L’invasion des Omégaliens
Maxime Beauvineau
L’invasion
des
Omégaliens
À ma mère, elle, qui m’ a toujours encourager.
Préface
PROLOGUE
L’univers est vaste, très vaste… Pour autant, il existe des chances pour que nous soyons pas seule…
Il existait à l’autre bout de l’univers, une grande planète, la vie était bien développée. Elle s’appela Oméga.
Les êtres peuplant cette planète étaient très respectueux de la nature, ils avaient tout fait pour rendre la vie harmonieuse le plus possible.
Mais, ce n’était pas le cas de celle-ci.
Tout se passa normalement pendant des nombreuses années, les êtres composant cette planète vivaient heureux, sous la protection de leur reine bien-aimé.
Ils vivaient tellement bien, qu’ils ce sont reproduit de plus en plus, mais un jour, la planète se rebella contre eux…
Et la vie ne devint bientôt plus possible, les catastrophes naturelles se produisaient en série, sans que les savants n’en comprennent la raison.
La planète était sur le point de s’éteindre, la reine devait trouver la solution pour sauver son peuple… Et un jour, elle trouva… Si la vie sur leur planète n’était plus possible, alors il fallait en trouver une autre… Et enfin, ce fut le cas. Cette planète s’appelait : « Terre ».
EPISODE I
Une rencontre inattendue
Que y a-t-il de mieux qu’une vie simple et sans problème ? Loin de tous soucis, certes un peu ennuyeuse, mais si tranquille.
C’était la vie que d’Alexandre Duval avait choisie et cela lui allait parfaitement. Mais pour lui, les choses allaient bientôt changer…
Il était environ onze heure du matin, quand le réveil du téléphone d’Alex se mit à sonner, comme chaque jour et c’était comme cela depuis longtemps…
Les rayons du soleil chaud, traversaient les volets de la fenêtre de la chambre du jeune homme de vingt-cinq ans.
Celui-ci se leva avec difficulté de son lit, il tituba pour sortir de sa chambre, se dirigeant vers sa petite salle de bain.
Après plusieurs minutes de lavage, Alex sortit de la douche, il était enfin réveiller, il s’habilla en vitesse et se dirigea vers sa cuisine ouverte à la salle à manger et salon.
Il mangea un bout, et se dirigea vers la sortie de son appartement et passa la porte.
On était mercredi ce jour là, en plein milieu de l’été, il faisait très chaud.
Le soleil tapait fortement sur la tête d’Alex, qui commençait à transpirer, celui-ci voulait se rende à l’un de ses magasins « geek » préférés. Enfin, c’était le cas depuis environ un mois, vu qu’il avait ouvert à ce moment là.
Il y avait de tout : mangas, comics, figurines, des cartes Yu Gi Oh, Pokémon, Magic… Et même un coin « borne d’arcade ».
Alex s’arrêta devant une vitrine de magasin de jouet (l’un de ses péchés mignon ), observant les belles figurines de DBZ. Mais il devait être fort, car on été la fin du mois. Et Alex était sans emploi depuis un moment…
Alex se regarda quelques secondes au travers le reflet, et vit son visage banale.
Il était ni trop rond, ni trop carré, par contre Alex était imberbe, il avait les yeux bleus et les cheveux brun et assez court et pas vraiment coiffés.
Ce n’était pas un jeune homme très souriant, il était très souvent dans sa bulle.
Il était également de taille moyenne, d’un poids moyen, bref, un jeune homme qu’on ne remarqué pas.
Il portait un tee-shirt avec le symbole de Super-Man (son super héros préféré), un jean assortie et une paire de baskets Nike blanches.
Sans même qu’il ne s’en rende compte, Alex était déjà arrivé à destination.
Sur l’enseigne on pouvait lire : « Geek Island », le magasin se situé à Soissons, en plein centre ville.
La ville était petite, si situant dans le nord de la France.
Le centre-ville se composer que de maisons à la taille modeste, de petites boutiques et de restaurants et également de quelques immeubles. Il n’y avait qu’un seul cinéma.
Alex aimé regardé la vitrine, il y avait des figurines, des répliques d’épées et autres katanas.*1
Quelque chose intrigua le jeune homme, l’un des spots clignotaient plusieurs secondes, puis remarchaient normalement.
Alex pénétra dans le magasin, il fut accueilli par sa propriétaire avec un grand sourire, comme chaque semaine.
– Salut Francine, comment tu vas aujourd’hui ? demanda Alex.
– Comme un mercredi, mon grand ! répondit Francise Larose d’un ton joyeux.
C’était une femme de cinquante six ans, blonde, avec des mèches blanches, ses cheveux qui descendaient en bas de son dos, d’une coupe parfaite et aux yeux verts.
Elle était de taille moyenne, son corps était fin, elle avait des rides commencé à lui apparaître son visage.
Alex souriait d’un air gêné, car sa vision était troublé par la très généreuse poitrine de Francine, qui était parfaitement mise en valeur à la fois par un beau décolleté plongeant et un beau collier en argent en forme de cœur qui était positionné pile au milieu de celle-ci.
Francine était toujours bien habillée, elle portait le plus souvent une belle robe d’une couleur vive. Pour l’occasion, celle-ci était d’un rouge éclatant.
– Désolé, Alex, mais je n’ai pas de nouveauté cette semaine, affirma Francine.
– Pas grave, je vais me contenté de faire un tour… répondit Alex, toujours troublé.
Il s’avança dans les allées du magasin, vers les rayons qu’il préférait, celui des figurines… Se situant vers le fond à droite.
Sur les étagères sur la gauche se trouvaient les comics, mangas, et romans.
Puis le jeune homme se dirigea vers les bornes d’arcades situées vers l’entrée.
Quand soudainement, il se cogna contre une jeune femme, celle-ci fit tomber ses papiers au sol.
Alex se précipita pour l’aider à les ramassés, mais au même moment, la jeune femme se releva et les deux se cogèrent la tête dans un paf assourdissent.
La douleur fut très forte, Alex se releva, avec des étourdissements, tant dis que la jeune femme était également sonnée.
C’est alors que leur regard se croisèrent, Alex fut comme foudroyer, il sentit son cœur cogner dans sa poitrine, il eut une bouffé de chaleur.
Alex ne pouvait détourner son regard d’elle, elle avait les yeux marrons d’une profondeur abyssale.
La jeune femme d’une vingtaine d’année, en ce que Alex pouvait observer, elle avait un beau visage au tient mâte, des beaux cheveux noirs frisés, assez long et parfaitement coiffés.
Puis Alex posa son regard sur le bas du corps de la jeune femme, il remarqua qu’elle petite ( un mètre cinquante-cinq ).
Elle était mince, voire très mince, elle portait un chemisier blanc, un jean et une paire de baskets Adidas noires.
– Je te présente Marlène Rodrigues, ma nouvelle vendeuse ! Dit Francine d’un ton joyeux en s’approchant de Marlène.
Le visage de Marlène devint rouge comme une tomate, elle avait un sourire gêné.
– Salut… Répondit Alex gêné lui aussi.
– Et… Eeeeeh, en parlant de ça, je recherche un deuxième vendeur… Tu ne connaîtrais pas quelqu’un ? demanda Francine.
– Euuuh, non, désolé… répondit Alex toujours intimidé.
– Appel-moi, si jamais tu trouvais une personne…
– D’accord… Bon, je dois y aller, il va être midi !
– Ah oui, tu as raison, on va fermer pour ce midi, on se dit à la prochaine mon grand.
Alex remarqua que Francine avait un sourire étrange, quand il quitta le magasin.
Sur tout le chemin du retour, une fois qu’il était rentré chez lui, Alex ne pouvait pas s’empêcher de penser à Marlène…
Ça été le cas tout le reste de la journée, il n’avait rien manger le midi, c’était la même chose le soir…
Toute la nuit, Alex pensa à Marlène, il tourna dans tous les sens dans son lit, il ne parvenait pas à trouver le sommeil.
Quand soudainement, il eu une idée, c’était pas une chose qu’il aurait faite normalement, mais il se dit que c’était le meilleur moyen de se rapprocher de Marlène.
Alex sentit alors une pointe d’excitation monter en lui, mais en regardant l’heure et voyant qu’il était qu’une heure du matin, il se dit que la nuit serait encore très longue…
Il était huit heure du matin, quand Alex se leva ( il avait à peine dormi ), pour autant, le jeune homme était en pleine forme, excité même ! Il savait ce qu’il lui rester à faire…
Il attrapa son téléphone de sa table de nuit, il alla dans ses contacts et appela Francine.
Le téléphone se mit à sonner pendant plusieurs secondes, puis soudainement Francine décrocha :
– Alex ? Tu te lèves jamais à cette heure d’habitude ? Dit-elle d’une voix très étonnée.
– Oui je sais ! Répondit Alex, encore dans l’excitation, il reprit :
– Mais j’ai bien réfléchis et j’ai trouver quelqu’un qui serait intéressé par ton offre !
– Ah oui ? Et c’est qui ? Demanda la femme d’un ton joyeux, surpris et presque rassurée.
– MOI !
– QUOI ? Mais je croyais que ce genre de travaille ne t’intéresserais pas ? demanda Francine abasourdit.
– Oh… Hésita Alex, avant de répondre :
– Il y a longtemps que je recherche un job et c’est un peu juste en ce moment ( ce qui était vrai )… Et je me dis que si ça se trouve ce boulot pourrait me plaire ( ce qui était faux )…
Il eut quelques secondes de blanc, puis Francine reprit la conversation et dit :
– D’accord, vu que je trouve personne pour le moment, je te prends à l’essaie !
Quand il entendit cela, le sang lui monta aux joues, son cœur cogna dans sa poitrine, il prit une grande inspiration et répondit :
– Cool, quand je peux venir pour signer mon contrat ?
– Pourquoi pas ce matin ? Vers les dix heures ?
– OK ! A tout de suite !
Alex raccrocha le téléphone, peut-être un peu vite, en y repensant plus tard…
D’un seul coup, Alex avait une faim de loup, il courait en direction de sa cuisine, prit une pomme dans sa corbeille de fruits, un yaourt dans son frigo et du jus d’orange.
Il mangea tout cela en quelques minutes, et parti à la douche. Toujours Marlène à l’esprit.
Une fois la douche terminer, il s’habilla en moins deux minutes, et quitta son appartement au pas de course.
Alex était remonter à bloc, il savait qu’il prenait un risque d’être déçu, mais si on ne prends pas de risque en amour, dans quel autre domaine en prendre ?
EPISODE II
Le job de l’amour
Alex arriva dix minutes en avance, le stress monta en lui, quelques goûtes de sueur coulaient sur son front.
Il rentra, accueilli toute de suite par Francine un avec grand sourire, le stress grimpa d’un seul coup, Francine l’indiqua le comptoir du magasin.
– Tu es en avance, c’est bien ! Affirma Francine ravie, elle reprit :
– Viens ! Tu vas signer ton contrat, c’est un CDD de six moi, avec un essai de trois mois.
Alex très ravi suivit Francine, après avoir signé, il rentra chez lui, son travail commencé à partir du lundi suivant à huit heure du matin.
Alex était très impatient de commencer, toute le reste de la semaine il repensa à Marlène…
Le lundi arriva vite, il se leva vers les six heures trente, pris son petit-déjeuner, se lava en deux deux, pour l’occasion il porta une chemise et l’un de ses rares pantalon. Et parti vers les sept heures quinze…
Il arriva vers les sept heures trente devant l’enseigne, Alex toujours impatient, il devait attendre l’arrivée de Francine…
Soudainement, Marlène arriva, elle portait le même genre de vêtement que la dernière fois que Alex l’avait vu et en plus elle avait un sac à main.
Celui-ci en la voyant, sentit son cœur faire un bond.
– Ah ! C’est toi ! dit-il en stress.
– Tu… Tu es en avance… répondit Marlène qui était en stress également.
– Oui, disons…
Alex marqua une pause, cherchant ses mots, il reprit :
– Que je voulais faire bonne impression pour mon premier jour…
– Ah d’accord… C’est… Bien ! répondit la jeune femme, toujours aussi stressé.
– Et sinon, tu es contente de ton travail ici ? demanda Alex, cherchant à trouver un sujet de conversation.
– Ah oui ! Francine est ultra sympa !
Marlène se tût un moment, puis avec beaucoup de difficulté demanda :
– Et toi tu dois être content de commencer à bosser ici ?
– Oh oui ! Répondit Alex en stress, il ne voulait pas qu’elle découvre ses véritables raisons d’avoir postulé pour ce boulot. Du moins, pour le moment…
Alex s’apprêta à répondre, quand soudainement, Francine fit son apparition avec un grand sourire.
– Je vois que vous sympathisez tous les deux ! dit-elle d’un ton joyeux.
– Bon, si on entré ? demanda-t-elle, avant d’ouvrir le rideau de fer, ainsi que la porte et ils entrèrent.
À peine rentrer, Francine s’adressa à Marlène lui indiquant qu’elle devait formé Alex les deux prochaines semaines, ce qu’il lui aller très bien.
La matinée se passa sans problème, Alex comprenait très bien, même s’il fut envoûter par Marlène et eut du mal à l’écouter…
Mais le midi venant, Alex s’aperçut qu’il avait oublier de prendre un déjeuner, du coup Marlène lui proposa de partager le sien. Une occasion inespérée de se rapprochait en mangeant ensemble.
Ils mangeaient ensemble dans l’arrière boutique, il y avait une petite salle de pause avec tout ce qu’il fallait pour manger, ainsi que des casiers.
Alex se lancé pour commencer une conversation, il dit :
– Merci, j’étais tellement nerveux à l’idée d’être en retard, que j’en ai oublier de prendre une gamelle…
– Oh c’est rien… C’est normale, en plus, je comprends ce que c’est d’être nerveux son premier jour… Répondit Marlène en rougissant.
– Tu es gentille…
– Merci…
– Au fait, Tu as des passions ? Ou des loisirs ?
– Moi ? Pourquoi tu demandes ça ? Demanda la jeune femme intriguée par cette question.
Marlène était de plus en plus rouge.
– Oh… Pour faire plus ample connaissance, c’est normale, on est collègue maintenant, répondit Alex mal à l’aise.
– Oui tu as raison… J’aime bien le shopping, sortir entre fille…
Alex était un peu déçu de sa réponse, il espéré qu’ils aient des points en commun.
– Et aussi les mangas et les jeux-vidéos ! s’exclama Marlène d’un seul coup, après quelques secondes de silence, ce qui fit sursauté Alex.
– Ah cool, moi aussi j’adore ça les mangas et les jeux-vidéos…
Le jeune homme sentit son cœur battre la chamade, il se dit que cette jeune femme était faite pour lui et peut être même que c’était le destin qu’il les avaient réunis !
– Je m’en serait douter, tu viens ici toutes les semaines… Ah ah ah ah ! Dit Marlène qui se mit à éclater de rire.
Elle était presque prise d’un fous rire, ce qui fit rire également Alex.
– Au fait, tu a quel âge ? demanda Alex au bout d’un moment.
– Vingt-trois ans et toi ? répondit Marlène.
– Vingt-cinq ans.
Le reste du repas se passa tranquillement, Alex était aux anges, il avait passé le meilleur déjeuné de sa vie !
Le soir arriva vite et comme ils n’avaient pas beaucoup de clients, ils purent partir trente minutes plutôt.
Chacun partis de son côté, Alex était tout heureux de sa journée, il n’espérait pas qu’elle puisse aussi bien se passer.
Ne voulant pas brusquer les choses avec Marlène, Alex se contenta de la conversation qu’il avait eu le midi, c’est pour cela qu’il ne proposa pas à Marlène l’accompagner.
Il rentra chez lui le sourire aux lèvres, toujours Marlène à l’esprit…
Il faisait encore jour, la chaleur était moins forte à cette heure de la journée, ce qui était très agréable pour Alex.
Il ne se passa rien de spécial les semaines qui suivirent, la relation avec Marlène évoluèrent juste un peu…
Mais un soir en quittant le magasin, Alex prit son courage à deux mains et proposa à Marlène de l’accompagner chez elle, celle-ci accepta volontiers.
Alex sentit son stress qui monta d’un seul coup, il transpira à grosses goûtes, puis au moment d’arriver à l’entrée de l’immeuble de l’appartement de Marlène, il dit:
– Tu… Voudrais bien venir dîner chez moi demain soir ?
