme jamais. Editions Hugo Stern. Social, désinvolte, violent, humain. “Asphalte” n’est pas qu’un simple polar – c’est un cri d’alarme face à la montée inquiétante des extrêmes. …

7 - 10 minutes de temps de lectureMode de lecture
Madame, Monsieur, 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Je suis très fier de vous présenter la version finale d’Asphalte, un thriller noir comme jamais, mon 5ème roman, qui se passe dans une ville que l’on pourrait nommer Marseille et ses environs, dans ce monde imaginaire qui m’appartient. Il vient de sortir chez les éditions Hugo Stern. Si vous aviez envie de le lire, en proposer une chronique, un retour de lecture, un interview, lui trouver une place dans votre librairie lors de sa sortie, me permettre de participer à votre salon, je m’en verrais des plus ravis. Les premières chroniques et retours de lecture sont excellents, voire mieux. Bientôt en librairie, Fnac, cultural, Amazon etc. 
 
Critiques, citations, extraits de Asphalte de Pascal Alliot. Sophie Debreuil se voit dépositaire d’un bon de sortie. Trois mois, voire un peu plus, qu’elle croupit là, dans ce lieu aseptisé dans lequel tout est dédié au sommeil et à l’oubli à tout prix.
www.babelio.com
 
Je suis archéologue, céramologue, installé à Mataro, proche de Barcelone, Catalogne/Espagne. Après de longues années passées en entre Marseille et Toulon. 
 
Une rapide bibliographie : 
 
  • Journal ordinaire d’un assassin pas ordinaire, éditions Lazare et Capucine, mai 2023. Finaliste du prix découverte de la Vouivre 2024. 
  • Terre, mange tes morts, éditions Déhache, février 2024.
  • Dies Irae Jour de Colère, éditions Maïa, Juin 2024. 
  • Jusqu’à l’os, édition Sans Pitié- Québec/Canada-, Juin 2024-
  • Asphalte, éditions Hugo Stern. Mai 2025.
  • Osmose, éditions Hugo Stern, à Paraître, 2026. En course pour le prestigieux prix du quai des orfèvres 2026.
  • Royaume, éditions Hugo Stern, à paraître, 2026/2027. 
 
Voici, ci-dessous, un merveilleux article-notre interview en date du 6 Février à Perpignan- relayée par Le Monde Du Polar ! On suit Pascal Alliot à la trace que ses livres laissent, de #perpignan Au Cochon Hardi jusqu’à #Barcelone.” Pascal Alliot : archéologue et écrivain, écrire une autre manière de creuser, avec la rage de la terre au cœur ! La vidéo de l’entretien totalise déjà plus de 25,000 vues via Facebook ! Je présente ma sortie à venir : Asphalte chez Hugo Stern. Un thriller très sombre. Bonne journée. 
 
 
 
 
Bonjour, interview avec Jocelyne Sema pour le podcast 4ème de Couverture-Québec/Canada- autour d’Asphalte, thriller/polar glacial sans concession, mon nouveau roman aux éditions Hugo Stern. “Asphalte” n’est pas qu’un simple polar – c’est un cri d’alarme face à la montée inquiétante des extrémismes en Europe. “Il faut faire attention à notre monde,” nous rappelle l’auteur, qui utilise la fiction pour aborder des problématiques politiques brûlantes d’actualité”. Bonne visualisation !

 
Bonne lecture, si cela devait demeurer le cas. 
 
Bonne journée, 
 
Cordialement,
 
Pascal 
 
Ps : voici le premier chapitre afin de possiblement découvrir mon univers littéraire : 
 
“Première partie : Tumulte. —————————— Chapitre 1 Désolation d’un univers écrasé par le soleil. 
 