– En tout bien tout honneur ? Bien-sûr… se reprit-il, ne voulant pas que ses paroles furent mal comprises.
Il eut quelques secondes de silence, les pires secondes de la vie d’Alex…
– Oui… Finit par répondre Marlène d’une voix toujours aussi timide, qui fit toujours autant fondre Alex.
En attendant cette réponse, Il eut l’impression que son cœur allait s’arracher de sa poitrine, tellement qu’il était heureux, mais la seule émotion qui transparaissait chez lui, était un léger sourire.
– OK… Tu peux me donner ton num, histoire que je puisse organisé la soirée de demain, afin qu’elle soit parfaite ? Demanda Alex au passage. Il savait bien y faire pour bien présenter les choses.
– Heuu… Oui, si tu comptes préparer un dîner aux chandelles, j’ai hâte de voir ça… Répondit Marlène avec un soupçon de malice dans la voix.
Ils s’échangèrent leurs numéros et Alex fit demi-tour et rentra heureux chez lui. Son plan avait marché, il n’y croyait pas, c’était la première fois de sa vie qu’il réussissait quelque chose comme cela.
Le jour suivant passa très vite, Alex le matin avait tout préparer pour le soir, l’excitation grimpa à chaque minutes qui approchait du rendez-vous.
Le soir venue, Alex et Marlène rentrèrent ensemble, ils arrivaient au palier de la porte de l’appartement d’ Alex, celui-ci l’ouvrit et laissa Marlène entrer.
– Ooooh ! S’exclama t-elle en voyant la décoration que Alex lui avait préparer…
Il y avait quelques bougies à piles, la table était mise, avec une nappe blanche. Un vase était mit au milieu de celle-ci.
– Je vois que tu as fait un beau effort pour notre premier rendez-vous ! Dit Marlène avec joie.
– C’est rien… Répondit le jeune homme gêner, surtout par rapport à cette pauvre déco.
– Tu plaisante, tu as dû tout faire ce matin ? Demanda la jeune femme.
– Je me suis lever une heure avant, répondit le jeune homme.
– Oh ! Quelle romantique ! Je suis impressionné !
– Merci… Je te fais visiter ?
– Avec plaisir !
Seulement vu la taille de l’appartement, il y avait peu de chose à visiter. Mais Marlène s’arrêta devant trois étagères remplis de mangas, comics et figurines…
– Oh mon dieu, tu es vrai geek ma parole ! S’exclama-t-elle.
– J’ai déjà vu des collection dix fois plus grande que la mienne. Répondit Alex un peu gêné.
– OK… Dit Marlène perplexe.
Le reste de la soirée se passa extrêmement bien, Alex sentit que le courant passé entre lui et Marlène.
Une fois que Alex était allongé dans son lit, le jeune homme repensa à ces dernières semaines qui s’était écouler.
C’était très étonnant de sa part qu’il accepte ce genre de travaille, car ce n’était pas du tout son domaine.
Et en plus, pour faire plus ample connaissance avec une jeune femme. Mais elle n’était pas n’importe qui, c’était Marlène.
La femme parfaite, Alex aurait tout fait pour apprendre à la connaître. Et quoi de mieux que de travailler tous les jours pour arriver à cette fin.
Alex ne regretté pas son choix la moindre seconde, pour lui, c’était la meilleure décision de sa vie.
…
Les mois qui suivirent, les deux jeunes gens commençaient à sortir ensemble. Ils passaient de plus en plus de temps ensemble, Alex était aux anges. Il espéré que cela dure le plus longtemps possible…
Ils passèrent presque tous les week-ends ensembles, enfin, quand ils en avaient de libres.
Ils allaient au cinéma, faire du shopping, manger aux restaurants,…
Un vendredi soir, Alex envoya un message à Marlène pour que celle-ci vienne chez lui. Celui-ci avait préparé un autre dîner surprise.
Une heure plus tard, Marlène sonna à la porte d’Alex, il lui ouvrit et cette fois, l’appartement était magnifiquement décorer.
Il y avait des vraies bougies, la table était décorer également de plusieurs roses rouges.
– La dernière fois je n’avais pas eu le temps de faire mieux ! Dit-il le sourire aux lèvres.
– Tu es un vrai romantique ! s’exclama Marlène qui était aux anges.
Le repas se passe dans la meilleure des ambiances, les deux amoureux étaient en phase.
Alex sentit l’excitation monter en lui, une chaleur monta jusqu’à ses joues. Il eut une immense envie de Marlène, il était prêt à lui sauter littéralement dessus.
Une fois sortit de table, il s’avança vers elle, la saisit aux hanches, son regard pénétra le sien et l’embrassa. Ils s’étaient déjà embrasser plusieurs fois au cours de leur relation, mais jamais comme cela.
C’était de toute évidence, du fait que Alex et Marlène avaient fait abstinence durant ces deux derniers mois, que leur excitation avaient grimper à son paroxysme durant tout ce temps…
Ils passèrent une nuit de folie, réveillant certains voisins, la meilleure nuit de leurs vies !
Le soleil était lever depuis de nombreuses heures, quand les deux amoureux se réveiller…
– Aaaah ! Bailla Marlène et s’étirait.
– Tu as bien dormi ? demanda Alex d’une voix tendre.
Marlène se tourna vers Alex, elle avait les yeux qui brillaient, celui-ci souriait, son cœur battait la chamade. Il sentait un intense bonheur.
Marlène resta silencieuse pendant quelques secondes puis répondit ;
– Merveilleusement bien mon chéri !
Il eu plusieurs secondes de silence, puis Marlène demanda d’un ton presque nerveux :
– Que compte tu faire maintenant ?
– C’est à dire ? demanda Alex toujours dans le coaltar.
– Maintenant que tu as eu ce que tu voulais ? Tu ne vas pas rester au magasin ?
Alex sentit son sang se glacer, il n’avait pas imaginer que Marlène puisse avoir compris son plan et d’accepter de sortir avec lui !
– Tu… Savais ce que j’avais en tête ? demanda-t-il nerveusement.
– Oui ! Bien-sûr je ne suis pas né de la dernière pluie tu sais ?
– Oui je sais, mais pourquoi accepter de sortir avec moi alors ?
– Je suis très timide comme tu as pu le voir, j’espérais que tu tente quelque chose pour sortir avec moi.
Quand tu as postuler comme vendeur, alors que cela fait des semaines que Francine cherche un autre vendeur sans que cela ne t’intéresse… Pas besoin d’être Sherlock Homes pour comprendre ton plan.
– Je ne comprends pas bien, tu es contente que j’ai fait tout cela, uniquement pour me rapprochait de toi ?
– J’ai trouvé cela très osé ! J’étais très impressionné, je m’y attendais pas à cela !
– Quoi ?! j’en reviens pas ! J’ai cru que tu m’en voudrais !
Alex fut totalement abasourdit par les révélations de Marlène.
– Non, t’inquiète, sinon, j’aurais jamais accepter de sortir avec toi… Répondit Marlène d’une voix tendre, ce qui rendit Alex très émus.
– Mais ma question tiens toujours, que compte tu faire maintenant ?Demanda Marlène.
– Je vais finir ce mois par respect pour Francine, mais après, je la quitterai. Puis j’irais cherché ailleurs du travail.
– OK, tu cherches où en vrai ?
– J’étais dans l’électronique avant, mais l’entreprise dans la quelle je bosser ne prenait pas en CDI.
– Pourquoi ne pas rester ? Francine va te garder en CDI j’en suis sûr.
Alex réfléchit quelques secondes avant de répondre, pourquoi ne pas rester dans le magasin ?
– Désolé, mais ce job n’est pas pour moi… Mais cela m’empêche pas de continuer de venir comme avant, comme ça je passerai te voir, finit-il par répondre.
– OK…
Alex sentit la déception dans la voix de Marlène, il faillit lui dire quelque chose pour la réconforter, mais cela n’était pas nécessaire, Marlène l’embrassa tendrement.
Il se dit qu’il était un veinard d’avoir trouver quelqu’un comme elle. Il espéré que leur histoire dure longtemps, voire pourquoi pas, pour toujours…
Ils passèrent le reste du week-end ensembles, le meilleur week-end de la vie d’Alex !
Malheureusement deux jours est si vite passé, il fallait bien retourner au boulot…
Mais pour Alex, il lui rester environ un mois à passé au Geek Island.
La journée commença comme les autres jours, sauf que Alex arriva main dans la main avec Marlène, ils avaient le sourire aux lèvres.
Pour Alex c’était comme si tout était beau et joyeux, même les pires clients le rendait heureux.
Mais soudainement, en plein milieu de l’après-midi, toutes les lumières du magasin se mirent à clignoter…
– Mais qu’est-ce qui se passe ? demanda Marlène en stress.
– Aucune idée… On dirait un champs électromagnétique ! Répondit Alex qui se mit à paniquer d’un seul coup.
– C’est quoi ça ?
– Un effet électrique qui détraques les appareilles électroniques et électroniques…
– Mais qu’est-ce qui provoque ce genre d’effets ?
– Un électro-aimant par un exemple !
– Francine, tu as déjà vu ça ici ? Demanda Alex.
– Non… Répondit Francine, mais Alex remarqua qu’elle était mal à l’aise, comme si elle caché quelque chose.
– Si, souvenez-vous, une fois nos téléphones ne captés plus ! Rappela Marlène à Francine, celle-ci ne répondit rien.
– Un champs machin chose peut faire cela ? demanda Marlène en s’adressant à Alex.
– Oui, mais… répondit Alex, qui fut interrompu par les lumières qui se mirent à remarcher subitement.
Le reste de la journée se passa sans autre problème, Alex et Marlène repartirent ensemble.
– Francine nous cache quelque chose, j’en suis sûr ! Affirma Alex avec conviction.
– Mais pourquoi elle ferait ça ? demanda Marlène perplexe.
– Je ne sais pas… C’est vraiment bizarre… Mais il se passe quelque chose dans ce magasin…
– Et qu’est-ce qu’on va faire ?
– On doit y réfléchir… demain soir allons prendre un verre, histoire d’y penser à tête reposer.
– D’accord, mais on dirait une excuse pour prendre un verre ensemble, répondit Marlène d’un ton de malice dans la voix.
La nuit, Alex repensa à ce qui s’était passé, se demandant comment agir ?
Le demain soir arriva très vite, sans qu’aucun autre phénomène du même genre arriva comme la veille.
Alex et Marlène allaient dans le café au coin de la rue.
À peine entrer, ils sentirent une bonne odeur de café chaud, mais aussi une désagréable odeur d’alcool.
Après s’être assis à une table et après avoir commandé, Alex se mit à parler le premier :
– Ces phénomènes électromagnétiques ne sont pas naturelles, il y a aucun transfo ou des trucs avec des bobines dans le coin…
– Mais de quoi veux-tu parler ? Tu penses à quoi exactement ?
– Aucune idée… Répondit Alex perplexe, il se frotta le menton.
Après avoir bien bu leurs boissons, Alex reprit la parole, il sembla sérieux, ce qui étonna Marlène :
– Il est clair que Francine nous caches quelque chose, on doit enquêter nous même pour découvrir ce qui en retourne !
– Mais pourquoi ? S’étonna Marlène.
– Je ne veux pas qu’il t’arrive quelque chose !
– Qu’est-ce que tu racontes ? Que veux tu qu’il m’arrive avec ces phénomènes électriques bizarres ?
– Si ça en pire, ça peut devenir dangereux !
– Sérieux ?
– Oui !
– Mais si Francine cache quelque chose, faudra être discret… Comment va t-on faire ?
– Le midi elle est pas là, c’est là qu’on enquêteras…
– OK, qu’est-ce qui se passera si on découvre quelque chose de vraiment chaud ?
– Aucune idée… Répondit Alex avec de l’hésitation de la voix, il reprit d’un ton plus déterminer encore :
– Mais on ne peux pas rester sans rien faire, il faut agir !
EPISODE III
Le mystère du Geek Island
La veille qui précédée leur enquête avec Marlène au Geek Island, Alex resta une grande partie de la nuit éveiller à cogiter.
Il se demanda ce que pouvait caché ses phénomènes électromagnétiques…
Cela pouvait être tant de choses… Alex mit de côté une machine que Francine cacherait.
Il était peu probable que ça soit un transformateur dans le coin, car il n’y avait pas ce genre d’appareil à proximité du Geek Island.
Alex réfléchissait pendant encore des longues minutes, mais sans rien trouver…
Puis au bout d’un long moment de réflexion, Alex s’endormit enfin…
Le matin quand son téléphone sonna, le réveille fut rude, Alex eut du mal à sortir de son lit.
Il avançait avec difficulté pour se diriger vers la salle de bain, mais heureusement sa douche le réveilla.
Il avait besoin d’énergie, vu sa tâche qu’il l’attendait, son cerveau devait être fonctionnel.
Après s’être habillé, une fois son petit-déjeuné pris, Alex sortit de son appartement. Il était déterminer à trouver ce que cachait Francine.
La matinée se passe sans aucun souci, puis quand le midi arriva,
Alex et Marlène attendirent que Francine parte déjeuner pour commencer leur enquête.
Ils étaient dans la salle de pause. Assis l’un en face de l’autre, il y avait une odeur de nourriture froide qui flottait dans les airs.
Le problème que les deux amoureux rencontraient, c’est quoi chercher ? Ils n’avaient pas la moindre idée de ce qui pouvait être à l’origine de tout cela…
– Je suppose que n’a aucun matos pour détecter des phénomènes magnétiques ? demanda Marlène perplexe.
– Non, c’est plutôt le job d’un électricien, moi j’étais dans l’électronique à la base, ça n’a rien à voir… répondit Alex.
– Alors qu’est-ce qu’on va faire ?
Alex réfléchit quelques secondes, puis demanda :
– Les phénomènes ont lieu partout dans le magasin ?
– Oui, des fois les lumières ont déjà clignotaient ici… répondit Marlène qui semblait s’être soudainement souvenu de cette anecdote.
– On dirait que c’est alternant… ça veut dire que ce n’est pas naturel !
– À quoi tu penses, pas à un fantôme j’espère ? Marlène était devenue subitement blanche comme neige.
– Me dit pas que tu crois aux fantômes ? s’étonna Alex d’un ton presque moqueur, qui ne se serait jamais douter de cela.
– Si ! Confirma Marlène qui n’apprécier pas le ton d’Alex, pour elle ce sujet semblait sérieux.
– Désoler chérie, je ne voulais pas te contrarier… Mais je ne crois pas que ça soit des fantômes… dit Alex sincèrement, il se mit à réfléchir quelques secondes, il reprit :
– Je ne sais pas ce que ça peut être, mais si cette chose doit apparaître et disparaître…
– Comment ça ? s’exclama Marlène qui semblait ne pas comprendre où voulait en venir Alex.
– Je sais que c’est étrange, mais si ces phénomènes sont alternant, c’est que quelque chose doit apparaître et disparaître quelque part dans le magasin.
– Mais comment est-ce possible ?
– Aucune idée… Mais cette chose doit apparaître dans un endroit où tu ne dois jamais aller…
– Mais à part l’arrière boutique, il y a pas d’autres pièces ! Marlène était très perplexe face aux suppositions d’Alex.
–À ta connaissance, il doit avoir une pièce que Francine t’as cachées l’existence, vu qu’il est clair qu’elle cache se qui passe ici.
– Mais c’est petit ici, je l’aurai vu forcément ! répliqua Marlène qui commencer à s’énerver.
– Hummm… hésita Alex qui était perplexe.
Alex se mit à réfléchir pendant plusieurs secondes, qui paraissaient interminable… Puis soudainement, il leva le doigt signifiant qu’il venait d’avoir une idée, Marlène sursauta, il s’exclama avec triomphe :
– On est d’accord que ces phénomènes sont électromagnétiques, donc, les objets en métaux seront attirés par ça, comme pour un aimant ! Du coup… Alex se leva de table et alla à son casier se situant au fond de la pièce et pris son porte-feuille.
– Où veux tu en venir ? l’interrompit Marlène de plus en plus perplexe.
– À ça ! répondit Alex en sortant une pièce d’un euro avec un grand sourire, comme s’il venait de résoudre le plus grand mystère de l’univers.
Il la posa au sol sur la tranche, mais il ne passa rien… Marlène était sans voix, l’air perdue et elle regarda Alex comme si celui était devenue fou.
– Et que devait-il se passé au juste ? Demanda-t-elle intriguée.
– Rien pour le moment, mais on va attendre que le phénomène se reproduise et logiquement cette pièce sera attirée et nous pourrons localisé ce qui est à l’origine des phénomènes, répondit Alex toujours aussi sûr de lui.
– Ah OK ! Pas mal comme idée ! se réjouis Marlène avec un éclat lumineux dans les yeux. Puis après plusieurs secondes, elle reprit :
– Sauf si aucun phénomène se produit… finit-elle par dire d’un ton plus prudent.
– Faut attendre… On verra bien.
Plusieurs minutes s’écoulaient où il ne se passa rien, au moment où Marlène voulait arrêter, subitement, les lumières de la pièce se mirent à clignoter…
La pièce fusa en roulant, vers l’arrière de la salle de pause, elle se figea contre une rangé de casiers.
– Mais c’est quoi ce bordel ? s’exclama Marlène très surprise par ce qu’elle voyait.
– Hmmm… Il doit avoir quelque chose derrière ! répondit Alex d’une voix excitée.
– Derrière ? Tu veux dire derrière les cassiers ? demanda Marlène totalement abasourdit.
– Non, plutôt derrière ce mur ! Il faut virer ces casiers !
Les deux amoureux, se mirent à déplacer la ranger de casiers, après une minutes ou deux d’efforts incroyable, surtout pour Alex qui n’était pas physique comme personne, ils parvenaient à bouger les casiers.
– Aaaah ! La vache ! dit Alex à bout de souffle en transpirant à grosses gouttes.
– Je… Préférerai transpirer sous la couette perso ! répondit Marlène dans une grosse respiration. Alex resta bouche-bée par cette réponse inattendue de Marlène.
C’est avec stupeur qu’ils découvrirent une porte sans poignet, Alex avait un sourire un petit peu trop victorieux au goût de Marlène.
– Et maintenant ? demanda-t-elle.
– Il faut un couteau pour ouvrir cette porte.
Marlène partir chercher son couteau dans l’évier se trouvant à la droite de la pièce, tandis que la pièce d’Alex était coller à la porte.
Marlène revint son couteau à la main, elle le tendit à Alex qui le saisit.
Il se dirigea devant la porte et enfonça le couteau dans le trou de la porte et le tourna à l’intérieur. Il eut un cliquetis, puis la porte s’ouvrit, la pièce d’Alex roula à l’intérieur de l’ouverture, sans que celui ne puisse rien faire…
Derrière la porte se cacha des escaliers fait de pierres, qui défendirent dans une pièce sombre…
– Qu’est-ce qu’on fait ? demanda Marlène qui commencé à paniquer.
– On y va ensemble ? suggéra Alex en lui tendant la main, elle la saisie et ensembles, ils descendirent les escaliers vers l’inconnue…
On pouvait entendre les bruits métallique de la pièce tomber en bas de la pièce inconnue.
Plus ils descendaient, en avançant prudemment à cause de l’obscurité, plus il descendaient, plus une étrange lumière bleu apparaissait…
– Mais c’est quoi ce bordel ?! s’exclama Marlène qui paniqua totalement.
– Aucune idée ! répondit Alex qui lui aussi paniqué, mais il tenta de ne pas le montrer à Marlène, il voulait ne pas la faire paniquer encore plus.
Après plusieurs minutes de descente, ils arrivaient enfin à destination, dans une petite pièce froide.
Les murs étaient en pierres sombres, les coins de la pièce étaient remplis de toiles d’araignées.
Il y avait un ancien tableau électrique au fond à droite, le sol était poussiéreux.
Mais ce qu’ils virent leur devant eux, leurs glaçaient le sang, il y avait une étrange petite sphère bleu étincelante qui flottait dans les airs…
– Mais c’est quoi ça ?! s’exclama Marlène.
– Aucune idée, mais cette chose n’est pas normal ! Personne n’a jamais vu ça !! répondit Alex pris de panique, les yeux écarquillaient.
– Bienvenue dans mon cauchemar ! dit une voix familière, en l’entendant Alex et Marlène sursautaient, puis se retournaient en levant la tête et découvrirent Francine en haut des escaliers…
EPISODE IV
Le portail dimensionnel
Marlène, Alex et Francine se tenaient autour de la sphère, ils gardaient plusieurs mètres de distance avec elle…
– Dis-nous ce que c’est cette chose ? demanda Alex voulant le fin mot de cette histoire de fou.
– Mais j’en sais rien ! s’exclama Francine à bout de nerf, tout ce que je sais c’est que ce machin est apparu il y a plusieurs semaines et que c’est lui qui déclenche tous ces phénomènes électriques !!
Alex resta silencieux, réfléchissant à ce que pouvait être cette chose, mais aucune idée lui venue.
– Mais qu’est-ce qu’on va faire maintenant ? demanda Marlène en panique.
– Je ne sais pas ! J’ai essayé de fermer la porte et de mettre les casiers devant pour essayer d’isoler ce truc, mais ça n’a pas marcher ! affirma Francine.
– Il est clair que les autorités ne pourrons rien faire contre ça ! s’exclama Alex.
– C’est sûr, mais ça nous dit pas quoi faire… répondit Marlène d’un ton désespéré.
– Déjà, il faut remonter à l’étage, on réfléchira à tête reposer, conseilla Francine.
– OK… Alex n’eut pas le temps de finir sa phrase, car la sphère se mit à réagir, elle grossissait de plusieurs centièmes, la pièce d’Alex que tout le monde avait oublier, fut attiré vers elle. Subitement, la pièce fut aspirer à l’intérieur de la sphère.
Tous restaient abasourdit par ce qui se passé devant leurs yeux. Alex s’approcha par curiosité, Marlène lui hurla de reculer, mais trop tard, un autre phénomène se produisit, un rayon d’énergie bleu sortit de la sphère et toucha Alex de plein fouet !
Le rayon toucha le torse d’Alex, il ne ressentit comme une petite décharge électrique, il fut projeté en arrière sur plusieurs mètres, atterrissant contre un mur en pierre.
La violence du choc terrorisa Marlène et Francine, mais après quelques secondes, Marlène se précipita vers le corps inanimé d’Alex…
…
Alex revit tous ces derniers mois en boucle, la rencontre avec Marlène, sa début de relation avec elle, tous ses moments heureux passés auprès d’elle, mais subitement, tout changea… Il eut cette fameuse sphère étrange… Qu’est-ce que cela pouvait-il bien être ? Alex en avait pas la moindre idée… Puis quelque chose s’était passé récemment mais quoi ? Il ne savait plus… Tout ce dont il se rappelé c’était qu’il se trouver devant, puis… Puis quoi ? Le trou noir…
Tous se bouscula dans sa tête, tout n’était plus que des images qui défilaient, cela lui paraissait confus, il n’y avait plus de sens dans tout cela.
Puis soudainement, Alex se réveilla, tout était flou autour de lui, il n’avait pas la moindre idée où il pouvait être… Tout ce qu’il savait c’était qu’il était dans un lit, allongé, il y avait quelque chose lui entoura la tête, quelque chose qui le serrer.
C’était à peine s’il parvenait à bouger, sa tête lui faisait terriblement souffrir… Cela le rendait fou, il souffrait sans savoir pourquoi ?
Soudainement, il entendit une voix qui ne connaissait pas, elle l’appela, il tourna la tête avec difficulté vers elle.
Alex n’aperçut qu’une silhouette s’approchait de lui, elle dit :
– Monsieur, monsieur, tout va bien, vous êtes à l’hôpital de Soissons.
Alex ne saisit pas tout de ce que disait la silhouette, il resta silencieux, tentant de reprendre contenance.
– Vous êtes rester deux jours inconscient et vous avez également un léger traumatisme crânien, mais vous allez bien, reprit la voix.
Quand il entendit « traumatisme crânien », Alex sentit son cœur faire un bond. Mais il respira un grand coup, quand il se rendit compte que ce n’était rien de trop grave.
Sa vision commençait à aller mieux, la silhouette devint plus net, il s’agissait d’un docteur. Facilement reconnaissable à cause de sa blouse, c’était un homme âgé d’une quarantaine d’années, il souriait à Alex, celui-ci était abasourdit par les propos du docteur… Comment pouvait-il être inconscient depuis deux jours ?
Soudainement, Alex se rappela, il revoyait le rayon d’énergie arrivait droit sur lui…
D’un seul coup, il eut un flash, il se mit à sourire subitement, le médecin le regarda étrangement.
– Vous me comprenez ? demanda-t-il.
– Oui, désolé j’étais ailleurs… répondit Alex d’un air gêné, et on m’a trouver où ?
– Au magasin le Geek Island, vous vous souvenez de quelque chose ?
Alex ne répondit pas tout de suite, il savait que Francine et Marlène l’avaient déplacer, ils ne voulait pas que le docteur en sache trop. Car il savait très bien qu’il serait pris pour un fou. Après plusieurs secondes de réflexion, il répondit :
– Heuu… Non… Désolé… Il savait que le médecin serait suspicieux par rapport à ce temps beaucoup trop long avant de répondre, mais peu importé.
– D’accord, vous devez savoir, qu’on vous avez reçu une puissante décharge électrique qui aurait dû vous tuer ! Mais par miracle, vous n’avez rien.
Cette fois Alex était choqué par cette révélation, ce que le docteur remarqua aussitôt.
Alex toucha son corps et sentit des bandages sur son ventre, comment pouvait-il être encore vivant ?
Il sentit comme si sa tête aller exploser à cause de toutes ces questions qui lui trotter dans la tête.
Alors qu’il était dans ses pensées, on frappa à la porte, Alex dit « entrez », puis la porte s’ouvrit, Marlène entra, il retrouva directement le sourire.
– Oh mon dieeeeeu ! Mon amour tu t’es réveillé !! hurla-t-elle les larmes aux yeux.
Marlène sauta dans les bras de Alex, celui-ci commençait à ne plus respirer à cause de la pression, elle l’embrassa, puis relâcha son étreinte.
– Mon cœur, comment tu vas ? demanda-t-elle.
– Bien, merci de ta visite ! répondit Alex avec émotion.
– Bon, je vais vous laisser en amoureux, dit le docteur en quittant la chambre.
Une fois celui-ci partit, Alex indiqua à Marlène de s’approchait de lui, ce qu’elle fit sans comprendre pourquoi. Alex chuchota à l’oreille de Marlène pour être bien sûr que personne n’entende, d’un air triomphant :
– Je sais ce que c’est cette sphère…
– Ah et c’est quoi ?
– Un portail dimensionnel !
La voix d’Alex s’était élever de plusieurs octaves.
– QUOI ?!!
L’exclamation de Marlène fit sursauté Alex et on pouvait entendre quelque chose tombé au sol dans le couloir…
– Chuuuut moins fort !
Marlène se calma aussitôt et leur conservation reprit son cours, ils continuaient de parler le moins fort possible.
– Comment tu le sais ? ça pourrait être autre chose ?
– Réfléchit à tout ce qui s’est passé, ma pièce a été aspirer, quelque chose est sorti de la sphère également, que veux-tu que ça soit d’autre ?
– Bah chais pas ! Mais là, ça ressemble à de la SF !
– Oui je sais ! Mais je suis presque sûr de moi ! Alex se tût quelques secondes avant de reprendre :
– Le danger c’est que d’autres choses peuvent en sortir…
– Tu veux dire… Mais Marlène ne pu terminer sa phrase, elle fut interrompu par quelqu’un qui frappa à la porte.
C’était Francine derrière la porte, elle avait les larmes aux yeux, elle s’approcha du lit d’Alex et dit d’un air désolé :
– Je suis vraiment désolé de ce qui t’arrive !
– Ce n’est rien… Répondit Alex gravement.
Plusieurs minutes se passaient où Alex expliqua ces suppositions concernant la sphère à Francine, qui resta médusée.
– Et si tu as raison, on peut faire quoi ? demanda-t-elle.
– Aucune idée… répondit Alex dépité.
– On verra ça plus tard, tu dois te reposer chérie ! affirma Marlène d’une voix inquiète.
– Ta copine a raison, je te donne tout le temps que tu as besoin pour t’en remettre, ajouta Francine.
Alex savait qu’elle disait cela à cause de son sentiment de culpabilité, mais cela lui réchauffa tout de même le cœur.
– OK… finit par répondre Alex.
– Je vais veillai sur toi mon cœur ! dit Marlène tendrement.
– Tu es sûr ? demanda Alex perplexe, du fait qu’ils étaient ensembles il n’ y a moins de trois mois.
– Quelqu’un doit t’aider en cas de soucis, je suis la mieux placer pour cela !
– D’accord ! concéda Alex.
Alex et Marlène rentrèrent ensemble chez lui, une fois arrivé à destination, Marlène accompagna Alex jusqu’à son lit.
Le soir venue, Marlène était revenue avec des affaires à elle pour plusieurs semaines, ce qui surprit Alex. Ne pensant pas qu’elle resterai jours et nuit avec lui… Mais ne voulant pas lui faire de peine, il ne lui disait rien…
Le lendemain matin Alex se réveilla avec un mal de tête incroyable, le docteur lui avait prescrit des comprimés pour la tête, qui alla prendre dans sa cuisine. Puis il se rendit dans la salle de bain et il s’arrêta devant son miroir, voulant savoir qu’elle tête il avait depuis son accident.
C’est sans surprise qu’il vit un visage blafard, des traits tirés, un bandage lui recouvrant tout le crâne.
En retirant son haut de pyjama, il remarqua un autre bandage recouvrant son torse. Il se demanda comment cela est-il possible qu’il soit encore en vie ?
Après une bonne douche, il retourna dans sa chambre, maintenant c’était devenue la sienne mais aussi celle à Marlène… Il s’habilla, pendant que Marlène se leva.
Puis le midi arrivant, les deux amoureux le passa ensembles. Marlène avait préparer des pâtes aux beurres, n’étant pas une très bonne cuisinière.
– Ça va mieux mon cœur ? demanda-t-elle, toujours aussi inquiète à son sujet.
– Mieux… Grâce à mon médicament… répondit Alex avec difficulté, tu comptes ne pas travailler aujourd’hui ?
– Oui, tant que tu ne seras pas guéri, je reste avec toi. Francine est d’accord, elle m’accorde quelques jours de RTT.
– OK…
Alex se douta que si Francine avait consentit à cela, ce n’est pas par hasard, elle devait culpabiliser.
Il eut un silence gênant, puis Marlène reprit la conversation et dit d’un ton grave :
– Tu sais quand je t’ai vu par-terre avec tout ce sang qui coulé, j’ai cru te perdre…
Alex resta silencieux après cette révélation, il ne s’était pas douté de ce que Marlène avait pu vivre au moment de l’accident…
Le reste du repas se passa dans un calme étrange, puis Alex tendit la main pour attraper une bouteille de coca, mais elle était un peu trop loin, il demanda :
– Chérie, tu peux me passé le co… Mais il fut interrompu par une chose incroyable, dépassant tout ce qu’il s’était passé jusqu’à présent, la bouteille de coca se déplaça d’elle-même jusqu’à lui…
EPISODE V
Les pouvoirs extraordinaires d’Alex
Les semaines qui suivirent Alex commençait à guérir, mais malgré tout, quelque chose le troubla et c’était peu dire…
Il avait reçu un pouvoir extraordinaire, un pouvoir comme ceux qu’il avait déjà mainte et mainte fois vus dans des comics, BD, série TV, etc.
La télékinésie !
Cela était forcément lié à la sphère, comment ? Alex en n’avait aucune idée…
Alex ne comprenait rien à tout cela, on aurait dit qu’il était plonger dans un rêve…
Quitte à avoir un pouvoir, même si on ne comprenait pas comment on l’avait eu, il fallait tenter de le maîtriser. C’était ce que Alex s’était essayer à faire.
Il avait d’abord tenter de faire venir à lui des petits objets, style la télécommande. Puis des plus gros, comme un gros livre, puis sa tour d’ordinateur.
Cela lui avait pris beaucoup de temps avant de déplacer les plus gros.
Alex était fière d’y arriver, s’entraîner lui permettait de bien s’occuper pendant sa convalescence. Il avait même reprit des couleurs, il se sentait en forme.
Alex était en train de s’entraîner le bras tendus, quand soudainement, Marlène arriva derrière lui, le toucha à l’épaule, celui-ci sursauta.
Son téléphone qui léviter de quelques centimètres au dessus du sol, tomba violemment.