Des enfants jouent devant la grande barre résidentielle des Bradelonnes, là où personne ne met les pieds hormis la population locale. Ces gamins répètent les gammes perpétuelles d’une sempiternelle partie de football, une copie pas fatalement à l’identique d’une fameuse finale qui a amené l’équipe locale vers un titre des plus glorieux une dizaine d’années en arrière. Presque un soir d’été, comme celui-ci. Soleil de plomb arrivé bien trop tôt pour la saison. Qui a pris, une fois encore, tout le monde à court. Chaleur étouffante qui vous emporte sans crier gare vers une sorte d’agonie lascive. Au loin, des bruits de pneus fracassant la gomme contre le bitume, et puis un coup de feu suivi de trois autres. Comme souvent par ici. Un jeune mec, une balle en pleine tête, s’effondre, abattu, tué sur le coup. Il en tombe des dizaines par an, des serviteurs de l’Enfer. Depuis quelques semaines, une nouvelle guerre a éclaté. Personne ne connaît réellement les raisons, mais les hommes s’effondrent, comme des mouches. En une année, près de quarante, en comptabilisant dans ce décompte macabre les plus petites et insignifiantes des ombres, convoyeurs et dealers éphémères de la came, opérant dans les ombres ordurières de quelques restes branlants de murs de l’énorme chantier inachevé de ce qui devait originellement se révéler en qualité de salle culturelle et se tenant à quelques encablures de ce camp retranché de la misère et du crime. Véritable défilé des oubliés, sacrifiés sociaux d’un monde délabré, réels nantis austères au regard vide. Junkies, trafiquants, paumés, marginaux, putes, excentriques se côtoient comme des anges brûlés par le sceau irrationnel du désarroi. Ils se sont cramé les ailes et ont atterri en catastrophe dans ce bourbier délétère. Cimetière des âmes détruites. Là où les morts poussent les vivants vers la sortie directe, les pieds en avant. L’illusion, vaste plaisanterie qui ne dispose pas d’une longue moyenne de vie en ce terrain du feu salace emportant les corps le long de son cours atroce. Les guerriers de la nuit écarlate règnent en maître dans ce pays de cendres, telles des divas, ces femmes magnifiées. De véritables seigneurs de la guerre accompagnés inlassablement par leur armée de mercenaires payés rubis sur l’ongle, dont on se débarrasse à la moindre erreur de leur part. Une balle dans la tête ou on les brûle dans le terrain vague après les avoir massacrés à coups de batte de baseball ou par toute autre méthode radicale, imposant une souffrance non feinte. Histoire de bien marquer les esprits de ceux qui restent. Sa puissance, sa force. Sous le regard silencieux de ceux qui l’accompagnent dans la quête perpétuelle du respect, quête d’une vie, devenir, le temps nécessaire, celui qui règne sur l’ensemble de ce quartier, tête de pont capitale, défiant le monde extérieur de son ombre maléfique. Doslav Marevich aspire à ce rôle. Il est arrivé dans ce quartier noirque quelques temps auparavant. Intelligent, malin, sans pitié, son ascension a été fulgurante. Rapidement, il se débarrasse de ceux qui lui procurent une ombre des plus gênantes. Tout le monde garde en mémoire les photos parues dans la presse, le reportage lors du journal télévisé, montrant neuf cadavres, emballés tels des pharaons, à l’aide de tissus d’un blanc magnifique, dont on a explosé la tête au préalable, sûrement à l’aide d’une masse, et dont le faciès se voyait absent. On les a pendus par les pieds, avec une solide corde, à l’entrée de l’artère principale de la ville, sur les contreforts du tunnel de la Barguèse. Ils se balançaient là, comme des cocons de papillons de nuit qui ne voulaient plus naître, des sphinx de la mort. Mise en scène insoutenable. Mais ô combien efficace ! Se trouvaient là, unis dans les ultimes soubresauts de la mort, Milen Bragos, un gitan venu de l’est, la longue route de l’oubli, Toni Marevic, son principal lieutenant, Xavir Pruvca, le second lieutenant, Stanech Parsov, porteflingue de Bragos, Fedor Martov, dit le chimiste, Corantin Salnovic, porte-flingue, Olger Pradic, dit le comptable, Xeven Sondrec, porteflingue, et un jeune qui ne sera jamais identifié, le corps trop massacré afin de demeurer dans la possibilité de proposer une 6 identité. Brûlé en grande partie. On aurait pu dire au lanceflammes. Les images ont fait le tour du monde. Un photographe a même obtenu un prix prestigieux grâce à l’une de ces prises de vue remarquables, si l’on peut dire. Comme quoi, l’horreur fait son chemin également là où on ne l’attend pas. Ces personnes géraient de main de fer et de feu la barre nord-est, celle sur laquelle Doslav Marevich espérait mettre la main et prendre les rênes, le contrôle. Alors, afin de parvenir à ses fins, il a exterminé son rival et l’ensemble de ses soldats les plus proches et glorieux, afin qu’aucun d’entre eux ne rêve de vengeance et de pouvoir. Il n’a jamais été soupçonné, mais tout le monde savait. Une enquête de police, menée par quelques flics peu dans l’idée de se frotter à la violence de ce sbire-là, n’a mené à rien. Ou si peu. Quelques troisièmes couteaux se sont vus interpeller, envoyés en cage où d’ailleurs trois d’entre eux y mourront, massacrés par plus de trente coups de couteau chacun. Là encore, les clans règnent en maître dans le monde pénitentiaire. Et les rivaux ont pris une sorte de revanche dans le sang. L’histoire s’est étouffée et le calme est revenu, chape de plomb. La famille Marevich a pris alors le contrôle de ce secteur. Mais, quelque temps après ces événements funestes, une guerre sordide est sortie de l’ombre et s’est révélée au visage du désappointement. Or, le mec qui est tombé sous les balles ce matin ne s’est révélé d’aucune autre façon qu’en qualité de neveu de Doslav Marevich. Le feu embrasera prochainement le quartier, d’une force des plus vives, sans commune mesure en comparaison avec les événements se déroulant actuellement et noyant le quartier dans une torpeur sans équivoque jusqu’alors. L’ange charismatique appellera rapidement au sacrifice des aigles de mauvais augure, leur brisera les serres.”
 
Ps : 

Bonjour. Premiers retours merveilleux pour Asphalte ! Je suis très touché. – “Quelle découverte ! Un thriller redoutable.” – “Cela faisait longtemps qu’un polar ne m’avait autant secoué” – Alliot signe ici un roman puissant, où l’ambition narrative rivalise avec la précision chirurgicale du style.” – “Asphalte n’est pas qu’un roman noir, c’est un uppercut littéraire” – “Asphalte” nous plonge dans un univers urbain sombre, où la tension politique et sociale atteint son paroxysme.” – “Ce thriller, d’une noirceur et d’une violence saisissantes, est l’oeuvre de Pascal Alliot, qui manie les mots avec une habileté remarquable,” – “En digne héritier de Jean-Claude Izzo, il explore, dans une langue nerveuse et imagée, le versant sombre de Marseille.” – “Asphalte est plus qu’un thriller : c’est un voyage littéraire viscéral à travers un monde de violence, de pouvoir et de chaos intérieur.”
Si vous pouviez en parler, je vous serai reconnaissant. 
S’abonner
Notification pour
guest
0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires
0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x