– Merde ! Hurla-t-il.
Il se retourna vers Marlène, la main sur le cœur, celle-ci leva les main en signe qu’elle était désolé.
– Qu’est-ce qu’il y a chérie ? Demanda-t-il.
– Rien de spécial, je voulais juste te dire bonjour, répondit Marlène avec un grand sourire.
Elle s’approcha de lui et lui donna un petit bisous sur la bouche, Alex s’était habitué à sa présence toute la journée. Même la voire en pyjama ne le gêné plus.
– Au fait, tu as l’air de maîtriser ton pouvoir, c’est vraiment extraordinaire ! Affirma Marlène toujours avec un grand sourire.
– Oui, même si je ne comprends toujours pas comment j’ai pu obtenir ce pouvoir ? Répondit Alex perplexe.
– Un vrai mystère lié avec cette sphère étrange…
– Dis moi, tu as l’air guéri ? Reprit Marlène.
– Presque, ça me fait penser, maintenant que je vais mieux, tu n’es plus obliger de rester avec moi.
– Tu en a marre de moi ? Demanda Marlène, dont la voix trahissait l’inquiétude de ce que aller répondre Alex.
– Non c’est pas ça, mais tu as ton appart et ton job, répondit Alex calmement.
– C’est vrai, je vais voir avec Francine, si je reprend reprend le boulot, je pars de chez toi dans la foulée.
Alex sentit le soulagement dans les yeux de Marlène après ce qu’il avait répondu.
Il s’approcha d’elle la saisit par la taille et l’embrassa tendrement et lui chuchota à l’oreille :
– Tu vas quand même me manquer bébé !
Alex sentit sa copine frissonné dans ses bras, il la relâcha, puis il se dirigea vers la salle de bain.
– Tu ne veux pas que je vienne avec toi ? Demanda Marlène dans un souffle, visiblement encore toute chamboulée.
– On va éviter de tomber, ça serait dommage qu’on finisse tous les deux à l’hôpital ! Répondit Alex d’un ton malicieux.
Une fois à l’intérieur de la salle de bain, Alex se regarda dans le miroir et vit un reflet d’un visage qui avait reprit des couleurs.
Après plusieurs minutes de lavage, Alex sortit de la salle de bain, il se dirigea dans sa chambre et s’habilla.
Marlène à son tour fit de même, Alex de son côté se vautra dans son canapé.
Plusieurs minutes se passaient sans que rien de spécial n’arrive, Marlène revint vers son mec et se blottit contre lui.
Soudainement, le téléphone de Alex (qui été resté au sol) sonna, Alex se leva brutalement, ce qui fit tomber Marlène du canapé.
Alex prit son téléphone et décrocha, il reconnut la voix paniqué de Francine :
– Désolé de te dérangé, mais je ne savais pas qui appeler !
– Qu’est-ce qui se passe ? Répondit Alex dont le stress avait grimpé d’un seul coup.
– Viens vite au magasin !! Je ne peux pas t’en dire plus là !
Francine raccrocha, Alex revint vers Marlène avec une expression de panique, ce qu’elle remarqua aussitôt. Elle savait que c’était le signe qu’un malheur se prépara…
Une quarantaine de minutes plus tard, les deux amoureux se retrouvèrent devant le Geek Island.
Une chose les frappaient en arrivant, le magasin était fermé, mais le rideau de fer n’était pas baissé.
Marlène avait un double de clé donné par Francine, ils entrèrent, toutes les lumières du magasin clignotaient, mais aussi les bornes d’arcades se mirent toute seule en marche…
On se croirait à l’intérieur d’une maison hanté, Alex et Marlène se prirent la main, totalement paniqué par ce qu’ils voyaient.
Ne voyant Francine nulle part, ils déduisaient qu’elle se trouvé au sous sol…
Ils traversaient le magasin, arrivé à la salle de pause, la porte cachée était grande ouverte, ils avancèrent ensemble et descendirent les escaliers.
– Francine ! Francine ! Appela Alex, mais il n’y avait aucune réponse…
Alex et Marlène arrivaient enfin en bas et la chose qu’ils découvrirent leur glaça le sang…
La sphère s’était transformé, elle s’était aplatie formant un disque parfait. Qui tourné dans le sens des aiguilles d’une montre, à l’intérieur il y avait une spiral qui suivait le sens de rotation du disque d’énergie.
Il en sortait des arcs électriques, un spectacle terrifiant…
– Mais qu’est-ce qui se passe ici ? Demanda Alex en panique.
– J’en sais rien, ça a changer, maintenant, c’est devenu cette chose horrible, qui détraque tout dans mon magasin !! Répondit Francine terrifié.
Alex se tourna vers elle, qu’il n’avait même pas remarqué en arrivant, il remarqua la blancheur de sa peau, elle semblait avoir prit dix ans.
– Je crois que j’avais raison, c’est bien un portail dimensionnel ! Affirma-t-il.
– OK, mais ça ne change pas le problème ! Répondit Marlène d’une voix tremblante, alors que quelques gouttes de sueur défoulaient sur son front.
– Je sais, mais on ne peut rien y faire… Répondit Alex désemparé.
– Faut bien tenté quelque chose ! S’exclama Marlène.
– J’ai peur que quelque chose en sorte !
– Comme un alien ?
– Oui !
Alex se mit à réfléchir intensément, puis après plusieurs secondes, il se tourna vers Francine et demanda :
– Tu l’as vus faire d’autre truc ? Comme grandir ?
– Heeeeu…. Non !
– OK !
Alex était perdu, aucune idée lui vint, on ne pouvait pas arrêter cette chose, les autorités ne pouvaient rien faire, mais le truc, c’est qu’il ne voyait aucune autre solution.
Il se tourna de nouveau vers Francine et s’apprêta à lui dire quelque chose, mais fut interrompu par le portail…
Celui-ci se mit à grossir de plusieurs centimètres, les arcs électriques redoublés de puissance.
À présent le portail était suffisamment gros pour faire passé un objet, comme un ordinateur et sa tour qui va avec.
Et c’était bien le cas, quelque chose qui ressemblait à une jambe, franchissait le portail dimensionnel, sous les yeux terrifier de tout le monde. Puis une deuxième en sortit…
Puis enfin quelque chose qui ressemblait à une tête et un corps passa le portail, qui entra dans notre monde.
L’être se tenait devant Francine, Marlène et Alex, il était baissé, puis soudainement, il se relava doucement…
Cette chose était de taille humaine, il portait une étrange armure, d’un métal inconnu et d’un design futuriste, qui le recouvrait de la tête jusqu’au pied, elle était rouge.
Il les regardaient avec des yeux rouges étincelants, comme ceux d’un rebot, peut être en était-il un ?
Il portait également une arme, ressemblant à un fusil, mais d’une technologie bien plus avançait…
Alex était abasourdit, terrifié, cela ne pouvait être vrai, c’était un rêve, il n’y avait pas d’autres explications.
Pourtant, cet étrange être venu d’ailleurs, semblait bien vivant, aussi réel que lui ou ses amis…
Comment tout cela était-il possible ? Aucune idée, de toute façon, l’heure n’était pas à la réflexion, mais à l’action. Le seul problème, c’était que ses jambes refusaient de bouger…
Soudainement, la créature se mouva, tout le monde reculaient de plusieurs pas, puis l’être pointa son arme, prêt à faire feu !
EPISODE VI
L’être venu d’ailleurs
Personne ne pût rien faire quand la créature extraterrestre tira sans somation, la détonation résonna, brisant le mur du son.
Le projectile fusa, cela ressemblait à un laser rouge, à peine perfectible à cause de sa vitesse…
Il toucha Francine de plein fouet, entre les deux yeux, son corps fut projeter en arrière, tel une poupée désarticulée. Son corps retomba lourdement au sol.
Marlène et Alex étaient figés sur place devant ce spectacle d’horreur et se mirent à hurler comme des damnés.
Alex ne savait plus quoi faire et cela était normal, comment réagir face à une telle créature?
Puis la créature pointa son arme vers Marlène, c’est alors que sans réfléchir une seconde de plus, Alex fonça sur la créature, il se mit devant, mais elle leva son arme au dessus la tête d’Alex. elle le frappa en plein visage.
Celui-ci tomba au sol comme une pierre, le visage en sang, la créature pointa son fusil pour en finir…
Alex savait que sa derrière heure était venue, une vie bien courte…
Il sentit la terreur envahir son être. Par réflexe, Alex mit ses mains en opposition, la créature tira, mais étrangement son projectile une fois arrivé sur les mains d’Alex, fut stopper et revint vers elle.
Qui fut toucher dans le plastron de son armure, elle vacilla, laissa tomber son arme.
Sans hésiter une seconde, Alex se releva, se précipita et la récupéra, il la dirigea vers la créature, qui ne pût rien faire. Alex appuya sur la détente (ressemblant étrangement à une détente d’un fusil humain ), le projectile fusa sur l’extraterrestre et le toucha de nouveau au même endroit.
Il s’écroula totalement inerte. Alex n’en revenait pas de ce qu’il venait de faire, il avait réussit à abattre un extraterrestre !
Son corps fuma, il y avait des gros trous dans son plastron, Alex s’approcha du corps de l’alien et l’observa quelques secondes et vit qu’il était bien mort.
Puis il tituba vers Marlène, sa vision se troubla, il avait oublier qu’il tenait encore le fusil, qu’il laissa retomber lourdement au sol, Marlène était en larme au dessus du corps de Francine.
Alex en voyant ce qui resta de Francine, il eut des hauts le cœur, la pauvre avait sa cervelle qui recouvrait le sol, celle-ci était entourée du sang de Francine…
Marlène se tourna vers Alex et lui sauta au cou, celui-ci fut déséquilibré, puis retrouva son équilibre, il serra fort sa copine, puis quelques secondes plus tard, il relâcha son étreinte.
– On doit bouger d’ici ! Dit-il d’un ton paniqué encore sous le choc.
Ils remontèrent jusqu’au magasin, Alex se posa sur une chaise, il sentit des étourdissements à cause de sa perte abondante de sang.
– Qu’est-ce qu’on fait ? Demanda Marlène en panique.
Alex avait les idées embrouillés, il prit quelques secondes avant de répondre et il dit :
– On doit… Appeler la police, on ne peut pas laisser le corps de Francine comme cela !
– Tu as dit toi même que la police ne pourrait rien faire face à ces créatures !
– Oui, mais on n’a plus le choix! En plus, si cette chose a pu débarqué, d’autres viendrons !
– Tu… N’as pas tord… Mais, cela ne change pas le problème, qu’est-ce qu’on va faire si on se fait envahir ?
– Les Terriens doivent défendre leur planète ! Répondit Alex, dont la voix était devenue plus assurée.
– Oui, mais comment ? Car vu leurs technologies, on est pas dans la merde !
– J’en sais rien ! C’est à notre gouvernement d’agir ! C’est pas à nous deux qu’on pourras sauver la Terre ! s’emporta Alex.
Il eut un blanc pesant qui dura quelques secondes, puis Marlène se leva et alla chercher une trousse de secours.
Elle soigna Alex comme elle pouvait, puis elle dit d’un ton affolé :
– Mon dieu, tu saignes beaucoup ! Dire que tu viens à peine de sortir de l’hôpital !
– Je sais… Répondit Alex d’un ton las.
– Au fait, merci de m’avoir sauver ! dit Marlène d’un ton reconnaissant.
– Je le referai si nécessaire…
Marlène serra la main d’Alex, le regardant avec tendresse, puis ajouta :
– Il faut aussi appeler les urgences, je crois que ta blessure est un peu plus grave que ça en à l’air.
– OK… D’abord Francine !
Marlène sortit du magasin pour pouvoir appeler la police, ainsi que les urgences.
Pendant que Alex resta à l’intérieur, il repensa à tout ce qu’il s’était passé, une chose lui apparut comme étant une évidence, c’était que à partir de ce moment là, que les événement allaient s’accélérer…
Et que bientôt le monde, tel qu’il le connaissait, allait peut être se terminer.
EPISODE VII
Le commissaire LaDur
Une étrange affaire venait d’être attribué au commissaire LaDur.
L’homme avait été appelé dans l’après-midi, un mercredi par une jeune femme, qui était de toute évidence en panique.
Mais ce n’était pas cela la chose étrange dans cette affaire, c’était que sa patronne venait de se faire assassiner, mais la jeune femme n’avait pas voulu en dire plus au téléphone.
Tout cela était bien louche et en plus de vingt ans dans la police, c’était la première fois que le commissaire L aDur était autant stupéfait. D’autant que à Soissons des affaires de meurtres étaient très rares…
LaDur savait bien que la jeune femme était innocente, il sentait une vraie détresse dans sa voix, mais qu’elle refuse d’en dire plus était vraiment étrange…
Le commissaire partit en direction de la scène de crime, il était accompagné d’une équipe.
C’était en début de soirée que LaDur arriva sur les lieux, et à peine sortit de sa voiture, quelque chose le frappa immédiatement, toutes les lumières étaient en train de clignotaient, certaines même, explosaient…
Marlène arriva à l’intérieur du magasin accompagné d’un policier, Alex se retourna vers eux et fut surprit par l’apparence de celui-ci, on aurait dit le cliché du flic.
Il était gros, l’air sévère, de taille moyenne, brun avec quelques cheveux gris, pour ceux qu’il lui resté sur le crâne, ses yeux étaient marrons, il avait un long nez. Et surtout une grosse moustache hirsute.
– C’est quoi ce bordel ?! S’exclama le commissaire LaDur en stress, mais qui resté grave.
– Je vais vous montrer ! Répondit Marlène stressé.
– Où est le corps ? Je veux que vous m’expliquiez tout !
Marlène et LaDur partirent en direction du sous-sol, pendant que Alex resta dans la salle de pause.
Il se demandait quelle serait la suite des événements, comment empêcher une possible invasion extraterrestre ? Le gouvernement n’avait aucun moyen d’agir…
Alex repensa au cadavre de Francine, une larme coula sur sa joue, c’est à alors qu’il sentit la rage monté en lui, ainsi qu’une immense haine envers ses maudits aliens.
Subitement, de la vaisselle se trouvant à l’intérieur du lavabo, se mit à se soulever dans les airs, puis retomba soudainement dans un fracas.
Alex avait qu’une seule chose à l’esprit, venger Francine !
Après une minute où Alex était plonger dans ses réflexions, Marlène et LaDur revenaient du sous-sol. Alex sursauta.
LaDur sembla plus de choqué par ce qu’il avait vu, Alex remarqua son visage blanc comme neige.
– Mon dieu ! Mais c’est quoi ce bordel ? S’exclama-t-il.
– Vous voulez parler de l’alien ? Demanda Alex d’un ton fatigué par le sang qu’il avait perdu.
– Oui… Répondit-il.
– Il vient du portail que vous avez vu !
– OK, mais il faut agir…
– Oui, c’est à vous de faire votre boulot ! S’emporta Alex.
– Je ne suis qu’un simple flic, je ne suis pas compétant pour ce genre de situation…
– Mais qu’est-ce qu’on va faire alors ? Demanda Marlène à bout de nerf.
Il eut quelques secondes de silence, où LaDur semblait être en intense réflexion, puis il reprit :
– On va commencer par emmener le corps de votre patronne, puis il faudra caché l’alien au badauds.
– D’accord… Mais comment vous allez faire ? Demanda Alex perplexe.
– Je m’en charge, ne vous inquiétez pas… Éluda LaDur, mais vous deux vous allez devoirs venir avec moi pour être interrogé.
– Mais pourquoi ? Vous savez bien qu’on n’a pas tuer Francine. Répliqua Marlène dont le ton s’était élever.
– Faut bien que je fasse mon job, en plus, je dois faire comme si s’était une vraie enquête. On ne doit pas suspecter quelque chose,
le publique ne doit pas être mis au courant, je veux éviter toute panique le plus longtemps possible.
Il eut quelques secondes de silence, pendant que LaDur réfléchit, puis il reprit :
– Les détailles de l’affaire doivent rester confidentiel, la moindre fuite et les médias vont s’en donner à cœur joie !
LaDur semblait se dirigeait vers la sortie, puis revint sur ses pas, se tourna de nouveau vers Marlène et Alex pour dire :
– Également, je dois vous interrogez sur tout ce que vous savez afin de pouvoir en référé à qui de droit…
Alex était de plus en plus faible, mais il lui resté un peu de clairvoyance, il se demanda de qui voulait parlait LaDur par « de qui de droit ».
– Oh mon dieu ! Chéri, on t’as complètement oublier, il faut que ailles à l’hôpital en urgence ! S’exclama Marlène en panique.
– Je crois que tu as raison… Mais et toi, tu compte y aller toute seule ? Répondit Alex d’une voix faible.
– Oui, t’inquiète pas pour moi.
– Une fois que vous serrais soignés, rejoignez-nous au commissariat, dit LaDur.
Alex était en train de se faire recoudre par un médecin, quand soudainement, il reçut un message, il regarda son téléphone et vit qu’il s’agissait de Marlène :
BB, j’espère que tu vas bien ? LaDur insiste pour que tu nous rejoignes au plus vite au commissariat, désolé…
Il lu avec attention le message, il leva les yeux vers le médecin et dit :
– Désolé, mais je dois y aller, pouvez-vous vous dépêcher ?
– J’ai presque fini et vous pourrais y aller, mais faites attention, votre blessure prendra plusieurs semaines à cicatriser, répondit le médecin qui semblait savoir ce que avait Alex en tête.
Celui-ci ne répondit rien, il se contenta de sourire, une fois que le docteur avait fini, Alex se leva de la table de patient, et se dirigea vers la sortie de l’hôpital.
Il était vingt et une heure quand Alex arriva au commissariat, on l’emmena au bureau de LaDur.
Quand la porte s’ouvrit, la première chose qu’il vit était Marlène assise, faisant face à LaDur.
– Bien, vous voilà enfin M Duval… Dit LaDur d’un ton presque brutal.
Alex ne savant pas quoi répondre, se contenta de prendre place à côté de Marlène. À peine assit, il sentit une étrange tension…
– Que vous voulez-vous savoir de plus ? Demanda Alex.
– Tout ce que vous savez ! Répondit LaDur.
– L’ennuie, c’est que je sais rien de plus…
– Votre petite amie m’a déjà raconté tout ce qu’elle savait, mais si vous pouvez m’en dire plus sur la chose qui a tuer madame Larose, cela m’aiderai beaucoup.
– Mais je n’en sais pas plus sur cette chose…
Alex réfléchit quelques secondes, puis reprit :
– Tout ce que je peux vous dire, c’est que je pense que la créature qui a tué Francine doit être un éclaireur, il est possible qu’une armée d’alien viennent nous attaquer.
À ces mots, Marlène se tourna vers Alex, l’air terrifié…
– Je vois… si vous avez raison, il nous falloir agir au plus vite… Mais LaDur ne pût terminer sa phrase, il fut interrompu par son téléphone portable qui se mit à sonner.
Il décrocha, Alex et Marlène se regardaient perplexe, tout ce qu’il capté de sa conversation était des « oui », « quoi », « je vois », comme des mauvaises répliques de mauvais films.
Puis LaDur raccrocha le téléphone, puis s’adressa de nouveau à eux :
– L’ autopsie de la créature a commencé, vous voulais voir ce que le médecin légiste à trouver ?
Alex regarda LaDur comme s’il venait d’une autre planète, puis après plusieurs secondes de silence, il répondit :
– Mais je croyais qu’il fallait garder cette affaire secrète ?
– Oui, c’est pour ça que j’ai demandé au médecin, qui est un ami, de m’appeler uniquement sur mon portable perso. Les appels d’ici laissent des traces.
– OK, je veux bien voir ce que votre ami à trouver…
– Moi aussi ! Répondit Marlène qui semblait avoir l’impression d’être mise de côté.
– Bien, suivez-moi !
Après plusieurs minutes de marche dans des longs couloirs et un ascenseur, ils arrivaient à la morgue.
Au milieu de la pièce à l’éclairage de néons blancs, se trouvait un homme en blouse, se tenant au dessus d’une table de dissection.
Dessus se trouvait quelque chose qui avait été recouvert par un drap blanc.
Alex savait qu’il s’agissait de la créature, il s’approchait avec inquiétude, suivit des autres.
– J’ai fait ce que tu m’a dit Franck, mais cette chose est vraiment incroyable… dit le médecin avec stupeur.
– D’accord, que as-tu découverts ? demanda LaDur.
Le médecin enleva le drap, en dessous, comme prévu, il y avait bien la créature…
Mais son casque était retirer, son visage était bien celui d’un alien, comme on pouvait le voir de la SF.
Gris, chauve, des oreilles pointues et petites, il avait les yeux fermés. Le reste de son corps était toujours recouvert par son armure,
Il eut plusieurs secondes de silence, puis Marlène prit la parole la première, brisant la glace :
– Il est vraiment dégelasse !
Il eut un autre silence, puis LaDur reprit la parole avec de la gène dans la voix :
– Bref, qu’est-ce que tu peux me dire de plus sur cette créature Robert ?
– Déjà son amure est clairement faite d’un métal inconnu de la Terre. Ensuite, il est clair que cette chose a été tué par son propre arme… Le médecin s’approcha du corps de la créature et montra les trous qu’avait fait les tirs du fusil.
– Aucune arme actuelle aurait pu transpercé le métal de cette armure. J’ai bien regardé la technologie son arme, j’ai rien vue de comparable… reprit le docteur.
– Je vois… répondit LaDur perplexe.
Alex resta silencieux, l’air très gêné, car il y avait une chose qu’il n’avait pas dite à LaDur… Et il n’y avait pas pensé que le médecin légiste remarquerait très sûrement que l’un des tirs avait été renvoyer contre la créature. Il serait difficile de l’expliqué…
Mais le truc, c’était que Alex ne pouvait pas parlé de son pouvoir à LaDur, car celui-ci ne le croirait pas.
– On dirait que l’angle de cette impact, fit le médecin en pointant l’un des trous, correspond à un renvois de son projectile, que je ne m’explique pas…
Alex sentit son cœur s’arrêter dans sa poitrine.
– C’est vraiment bizarre… répondit LaDur en se tournant vers Marlène et Alex, qui devenaient rouge comme des tomates.
– Il y a une dernière chose… reprit Robert, je n’ai pas réussit à retirer l’armure de cette chose, mais bizarrement le casque, j’ai très facilement réussit…
À ces mots, Alex eut des vertiges, Marlène le rattrapa, elle regarda LaDur l’air de dire : « c’est bon pour l’instant ». Celui-ci regarda sa montre et dit:
– Bon, vous deux, rentrez-chez vous, je vous appels si j’ai besoin de vous.
Quelques heures plus tard, une fois qu’il était rentrer chez lui, LaDur alla se vautra dans son canapé. Il était complètement épuiser. Cette journée a été un véritable enfer, rien de ce qui s’était passé n’avait de sens pour lui, le simple flic… D’une petite ville, comme Soissons qui plus est.
LaDur repensa à tout ce qu’il s’était passé, jamais de sa vie il aurait imaginé vivre un truc pareille.
Il fallait qu’il parvienne à n’y plus y penser et qu’il aille se reposer.
LaDur alla se coucher, c’était à peine s’il trouver la force de retirer ses vêtements, Et il s’effondra dans son lit.
Il ne pouvait pas effacer de son esprit le visage de l’alien, comment une telle chose pouvait-elle exister ?
LaDur tenta de l’effacer de son esprit, il fallait qu’il pense à autre chose, il ferma les yeux, tentant de faire le vide dans son esprit.
Et après quelques minutes, il y parvint, cette fois ses pensés se concentraient vers ce jeune homme… Ce qui n’était guère mieux, cet Alexandre Duval, n’était pas quelqu’un d’ordinaire. Il caché des secrets, le flic en lui le savait.
Sa copine et lui avaient été rester évasif sur comment ils avaient réussit à tuer l’extraterrestre.
LaDur savait qu’ils caché une chose très importante, il fallait qu’il découvre quoi !
C’était pour cela qu’il les avaient fait assister à l’autopsie de l’alien. Il voulait voir le réactions face aux contestations du légiste.
Et il avait vu juste, les deux amoureux étaient devenus si rouges face aux explications de Robert quant aux impacts mystérieux sur le plastron de l’alien, qu’ils auraient pût sévir de balise.
LaDur se retourna, il sentit le sommeil l’envahir.
Il y avait une autre raison à cela, il savait que la coopération de ces amoureux l’aiderai dans son enquête, donc, pour cela, il fallait leur donner des éléments de l’avancement de l’enquête.
LaDur s’endormit quelques secondes après avoir pensé à l’expression de culpabilité sur le visage d’Alex et de Marlène.
Il était vingt-trois heures, quand les deux amoureux étaient enfin rentré chez eux…
Ils s’étaient directement couché, tous les deux épuisés.
Une fois sous la couette bien chaude, Alex se tourna vers sa copine et dit :
– Merci d’être intervenue, j’ai cru que LaDur allait me tuer rien que avec son regard…
– Mais chéri, tu es trop fatigué, on aurait pas pût rester plus longtemps, répondit Marlène avec douceur.
– Oui c’est clair, mais je voulais éviter qu’il commence à nous poser des questions sur comment j’ai tuer la créature…
– Bon, chéri, si on dormait ? J’en peux plus, vraiment…
Alex fit oui de la tête et à peine qu’il ferma les yeux, il tombait immédiatement dans les bras de Morphée…
Ses rêves étaient tournés tous autour de la même chose, le portail, Alex le voyait très clairement.
Et son rêve pris une note plus grave, quand il vit une armée de créature traverser le portail, attaquant la ville. Détruisant tout sur leur passage et un projectile laser, venant de nulle-part fusait sur Marlène, sans qu’il puisse rien faire…
Alex se réveilla en hurlant, il avait les yeux écarquillaient par la terreur, il tremblait de tout son corps.
La sueur lui coulait de partout, il sentit son cœur cognait dans sa poitrine.
Marlène, elle aussi se réveilla en sursaut, réveillé par les hurlements d’Alex.
– QU’EST-CE QUI SE PASSE ?!!! Hurla-t-elle de terreur.
Alex reprit son souffle, se tourna vers Marlène, et répondit d’une voix tremblante :
– J’ai… ffffait un terrible cauchemar !
– OK, raconte-moi.
– J’ai rêvé que la terre se faisait envahir par les extraterrestres ! Alex eut une hésitation dans sa voix.
– On dirait que tu me dis pas tout, raconte le reste… Dit Marlène d’un ton pressant.
Alex était bouche-bée par la clairvoyance de sa copine, il répondit :
– Tu te faisais tuer !
Marlène ouvra la bouche pour répondre quelque chose, mais aucun mot ne sortie, elle regarda avec douceur Alex et lui dit finalement :
– C’est qu’un rêve, tu ne dois pas stresser par rapport à tout ce qui s’est passé…
Alex se doutait que Marlène essayer de le rassurer, mais elle ne croyait pas vraiment à ce qu’elle disait, comme si elle pressentait que son rêve allait se réaliser…
Après un blanc de quelques secondes, Alex reprit la parole et dit :
– Demain, il faut que j’aille au Geek Island, je dois vérifier
quelque chose…
– Si tu veux, mais je crois qu’il y aura la police par tout, vu qu’il y a eu crime, répondit Marlène.
Alex se tut et réfléchit quelques secondes pour trouver une solution à ce problème et demanda :
-Tu as le num de LaDur ?
– Oui, il me l’a donné en cas de besoin, c’est son num perso.
– Ça tombe bien, nous allons avoir besoin de lui pour passer les flics.
– D’accord, je l’appellerait demain matin, maintenant, si on dormait un peu ?
– Oui…
Le soleil traversa le store de la chambre d’Alex et Marlène, les réveillant tous les deux.
Après s’être lever, Alex se dirigea dans la salle de bain, pendant que Marlène appela LaDur.
Une heure plus tard, Marlène et Alex passaient par dessus les bandes de la police, sans que personne ne réagissent.
Ils entrèrent dans le magasin et se redirent au sous-sol et la première chose qu’ils virent étaient le portail qui avait doublé de taille…
C’était ce que redoutait Alex, il sentit son cœur faire un bond dans sa poitrine.
– Qu’est-ce qu’on fait ? Demanda Marlène.
– Aucune idée… Répondit Alex d’un voix éteinte.
Il eut plusieurs secondes de silence, pendant les quelles Alex réfléchit à quoi faire, puis il leva la tête et dit d’un ton presque triomphant :
– Je vais jeter un coup d’œil !
– Tu veux plonger dans le portail ? Demanda Marlène dans le ton de la plaisanterie.
– Oui !
– Tu déconnes, j’espère, c’est trop dangereux !
– C’est risqué, je sais, mais on n’a pas d’autre choix, si on veut voir ce qu’il en est !
– Mais si il y a pas d’oxygène de l’autre côté ?
– Je vais retenir ma respiration, je passe la tête quelques secondes, le temps de voir ce qui se passe de l’autre côté.
– T’es fou ! C’est trop dangereux ! S’exclama Marlène prise de panique.
– Je sais que c’est dangereux, mais on n’a pas le choix, tu n’as qu’a me retenir si tu veux !
Il eut quelques secondes de silence, puis Marlène céda finalement, mais juste avant de se lancer, elle dit :
– Tu regardes deux secondes et tu reviens !
Alex fit oui de la tête, il prit une grande inspiration et se dirigea vers le portail.
Puis se pencha vers lui, pendant que Marlène lui attrapa le tee-shirt, Alex retint son souffle et passa la tête au travers du portail…
Il sentit comme s’il plongé dans l’eau, mais sans être mouillé, il avait comme une sensation glacé qui pénétra son visage.
Une seconde à peine après avoir passé la tête, le temps d’apercevoir des mélanges de couleurs, et des étoiles qui défoliaient à une vitesse vertigineuses, il se trouva de l’autre côté du portail. Alex avait la nausée, mais la sensation disparut presque aussi tôt.
À peine qu’il avait franchit le portail, Alex sentit une énorme baisse de la température.
La première chose qu’il vit était un monde sombre, il y avait très peu de lumière. Seulement quelques rayons de soleil qui traverser de épais nuages noires… Ce monde n’était que désert de roche et de sable.
Au loin, Alex vit des éclairs éclataient, ils étaient violets, en contre bas, il vit la chose qu’il redouté le plus, quelque chose qui approchait, cela ressemblait à une armée…
Il était totalement en panique à cause de tout ce qu’il avait vu de ce monde effroyable !
À des kilomètres plus bas, se trouvait trois cylindres identiques et quelque chose frappa Alex, un rayon d’énergie sortait de chacun d’entre eux, les trois rayons se touchaient et étaient dirigeaient vers lui et se concentrant au même endroit.
Il était clair que ses rayons formé le portail, la preuve était qu’en baissant la tête, Alex pouvait voir ces rayons être connecter directement au portail.
Alex repassa de l’autre côté du portail, et pût enfin respirer à nouveau, il souffla un grand coup et sentit l’air remplir ses poumons.
Il lui fallait plusieurs secondes pour assimiler tout ce qu’il avait vu dans l’autre monde, puis il se tourna vers Marlène et lui raconta tout…
L’expression de son visage transpiré la peur et le choc, puis après plusieurs secondes de silence, Alex reprit la parole et dit d’un ton déterminer :
– Je pense que les cylindres que j’ai vu sont des générateurs de portail, je pense que si on les détruits, le portail disparaîtra et qu’on empêchera l’invasion !
– Ça fait beaucoup de suppositions… Répondit Marlène dubitative.
– Oui je sais, mais quand on voit ces rayons se concentrer au même endroit, juste là où il y a le portail, ça parait évident que ces cylindres sont des générateurs de portail.
– Et du coup tu penses qu’il faut détruire ces générateurs ? Demanda Marlène.
– Oui, mais pour cela il nous faudra l’aide de LaDur !
– Pourquoi LaDur ?
Alex réfléchit avant de répondre, il avait une idée derrière la tête, mais il ne voulait pas inquiéter Marlène, puis il dit :
– C’est un peu long à t’expliquer, tout ce que je te demande c’est de l’appeler.
Marlène regarda Alex d’un air suspicieux, mais céda tout de même à sa roquette et se saisit de son téléphone et se dirigea en haut du magasin pour appeler LaDur…
Il était onze-heure du matin quand Marlène et Alex arrivaient au commissariat, à peine qu’ils franchissaient la porte et furent accueillit par LaDur.
Ils allaient tout de suite à son bureau, Alex raconta tout ce qu’il avait vu dans l’autre dimension.
Il était totalement choqué par ces propos, lui paraissant complètement fou.
Puis il y eut quelques secondes de silence, puis Alex reprit la parole d’un ton grave :
– Si on détruit les générateurs de portail, il va peut-être disparaître et on empêchera l’invasion !
LaDur ne répondit pas tout de suite, il semblait de tenter d’assimiler toutes les informations qu’il venait d’entendre, puis il demanda enfin :
– Bien, mais comment vous compter faire ça ?
– Je pense qu’il y a qu’une seule solution, il faut pénétrer dans ce monde et détruire ces générateurs, répondit Alex d’un air déterminé.
– Mais comment vous-voulez faire ? Demanda Ladur.
– Je pense qu’il n’y que moi pour le faire…
– QUOI T’ES PAS FOU !! S’exclama Marlène en panique.
– Votre petit-amie a raison, vous vous feriez tuer ! Ajouta LaDur d’un ton plus calme.
– Peut-être, mais je suis le seul qui a une défense contre eux… Répondit Alex toujours aussi déterminé.
LaDur regarda Alex comme s’il était fou, celui-ci ne réagissait pas, se tourna vers Marlène, qui sut à l’instant ce qu’il avait en tête, son désaccord se lisait dans l’expression de son visage.
Mais cela n’arrêta pas Alex, il savait qu’il devait le faire pour convaincre LaDur, quitte à ce que celui-ci devienne fou en voyant ce qu’il fait…
Alex ferma les yeux se concentra, mais rien se passa… LaDur regarda de travers Alex, puis soudainement, son pistolet sortit de son étuis et flotta au dessus de lui !
Il recula avec son fauteuil sur plusieurs mètres, il avait les yeux écarquillaient, le visage pâle, de la sueur lui coulait au front.
– C’EST QU… QUOI CE BORDEL !! Hurla-t-il.
– Je vous le disait… J’ai un pouvoir qui peut me protéger ! Répondit Alex toujours sérieux.
Tant dit que le pistolet de LaDur se reposa sur son bureau en douceur.
– Je vois… C’est complètement fou…Reprit LaDur.
– Je sais, mais c’est comme ça que j’ai renvoyé le laser du fusil de la créature, expliqua Alex, il se tût un petit moment, puis il reprit ;
– J’ai ce pouvoir à cause d’un accident avec le portail, j’ai été blesser et deux jours plus tard, je me suis réveillé avec ce pouvoir, je me l’explique pas…
LaDur resta silencieux, il semblait comprendre tout ce que impliqua les révélations d’Alex. Puis après plusieurs secondes de silence, le temps qu’il assimile ces révélations, il reprit la parole et demanda :
– Mais quel est votre plan du coup ? Si vous y allez comme cela, même avec vos pouvoirs, vous allez mourir…
– L’armure ! Il me faut l’armure.
– QUOI ? S’exclama Marlène toujours en panique.
– Je comprends, vous voulez mettre l’amure et vous infiltrer dans l’autre monde, vous faire passé pour l’une de ces créatures… Affirma LaDur qui commençait à comprendre.
– Oui c’est ça… Confirma Alex.
– C’est ça ton plan ? C’est de la folie !!! S’exclama Marlène.
– Je sais bébé, mais il y a rien d’autre à tenter… Répondit Alex sans conviction.
– Mais, si vous échouez, il va nous falloir un plan de rechange, ont devras se préparer à l’invasion… Affirma LaDur.
– Je vous fais confiance pour cela ! Répondit Alex avec insincérité.
– Très bien ! Je vous laisses l’armure, suivez-moi !
Alex sentit la réticence de LaDur à son plan, mais cela n’était pas le plus important pour lui, le plus important était d’essayer d’empêcher l’invasion qui se préparer…
LaDur, Alex et Marlène se dirigeaient dans le couloir du commissariat pour aller jusqu’à la morgue, quand soudainement, Marlène attrapa le bras de Alex, le stoppant.
– Attends ! Tu es sûr de ce que tu fais ? Demanda-t-elle sur les nerfs.
Alex se retourna vers elle et vit son inquiétude dans son regard, il voulait la réconforter, mais il savait que quoi qu’il dise, cela ne changerait rien. Alors après quelques secondes de réflexions, il répondit :
– Je sais que c’est risqué, mais il n’a pas d’autre solution, j’ai une chance de tout arrêter, si jamais je parviens à m’approcher des générateurs.
– Mais si jamais tu y arrivais, le portail disparaîtrai ?
– Oui, je l’espère…
– Comment ferait-tu pour revenir ici ?
Alex se tut, il était surprit par cette question, il n’y avait pas réfléchit à cela… Effectivement, s’il arrivait à détruire les générateurs, il serait bloqué dans l’autre monde…
Et il ne savait pas quoi répondre à Marlène, il l’a regarda droit dans les yeux, pris une profonde respiration et répondit :
– Je dois prendre ce risque, c’est le monde qui est en jeu…
Marlène allait objecter quelque chose, quand soudainement, LaDur leur fit signe qu’il avait marre d’attendre et de reprendre la route…
Quelques minutes plus tard, Marlène, LaDur et Alex étaient arrivés à la morgue.
Elle était vide, il y avait juste au centre, une table de dissection, LaDur s’avança, suivit de Marlène et d’ Alex.
Alex en s’approchant pouvait voir parfaitement un corps caché par un drap et pouvait deviner qu’il s’agissait de la créature.
– Alors comment comptez-vous faire ? demanda LaDur septique.
– J’en sais rien… répondit Alex hésitant.
Marlène semblait retrouver le sourire, si Alex ne savait pas comment enlever l’armure, il ne pourrait pas partir…
Alex s’approcha de la créature, il la regarda de haut en bas, tentant de comprendre le fonctionnement de l’armure. Mais il ne comprit rien…
Il fit même le tour de la créature, mais sans toujours rien comprendre, puis se plaça au milieu de l’alien, observant attentivement les détail de l’armure…
L’armure était réellement d’une technologie avancé, bien supérieur à celle de la Terre.
Alex voyait des milliers de petits mécanismes recouvrant l’intégralité de l’armure.
Sans réfléchir plus longtemps, il appuya sur le centre du plastron, c’était un geste totalement instinctif.
Pendant plusieurs secondes rien ne se passa, puis subitement, Alex eu des flash et des sons qui passaient à toutes vitesse dans sa tête, comme des vidéos qui défilaient à vitesse accélérée.
Il ne comprit rien à ce qu’il voyait ou entendait, tout aller trop vite pour lui, il reconnut seulement vaguement les visages de Marlène, de Francine et de… Lui même !
Cela ressemblait aux derniers instants de l’alien, puis le film se rembobina. On aurait dit que l’armure avait enregistré tous les moments de vie de la créature depuis qu’elle l’avait mise et ensuite l’avait transmit directement au cerveau d’Alex…
Cela était complètement fou, mais c’était à l’évidence ce qui s’était passé…
Alex eu des vertiges sous les yeux inquiet de LaDur et de Marlène, puis se reprit presque immédiatement, soudainement, des bruits de mécanismes se firent entendre.
L’armure se déverrouilla et le plastron se souleva, laissant apparaître le corps de l’extraterrestre. On pouvait distingué des énormes trous correspondant aux impacts des lasers.
Le reste de l’armure se déverrouilla également, chaque pièces se détachaient l’une de l’autre. Il ne resté plus qu’a enlever l’armure de la créature.
– Co…Comment vous avez fait ? demanda LaDur sous le choc.
– Aucune idée, j’ai fait par instinct, répondit Alex tout simplement.
– Bon, il nous reste plus qu’a tout emballer, mais il va falloir être prudent, il faut éviter tout soupçon, répondit LaDur toujours autant surpris.
Une heure passa, LaDur, Marlène et Alex étaient arrivés au Geek Island.
Ils descendirent directement au sous-sol, LaDur portait deux sac de sport, il était suivit d’Alex et de Marlène.
Une fois en bas, il posa ses deux sac, Alex s’approcha de lui, très nerveux…
– Il vous reste plus qu’à mettre cette armure ! Dit LaDur en ouvrant les sacs, à l’intérieur, il y avait l’amure et le fusil.
Après plusieurs quelques secondes, Alex enfila le haut de l’armure avec l’aide de LaDur, le mécanismes se mit en route, comme l’armure de Iron Man et les différentes parties s’emboîtaient les unes avec les autres automatiquement. Elle s’ajusta même à sa taille.
Puis le même processus se répéta pour le bas de l’armure.
– J’ai vraiment l’impression d’être dans un jeu vidéo ! affirma Alex avec un sourire qu’il ne pouvait réprimer, ce qui eu pour effet de lui baisser le stress.
– Je ne crois pas que la situation ça propice au rire, réprimanda LaDur d’un ton sévère.
– Je sais… répondit Alex en levant les yeux au ciel.
Puis après quelques secondes de silence gênant, Alex se tourna vers Marlène, faisant des bruits de robot et lui demanda :
– Chérie, tu peux me donner le casque ?
Celle-ci ne répondit pas, elle se contenta de lui passer le casque, Alex le mit sur la tête, complétant l’attirail.
Étrangement son casque n’afficher aucune donné, comme Alex l’aurait imaginé, il voyait seulement ce qu’il l’entouré avec un filtre rouge. Peut-être était-il en panne ?
– Vous m’entendez ? demanda Alex, d’une voix robotisée.
– Très bien ! répondit LaDur.
Marlène resta silencieuse, Alex ramassa le fusil et se tourna vers le portail, mais subitement, Marlène l’interpella :
– CHERIE ! ATTENDS !
Alex s’immobilisa et se tourna vers elle. Il la fixé dans les yeux, l’émotion commençait à monter en lui.
– Comment s’ouvre ce truc ? demanda-t-il pour lui-même, agacé.
Il appuya partout sur son casque, soudainement, Alex appuya sur un bouton se trouvant sur le côté.
Le devant du casque s’ouvrit comme une visière, cela faisait pensé au casque de Iron Man, il ne pût s’empêcher de sourire de nouveau.
Mais en voyant les larmes coulaient sur les joues de Marlène, son sourire s’estompa directement.
– N’y va pas, c’est trop dangereux, je sais bien que le monde est en jeu, mais je m’en fou ! S’exclama Marlène, d’une voix tremblante.
Alex ne sût pas quoi répondre, une part de lui ne voulait pas partir et prendre Marlène dans ses bras. Mais une autre part, plus forte, savait qu’il n’avait pas le choix…
Alors, il prit une grande respiration et répondit :
– Je ferai tout pour revenir, toi, de ton côté, je sais que t’en sortira ! Car tu es forte !
Marlène fendit en larme, c’est alors que Alex l’attrapa par la taille, la ramena vers lui et l’embrassa tendrement.
Puis il relâcha son étreinte, se retourna, Alex savait qu’il devait ne plus se retourner et franchir le portail. Car sinon, il n’aurait pas la force. Mais ce fut la chose la plus dure qu’il lui était donné de faire…
Il avança d’un pas, puis d’un second et d’un dernier, juste à quelques centimètres du portail, il ressentit un mélange de peur, mais aussi de fierté et de bonheur, grâce à Marlène. Malgré qu’il doive la quitter, il était heureux de la voir rencontrer.
Son cœur battait la chamade, il respira en grand coup, puis, stoppa son mouvement, sans se retourner, il dit d’une voix suffisamment forte pour être sûr d’être bien compris :
– JE T’AIME !
Puis, il franchit le portail…
EPISODE VIII
Une étrange dimension
Alex avait à peine avait franchit le portail, qu’il fit une chute de plusieurs mètres, il était totalement surpris par ce qu’il lui arrivé…
Le jeune homme n’avait pas imaginé cela quand il avait passé que la tête il y a quelques heures au part avant…
Le choc de l’atterrissage fut très violant, dans un bruit assourdissant, le sable se souleva dans les airs, il eut un énorme trou dans le sol, là où il avait atterris.
Alex se releva doucement, observant les alentours, quelque chose le troubla, il n’avait pas prit en compte la distance entre lui et les générateurs…
De là où il était, il ne les virent pas, tout ce qu’il pût voir, c’était la partie basse d’un canyon, à au moins un jour et demi de marche.
Il y avait une chose étrange, que Alex venait de remarquer, c’était qu’il n’avait pas l’impression que la gravité ici était différente par rapport à la Terre. De même qu’il respiré parfaitement bien, qu’il ne sentit pas la baisse de température, peut-être qu’il devait tout cela à son armure ?
Devant lui les lieux étaient de plus en plus sombres, car on s’approchait des canyons.
Alors Alex avançait prudemment, il fit quelques pas et il marcha sur quelque chose de dur, il baissa les yeux et vit sa pièce d’un euro.
Il l’avait complètement oublier, il la ramassa, cela lui fit penser à Marlène…
Alex chercha un endroit où la ranger, il tenait à la garder avec lui, c’était le seul lien qu’il avait avec la Terre et Marlène…
Marlène… Allait-il la revoir un jour ? Il n’en avait aucune idée…
Alex fouilla partout sur son armure un endroit ranger sa pièce, mais il en trouva aucun. L’armure n’avait aucun rangement…
Puis soudainement, en appuyant sur l’une des jambières, il eut un bruit métallique et une petite trappe s’ouvrit, en coulissant, sur l’une des hanches d’Alex, c’était un emplacement pour un pistolet laser. Alex déposa sa pièce et la trappe se referma automatiquement, dans le même bruit métallique qu’à l’ouverture.
Cette armure était vraiment pleines de fonctionnalités cachées, que Alex avait hâte de découvrir.
Alex avançait prudemment, mais bizarrement, alors que devant lui il n’y avait que l’obscurité, grâce à son casque, il parvenait à y voir presque normalement. Sans qu’il puisse en savoir la raison.
Il pointa son arme devant lui, tout en marchant droit devant, se demandant qu’elle genre de créature pouvait vivre dans cet horrible monde…
Le danger pouvait surgir de nulle-part, Alex se tenait prêt, seulement le hic et il n’y avait pas pensé avant de franchir le portail, c’était qu’il ne savait pas tirer, ni même se battre… Cela allait devenir vite un gros problème. Il devait compté que sur sa télékinésie…
Alex avança, devant lui se trouvait des énormes rochers de plusieurs mètres de haut, très pointus sur leurs sommets.
Et c’était un endroit très sombre, le stress monta en Alex, son cœur cogna dans sa poitrine.
Il s’attendait à être attaqué à tout moment, il pointa son fusil à droite et à gauche, mais pour le moment, rien…
Soudainement, des bruits de pas se firent entendre, Alex se tourna vers leur direction, ils s’approchaient de plus en plus.
Puis d’un seul coup, une dizaine de monstres firent leur apparition, il étaient immenses.
Plusieurs mètres de hauts, ressemblant à des trolls, la peau grise, des yeux reptiliens, chauves et l’air très agressifs et des petites oreilles pointues.
Leurs corps étaient massifs, ils faisaient plusieurs mètres de hauts.
Ils portaient des morceaux d’armure, à la technologie beaucoup moins avancé que l’armure d’Alex.
C’était la même chose pour leurs armes, cela leur donné vraiment une allure de troll sorti d’un JDR (Jeu De Rôle).
Alex n’en revenait pas, pour lui, tout cela n’avait aucun sens.
Mais cela ne lui empêcher pas d’être terrorisé…
Alex sentit son cœur battre de plus en plus vite, la sueur perlait sur son visage, au travers son casque, un premier monstre l’attaqua.
Alex tira instinctivement sur le monstre, qui ne pût rien faire pour éviter la salve laser, qui le toucha en pleine tête.
Il s’écroula au sol, dans un bruit assourdissant, à peine absorbé par le sable. Un deuxième tenta sa chance, mais Alex tira avant qu’il puisse faire quoi que ce soit et le tua sur le coup.
Mais le troisième arriva sur le flan droit d’Alex, qui dû faire une roulade sur la gauche pour éviter une étrange une massue gigantesque, avec des pics. Fait d’un étrange métal, dont la partie contondante était électrifiée.
Du sable fut projeter dans les airs quand celle-ci percuta le sol violemment, là où se trouvé Alex il y a quelques instants. Puis le monstre tenta d’écraser Alex avant que celui-ci se relève.
Cette fois c’était fini, Alex ne pourrait pas éviter la massue, il avait mis en opposition son fusil, mais au moment de toucher sa tête, le même phénomène que contre l’autre créature se reproduisit…
L’arme du monstre fut bloqué, puis revint vers lui, mais celui-ci parvint à la stopper in-extrémise, avant qu’elle n’atteigne son crâne.
Le monstre tenta une nouvelle fois d’écraser Alex, mais fut tuer avant par celui-ci, à coup de projectiles lasers.
Alex se releva le plus vite possible, juste à temps pour éviter une immense lame étrange. Dont la partie tranchante était faite d’une énergie ressemblant à un laser.
Alex esquiva en reculant, et répliqua de suite, tuant le monstre.
Les dernières créatures voyant cela, s’enfuirent en courant, Alex ne comprit rien à ce qu’il s’était passé…
Comment avait-il fait pour réussir l’exploit de tuer ces créatures immenses, alors qu’il n’avait jamais reçu le moindre entraînement aux armes et au combat ?
Alex sentit encore son cœur cogné dans sa poitrine, la sueur coulé à flot au visage, il regarda le corps des monstres.
En y repensant, ils étaient très semblable à la créature venue du portail, mais ceux-ci étaient plus grand et avaient l’air plus sauvage.
Alex reprit la route, cela faisait peut être trente ou quarante minutes qu’il était parti.
Alex se demanda qu’elle genre de créature allait l’attaquer cette fois, il avança toujours son arme pointé devant lui.
Mais pour le moment rien, il se contenta d’avancer, comme cela pendant plusieurs minutes…
Puis après presque une heure de marche, Alex déboucha dans un grand désert…
Le ciel était complètement dégagé, la différence de température était radicale, Alex passa d’une température douce, à une chaleur extrême.
Au loin, il parvint à voir le canyon où se trouvait les générateurs, mais il devait encore y parvenir, il était encore à au moins un jour de marche… Et puis il faudrait encore réussir l’escalader. Et cela était encore loin d’être gagner…
Alex continué sa progression dans le désert, il avait l’impression qu’il n’atteindrait jamais le canyon…
Son pied s’enfonça dans le sable, ce qui rendait sa progression encore plus difficile.
Une autre heure passa et Alex n’avait pas l’impression de progressé beaucoup, le canyon lui semblait encore très loin… Il ne savait pas depuis combien de temps il marcha dans le désert…
Il sentit la fatigue monter en lui, il crut qu’il allait cuir de l’intérieur à cause de la chaleur, puis soudainement, il s’arrêta de marcher quelques secondes, afin de reprendre son souffle. C’est à ce moment que quelque chose sortie de terre !
La chose était immense, rapide et dangereuse, elle attaqua Alex, celui-ci resta paralysé par la peur quand il vit ce que c’était…
Un serpent géant !
Il était noir, très agressif, il fondit directement sur Alex, qui eut à pas peine le temps de faire une roulade sur côté pour l’éviter .
La créature replongea dans le sable, tendit que Alex se mit à courir en zigzague, afin d’échapper au serpent.
Mais celui-ci revint de sous la terre, juste devant lui, qui tira par reflex, mais son laser rebondit sur les écailles du monstre…
Alex resta sur place, paralysé par la peur, cette fois il était fichu… Comment allait-il tuer cette chose ?
Le serpent ouvra la gueule, faisant apparaître ses crochets acérés, il fondit de nouveau sur le jeune homme, qui esquiva de justesse en faisant roulade sur le côté.
Et il se releva le plus rapidement possible et s’enfuit en courant, mais la créature le poursuivit avec une vitesse folle !
Elle tenta de gober Alex, qui zigzagua pour l’éviter, le serpent tenta une première fois à droite, rata, puis une deuxième fois à gauche, mais Alex esquiva encore, mais perdu son fusil dans son mouvement.
Alex courut devant lui sans se retourner, il avait le souffle court, il entendit le serpent était encore sur ses talons.
Soudainement, le monstre plongea une nouvelle fois dans la terre, mais cette fois, il apparut sous Alex…
Celui-ci sauta de justesse par reflex, dans sa surprise, il parvenait à faire un bond de plusieurs mètres de haut, mais le serpent déploya son corps et ouvrit grand la gueule pour le gober.
Alex sentit ses battement de cœur accéléré, au dernier moment, il parvint à faire une pirouette dans les airs et à éviter la gueule du serpent se refermer sur lui.
Puis Alex retomba pied joins dans quelque chose de mou, il s’aperçut avec stupeur qu’il s’enfonça jusqu’au genou. Il était tomber dans des sables mouvants…
Cette fois il était totalement à la merci de la créature, qui lui rester plus qu’à en finir avec lui…
Le serpent déploya son corps de nouveau pour gober Alex, il planta ses crochets sur son casque, qui résista, pour le moment…
Alex savait que son casque ne résisterait pas longtemps sous la forte pression de la mâchoire de la créature…
Des fissures commençaient à se former sur le casque, encore une minute ou deux et celui-ci se briserait avec le crâne d’Alex…
Alex sentit que la fin était proche, il ne voyait aucune solution pour s’en sortir…
C’est alors qu’il repensa à son fusil, il devait le faire venir à lui, mais il n’avait jamais réussit à faire venir un objet sans le voir, comment réussir un telle prouesse ?
Le serpent enfonça d’avantage ses crochets, les fissures grandissaient plus en plus, bientôt ça serait la fin pour Alex…
Celui-ci fit le vide dans son esprit, se concentra sur son fusil, subitement, l’arme fusa dans ses bras et il l’enfonça dans la gueule du serpent et tira.
Son crâne éclata en morceaux, des bouts de cervelles giclaient partout. Le reste de son corps s’enfonça dans le sable mouvant.
Alex avait réussit, il ne savait pas comment, mais il l’avait fait !
Il sentit que son pouvoir augmenta, il sentit comme une énergie circuler dans ses veines…
Mais une question demeura, comment sortir des sables mouvants ?
Alex était totalement bloqué dans les sables mouvants, il s’enfonça de plus en plus, il regarda autour de lui tentant de trouver quelque chose au quel s’accrochait, mais il n’y avait rien, à part du sable…
Cette fois il était enfonçait jusqu’au torse, Alex savait que la mort allait bientôt le prendre… Soudainement, il entendit des bruits venant du ciel.
Le jeune homme regarda au dessus de lui et vit une sorte d’oiseau très gros.
L’oiseau commença à descendre vers lui, mais plus il s’approchait, plus une chose le frappa… Ce n’était pas un oiseau, non, mais on aurait plutôt dit une chauve-sourie géante !
Elle fondit sur Alex, qui tira, mais la créature esquiva le laser, cela était une réaction incroyablement inattendue pour un animal, mais plus rien surprenait le jeune homme, depuis qu’il avait franchis le portail.
La chauve-sourie attrapa Alex avec ses serres acérées, et l’arracha aux sables mouvants et s’envola avec sa proie.
La créature prit en plus en plus d’altitude, à telle point que Alex se demanda où elle compté encore aller ?
Alex sentit la peur monté en lui, mais savait qu’il devait réagir vite.
Heureusement pour lui, il n’avait pas lâcher son fusil, mais il ne pût qu’utilisé un seul bras, car la créature serrer trop ses épaules avec ses puissantes griffes. Et malgré le poids de l’arme, Alex parvenait à l’a soulever…
Juste avant que la chauve-sourie prenne trop d’altitude, il tira.
Le laser avait réussit à transpercé l’une de ses gigantesques ailes.
La créature lâcha immédiatement Alex, qui fit tout même une grande chute.
Il tomba sur plusieurs mètres, il était totalement terrorisé, quand subitement, un câble sortit de son avant bras, sans que celui-ci ne comprenait ce qui se passé…
Au bout du câble se trouvait un piton en forme de u, qui perça la parois rocheuse du canyon et s’enfonça sur plusieurs centimètres. Le câble se tendit, le tout maintenait Alex au dessus du vide.
Alex fut remonter automatiquement et assez rapidement jusqu’à quelques centimètres du piton.
Alex resta suspendu au bout du câble, il ressentit le poids de son arme, malgré l’armure.
Il chercha un moyen de ranger son fusil, le lâcher ne lui plaisait pas. Il pourrait en avoir encore besoin et s’il se faisait surprendre sans par des créatures en armure, cela pourrait lui coûter la vie…
Alex de sa main valide, chercha partout sur son armure un emplacement pour son fusil, comme il en avait trouvé pour sa pièce. Et par chance, après quelques secondes à faire glisser son arme à chaque centimètres carré de son armure, le dos de celui-ci était aimanté. Et son fusil se colla à lui.
Puis, il leva la tête et vit qu’il était presque au sommet, il grimpa les quelques mètres qui lui resté et enfin il atteint son objectif.
Alex était en sueur, son cœur battait encore la chamade, il n’osait pas regarder en bas, il se demandait comment il avait pu réussit un tel exploit ?
Alex était de nouveau sous un ciel sombre, il sentit la baisse net de température. Ce monde était vraiment des plus étrange…
Alex fit volt-face et c’est là que ses yeux se posèrent vers les trois générateurs.
Ils étaient identiques, c’était des cylindres de plusieurs mètres de haut, qui tenaient avec un trépied. En observant de plus près, Alex remarqua quelque chose qui le troubla, il y avait de sortes de sondes, juste en dessous d’eux, qui traversé la terre.
Des sortes de canon étaient fixer au sommet de chaque générateurs, ils étaient pointaient parfaitement horizontalement.
Les trois rayons d’énergie, que Alex avait vu il y a quelques heures, se dirigeaient de l’autre côté du canyon.
Alex était très impressionné par ce qu’il voyait, les générateurs étaient encore plus incroyable de près.
Il ne pût s’empêcher de s’en approcher, il tendit la main pour en touché un… Mais à peine avait-il avancé sa main à quelques centimètres des générateurs, qu’il fut projeté en arrière par une force invisible et il reçut une puissante décharge électrique, qui le brûla de l’intérieur. Il tomba sur le dos, sa vision était brouillé comme l’image d’une vieille TV. C’était l’effet que produisait la décharge électrique sur les lentilles à l’intérieur de son casque.
Alex se releva difficilement, se demandant ce qui a bien pu se passer ?
En regardant de nouveau les générateurs, (sa vision redevint normal), Alex vit une lumière violette les entourant et se reflétant contre le métal des générateurs. Il comprit alors de quoi il s’agissait, c’était des boucliers de protection.
Il devait donc les couper pour pouvoir détruire les générateurs, mais comment y arriver ?
Alex était en intense réflexions, quand il fut interrompu par une voix robotisée qui l’interpella, la chose presque effrayante pour lui, c’était qu’il comprenait ce qu’on lui disait…
– Hé toi ! Qu’est-ce que tu fous là ? Demanda la voix d’un ton brusque.
Alex était paralysé par la peur, il n’osait pas se retourner, mais comment cette créature pouvait-elle parler sa langue, à moins que ça soit lui qui comprenait la langue de l’extraterrestre ? C’était impossible !
Le jeune homme fut comme sonné par toutes les questions qui se trottaient dans la tête. Il n’arrivait pas à trouver une explication satisfaisante à ses questions.
– Hé c’est à toi que je cause, qu’est-ce que tu fou ici ? Relança la voix.
Alex sursauta, interrompu dans ses réflexions, il prit une grande inspiration et se retourna lentement, pour faire face à son interlocuteur.
C’était bien un alien, en armure comme lui, mais parfaitement intact.
Il s’approcha d’Alex, il sembla très suspicieux, il pointa son arme sur lui.
Alex recula de quelques centimètres, il fallait qu’il lui réponde quelque chose, n’importe quoi, il devait ne pas se faire repéré…
Il tenta d’être le plus naturel possible et dit :
– Je suis désolé, je suis nouveau…
La créature regarda Alex de façon étrange, il fit un mouvement de tête comme les chiens et répondit :
– Nouveau ? Tu es arrivé depuis quand ? on m’a pas prévenue !
Alex était en panique, il devait trouvé quelque chose à répondre et vite ! Il réfléchit à toute vitesse, puis un flash lui vint et il répondit avec hâte :
– On m’a envoyer en éclaireur sur la Terre et je viens à peine de rentrer…
Alex sentit son cœur cogner dans sa poitrine, la créature resta silencieuse quelques secondes, des secondes très longues, Alex espéré qu’il goberait son histoire… Enfin il répondit :
– Ah OK ! Désolé… Il baissa son arme, et alors, ils sont comment ces humains ? Demanda-t-il curieux.
Alex souffla un bon coup, heureux qu’il avait tout gober, il répondit d’un air le plus détacher possible :
– Vraiment facile à tuer !
La créature se mit à esclaffait de rire, Alex s’approcha de lui, comme si de rien n’était et demanda :
– Et toi, tu gardes ces générateurs ?
– Oui, seul ici depuis des mois… Répondit l’alien d’un ton las.
– Je vois… Et tu peux m’expliquer comment ça marche ?
– Pourquoi tu veux savoir ça ? Demanda-t-il de nouveau méfiant.
– Oh, comme je suis nouveau, j’essaye de comprendre un maximum de choses… Répondit Alex nerveusement, espèrent que l’autre ne remarqua rien.
– Ah oui, tu as raison, mais j’y connais pas grand chose, tout ce que je sais, c’est que ces machins génèrent le gros portail d’où tu viens.
Alex se tourna vers le bout de canyon et vit au loin le portail flottant à quelques mètres au dessus du sol et les rayons qui étaient reliés à lui, il était gigantesque, c’était beau.
Mais Alex ne pouvait s’empêcher de penser à l’armée en approche, le temps lui était compté… Il n’en avait pas appris plus sur les générateurs… Il se retourna vers l’alien, il demanda, espèrent en savoir plus :
– Et ces boucliers ? Tu sais comment ils sont alimentés ?
– Les boucliers ? Comment es-tu au courant de ça ?
– Je me suis trop approchait des générateurs tout à l’heure…
– AH AH AH ! Ça m’ait arrivé à mon premier jour ! S’esclaffa bruyamment l’alien.
Il y eut quelques secondes de silence, puis la créature reprit :
– J’ai posé la question, mais on m’a juste dit que je devais gardé ce lieu et de ne pas posé de question.
Alex était déçu, puis il pensa à une chose, il demanda avec appréhension, car c’était sa derrière chance :
– C’est qui ton chef ?
– Il est commandant dans la flotte royale, pourquoi ?
Mais Alex ne pût poser d’autres questions, car il fut interrompu par un bruit assourdissant venant du ciel.
Celui-ci s’assombrit encore d’avantage, Alex leva la tête et vit une masse sombre…
– C’es… C’est quoi ça ? Demanda-t-il effrayé.
– Le vaisseau mère ! S’ils sont là, c’est que le moment est enfin arrivé… Répondit extraterrestre d’un ton presque malsain.
Alex ne pût poser la moindre question, car il eut un bruit assourdissant de mécanismes et une ouverture géante en forme de cercle parfait apparue au milieu, de ce qui apparaissait être sous le vaisseau…
Et soudainement une lumière bleu en sortit, Alex n’était pas aveuglé malgré la puissance de celle-ci.
Mais c’est alors qu’une chose terrifiante et horrible se passa, sans qu’il puisse faire quoi que ce soit…
Il fut désintégré, son corps entier disparu, s’évaporant en fine particules…
EPISODE IX
La Résistance
Cela faisait déjà presque une journée que Alex avait franchit le portail, mais celui-ci n’avait pas disparu, ni même diminué de taille, au contraire, il avait presque triplé…
Que était-il arrivait à Alex ? Était-il encore vivant ? Marlène en avait aucune idée…
Tout ce qu’elle savait c’était qu’il était en ce moment même dans un monde hostile. La seule chose qui réconforta un peu Marlène était que Alex était équipé d’une armure à la technologie futuriste, d’un fusil laser et surtout et c’était sa plus puissante arme, sa télékinésie !
Ses pensés étaient toutes tournés vers lui, elle s’inquiétait énormément pour le jeune homme…
La jeune femme fut ramener vers la réalité par LaDur qui l’interpella :
– Vous m’écoutez ? Je vous parle mademoiselle !
Marlène leva les yeux vers ceux de LaDur, qui avait toujours le regard aussi dur.
– Oh… heuu… Oui, désolé, j’étais dans mes pensés… Répondit Marlène mal à l’aise.
– D’accord, il se fait tard… Répondit LaDur en regardant sa montre, il était déjà presque vingt-deux heure.
– Heu, je peux vous demandez quelque chose ?
– Bien-sûr, mademoiselle…
– C’est justement de ça que j’aimerai vous parlez, je souhaiterai que vous arrêtiez de m’appeler comme ça.
– Vous appelez comment ? Demanda LaDur qui semblait ne pas savoir où voulait en venir Marlène.
– Appelez-moi Marlène, je préférerai !
– D’accord, Marlène, bref, j’aimerai vous parlez de quelque chose avant que vous rentriez chez vous…
Marlène sentit son cœur battre un peu plus fort, elle se doutait que ce qu’aller dire LaDur n’allait pas lui plaire…
– Si votre petit-ami n’arrivait pas à détruire les générateurs, il faudra se préparer à l’invasion des aliens, dit finalement LaDur.
Marlène souffla un coup, LaDur le remarqua et la regarda bizarrement.
Après quelques secondes de silence, Marlène reprit la conversation et demanda intrigué :
– D’accord, mais que comptez-vous faire ?
– Je me charge de tout, dit LaDur qui semblait être sûr de lui, on ne peut pas attendre que votre copain revienne sans rien faire. Car s’il échouait, le monde serait perdu…
Marlène resta silencieuse, repensant au jeune homme qu’elle aimait, son cœur se serra.
Dix minutes plus tard, elle quitta le commissariat, il faisait nuit noire, la lune était pleine, Marlène paniqué à l’idée de rentrer seule, mais heureusement pour elle, son « appartement » était à peine dix minutes du commissariat.
Tout le long du chemin, ses pensés étaient toutes tournés vers Alex, elle se demanda si elle allait bien le revoir un jour ?
Sans qu’elle ne se rende compte, Marlène arriva à destination, elle franchit la porte de l’immeuble et pénétra à l’intérieur. Elle monta à l’étage, ouvrit la porte et entra à l’intérieur de l’appartement, qui était vide.
Marlène alluma la lumière, elle se trouva dans le salon d’Alex, maintenant, elle considérait l’appartement d’Alex comme le sien.
Mais sans lui, cet appartement avait perdu son âme, il était triste, Marlène s’approcha d’une étagère et prit un manga et s’assit sur le canapé. Puis elle ouvrit le manga et fondit en larme, c’ était le trop plein d’émotion.
Marlène, après avoir pleuré deux bonnes minutes, posa le manga sur la table basse, en face d’elle et parti se couché, exténué…
Marlène dormait depuis un moment, quand elle fut réveillé par un bisous sur sa joue, il s’agissait d’Alex.
Il lui sourit, la regarda dans les yeux, elle fondit en larme, elle n’y croyait pas. Cela devait être un rêve, mais elle voulait absolument que cela soit la réalité…
– J’ai réussit à détruire les générateurs, le monde est sauver, on restera ensemble pour toujours… lui disait Alex.
Le cœur de Marlène fit un bond, elle l’embrassa et… Et un bruit lointain la gêna. Elle se demanda ce que cela pouvait-il être ?
Le son devenait plus en plus fort, puis soudainement, elle se réveilla…
Marlène était très déçu, une larme coula sur ses joues, elle se tourna et comprit que le son venait de son téléphone, qu’elle saisit. Marlène vit que LaDur l’appeler, elle décrocha.
– Désolé, je dois vous réveiller ? Demanda-t-il d’une voix désolée.
– Hein ? Heeeeu… Oui… Répondit Marlène sincèrement, qu’est-ce qui se passe ?
– Il faut que vous veniez au magasin, des scientifiques vont arriver vers les neuf heures.
Marlène regarde l’heure et vit qu’il était que huit heure du matin, elle se demanda pourquoi elle devenait venir ?
– Pourquoi je dois venir ? Les scientifiques ont besoin de moi ?
– Ils auront besoin toutes les informations que vous avez sur le portail.
– OK, j’arrive !
Une fois ces mots dit, Marlène raccrocha et se leva, se demandant ce que des scientifiques pouvaient faire de plus ?
Plusieurs minutes passèrent, le temps pour Marlène de se laver et de s’habiller, puis la jeune femme partit.
Une quinzaine de minutes plus tard, elle arriva à destination, LaDur était déjà à l’attendre devant le magasin.
– Vous voilà, vous êtes en avance, il est à peine huit heure quinze, dit-il avec un léger sourire.
– Oui, je sais, mais c’est pas très loin de chez moi, alors dites moi ce que vont faire ces scientifiques ? Demanda Marlène, qui était presser d’en finir.
LaDur semblait hésiter avant de répondre :
– Je ne sais pas trop, mais ils vont chercher un moyen de faire disparaître le portail…
– Mais et Alex ? S’exclama Marlène prise de panique.
– Je sais bien, mais il était volontaire et s’il a fait ça, c’était pour sauver la Terre, il connaissait les risques.
– Mais pourquoi avoir appeler des scientifiques, alors que Alex venait à peine de partir ? S’emporta Marlène, qui ne supporté pas ce que avait fait LaDur.
– Calmez-vous, j’y suis pour rien… Répondit LaDur d’un air désolé, mais ce sont les ordres de mes supérieurs.
– Mais je croyais que vous gériez la situation ?
Marlène était de plus en plus énervé, elle serra les poings, se demandant bien à quoi pouvait servir LaDur ? Elle pensait qu’il était en charge de tout, mais elle se trompé…
La tension monta d’un cran, LaDur garda son calme, ce qui énerva encore plus Marlène, il eut quelques secondes de silence, puis il reprit :
– Je vous l’ai dit, je suis qu’un simple flic, je n’ai pas les moyens de sauver le monde…
– Je vois…
Marlène commençait à douter très sérieusement de LaDur, il était totalement dépassé par la situation…
– Je suis désolé… Dit finalement LaDur d’un ton grave.
Marlène ne sut pas quoi répondre, c’était la première fois que LaDur s’excuser, se montrant moins dur, plus humain…
Marlène et LaDur restaient silencieux pendant plusieurs secondes, puis LaDur reprit la parole et dit, tout en regardant sa montre :
– Il est huit heure trente, ils ne devraient plus tarder…
Marlène et LaDur attendirent, restant silencieux, la tension monta encore d’un cran…
Puis après presque trente minutes d’attente, un utilitaire arriva enfin, se gara devant le Geek Island.
Deux hommes en sortirent, ils étaient vêtus de blouses blanches, ils se dirigeait vers Marlène, qui les accueillis avec un sourire forcé.
– Bonjour mademoiselle, comment allez-vous ? Demanda l’un des scientifiques.
– Évitez de m’appeler comme ça ! Tempêta Marlène de mauvaise humeur.
– Très bien ! Répondit l’autre homme d’un air gêner.
– Évitons de s’énerver, intervint LaDur, voulant empêcher qu’une dispute éclate.
– Que voulez-vous savoir exactement ? Demanda Marlène qui s’impatienta.
– Tout ce que vous savez à propos des portails, afin de mieux appréhender la situation, répondit le premier scientifique.
– J’ai déjà expliquer tout à monsieur LaDur, ils ne vous a rien expliqué ?
– Bien-sûr , mais, ils nous faut votre point de vue, afin de compléter ce qu’on a déjà.
– OK…
Marlène leur raconta tout ce qu’elle savait, puis les deux hommes partirent en direction du magasin.
Une heure passa, puis enfin les deux scientifique revenaient du magasin. Il avait l’air perplexe, l’un des deux prit la parole :
– On a fait tous les tests possibles, malheureusement, on n’a trouvé aucune solution pour faire disparaître ce portail.
Marlène ne pouvait s’empêcher d’être soulagé, elle savait les conséquences que cela impliqués, mais pour elle le plus important était que Alex puisse revenir de l’autre monde.
– Qu’est-ce qu’on va faire ? Demanda-t-elle une fois que les scientifiques étaient partis.
– On va devoir se préparer à l’arrivé des aliens, on vas devoir faire appel à l’armée, répondit LaDur.
Marlène resta silencieuse, ne sachant plus quoi répondre, pour elle, la situation devenait plus en plus incontrôlable…
Marlène rentra chez elle, elle sentit le stress monter en elle, se demandant comment les choses allaient se passer… Comment une petite ville comme Soissons, allaient pouvoir se défendre contre une invasion d’extraterrestres ?
Elle n’avait plus qu’à espéré que Alex détruise les générateurs, afin que la Terre soit sauvée.
Au bout d’une quinzaine de minutes, Marlène était arrivé à destination.
Elle se posa sur le canapé, épuisé par toutes ses émotions, elle repensa encore à Alex…
Le reste de la journée, Marlène la passa à l’appartement, car de toute façon, elle n’avait plus rien à faire à l’extérieur.
Le soir venu, Marlène se coucha tôt, son moral était à zéro…
Ses rêves furent remplis d’aliens attaquant la Terre, elle voyait des centaines de corps joncher le sol…
Marlène se réveilla en sursaut, il était tôt le matin, il y avait que quelques rayons de soleil qui traversaient les volets de sa chambre.
Elle se réveilla avec difficulté de son lit, et partit en direction de la salle de bain.
Elle se leva et s’habilla, mais une question se posa, qu’est-ce qu’elle allait bien pouvoir faire ?
Il n’avait rien qu’elle puisse faire concernant le portail, elle n’avait plus de travail, son petit-copain était dans un autre monde, il ne lui resté plus rien à faire de ses journées…
Pour Marlène, ses journées seraient très longues, car jusqu’à présent, elle savait toujours comment les occuper, grâce à son travail et même les week-ends. Mais là, c’était la première fois de sa vie, qu’elle se retrouvait dans cette situation…
Tout ce qui lui resté à faire était d’attendre l’invasion extraterrestres dans la plus grande terreur.
Le reste de la semaine s’écoula , sans que rien se passe, Marlène passa son temps avachit dans le canapé à regarder la TV, des émissions de télé-réalité débiles, qu’elle détesté. Mais comme elle avait rien d’autre à faire, elle resta scotché devant…
Puis un jour, en zappant, Marlène tomba sur les informations en continu, elle tomba sur un reportage en direct, et la chose qui la frappa était qu’il s’agissait de Soissons !
Alors que la chaîne était une national, les chances de voir un reportage sur Soissons était de zéro.
Où pouvait y voir des tanks, des soldats arrivant au centre-ville, Marlène était stupéfaite par ce qu’elle vit.
Elle sentit son cœur cogné dans sa poitrine, elle se redressa, monta le son.
Le reporter dit:
– Le Président à ordonner à l’armée de débarquer pour faire face à une situation gravissime, qu’il n’a pas préciser… Il demande, également, aux citoyens de rester confinés chez eux…
Marlène coupa la télévision avant même que le reporter finisse sa phrase.
Elle se leva du canapé et se dirigea vers l’extérieur de son appartement.
La première chose que Marlène remarqua était que les rues étaient déserte, cela était anormale à cette heure.
Une quarantaine de minutes plus tard, Marlène arriva à destination et ce qu’elle vit l’a terrifia.
Il y avait des soldats partout autour du magasin, armé jusqu’au dent, il y avait également des barricades placés à quelques mètres du magasin, qui l’entourer.
Plusieurs soldats semblaient être occupé à installer quelque chose sur les murs du magasin, mais Marlène ne comprit pas de quoi il s’agissait.
Elle resta bouche-bée devant tout cela, la jeune femme resta figé sur place, perdu dans ses pensés, à tel point qu’elle n’entendit pas ce qui venait derrière elle…
Des bruits de quelque chose de lourd ce fit entendre, quelque chose faisait tremblé le sol.
Des bruits de moteur non commun, ce bruit était plus en plus proche, l’engin s’approcha lentement de Marlène, sans que celle-ci ne réagisse.
Puis juste avant que celui l’écrase, elle fut attrapé par le bras et ramener sur le trottoir.
Marlène se tourna vers la personne l’ayant attrapé, elle avait l’air terrifié… Il s’agissait de LaDur.
– Qu’est-ce que vous faites ici ? Demanda celui-ci intrigué.
Mais Marlène ne répondit pas, elle tourna la tête vers la route pour voir un tank continuer son chemin.
– Je vous parle, Marlène ! Insista LaDur d’un ton sec.
– J’ai vus les infos ! Répondit Marlène toujours sous le choc.
– Je vois, ne restez pas ici, la population est confiné !
– Je bougerai pas d’ici ! Rétorqua Marlène le ton ferme.
– Les choses vont devenir très dangereuse, il faut pas que vous restiez ici !
– Je sais bien, mais il est hors de question que je me planque alors que la Terre est en danger ! Trancha Marlène de plus en plus énervé.
– Moins fort ! S’exclama LaDur, il s’approcha de Marlène, se baissa et lui chuchota à l’oreille :
– La population est au courant de rien pour l’instant, le Président va faire un discours pour tout révélé, il cherche à éviter que la panique se propage et que des émeutes éclatent. Et cela le plus longtemps possible.
Marlène resta silencieuse quelques secondes, elle comprenait pourquoi le Président faisait cela, mais elle resta tout de même déterminer à rester.
LaDur se redressa, son regard sévère pointé sur Marlène.
– OK, mais je reste quand même ! Dit-elle finalement.
– Très bien, c’est votre vie et vous êtes suffisamment grande pour savoir ce que vous voulez, en plus, vous connaissez tout de cette histoire, votre aide peut nous aider, répondit LaDur en reprenant sa voix normale, pas très convaincu. Mais il commencé à connaître Marlène, il savait qu’il était inutile de discuter avec elle, une fois que sa décision était prise. Et il respecté cela chez elle.
– Dites-moi ce qui se passe exactement ? Demanda Marlène perplexe par ce qu’elle voyait.
– Ils sont en train d’installer des pièges explosifs autour du bâtiment, quand les extraterrestres sortirons du magasin, cela déclenchera les explosifs.
Marlène resta silencieuse par ces explications, elle sentit le stress monté en elle…
– Si vous voulez rester, il va falloir apprendre à vous défendre contre ces montres, affirma LaDur, au bout d’un moment, ce qui fit sursauté Marlène, qui était plongé dans ses pensés.
– Que voulez-vous dire ? Demanda-t-elle curieuse.
LaDur sortit son pistolet de son étuis et le tendit vers elle, qui le regarda d’un air perplexe.
– Prenez le ! Je vais vous appendre à vous en servir, c’est maintenant que les choses sérieuses commencent ! Dit LaDur déterminé.
EPISODE X
Infiltration
Il eut un léger bruit d’un générateur qui démarra, une lumière bleu s’alluma, éclairant un vaste couloir.
Puis des particules apparurent, se mirent à tournoyer à l’intérieur d’un immense socle, puis enfin, deux silhouettes se matérialisaient, parmi elles… Alex…
Alex eut des étourdissements, à peine sortit du socle, qui faisait plusieurs mètres de diamètres. il tomba sur ses genoux, sur un sol métallique.
Se demandant où pouvait-il bien se trouvé ? Ses souvenirs étaient flous…
Il ne savait plus comment il était arrivé là, les derniers souvenirs qui lui resté, était une conversation qu’il avait eu avec un soldat alien.
Alex se releva avec difficulté, il avança en titubant dans ce long couloir, sans savoir où allait…
Sa vision était trouble, puis après quelques mètres, il s’arrêta en se retenant de tomber, à l’aide d’une main qu’il appuya contre un mur métallique. Il crut qu’il allait vomir, mais que c’était-il passé ?
Jamais de sa vie il avait ressentit de telles nausées, c’était pas du genre à aimé les sensations fortes.
Il respira avec intensité, sa vision devint plus normale, même si elle n’était pas encore parfaite.
Alex se releva, tournant la tête à droite et à gauche et vit des étranges murs noirs, il se demanda encore où il pouvait bien être ?
En y réfléchissant, cette endroit ressemblait à un vaisseau spatial, comme on pouvait en voir dans ses films de SF préférés.
C’est à ce moment, qu’un souvenir lui revint, le souvenir de ce que avait dit l’extraterrestre , « le vaisseau mère ».
Puis tout lui revint, il se souvint cette puissante lumière bleu, il pensait que la mort allait le prendre, mais en réalité, il était réapparut.
Il avait été téléporté dans ce vaisseau ! Exactement comme certains films de SF.
La curiosité l’emportant, Alex s’approcha un peu plus des murs et les observant plus en détail, il remarqua qu’il y avait des symboles étranges sculpté à l’intérieur. Mais le plus étrange, pour Alex, c’était qu’ils lui étaient familier… Comment cela était-il possible ? Il en avait aucune idée…
Alex regarda le plafond et vit qu’il y avait un tube lumineux, fixé au centre de celui-ci (ressemblant à nos tubes fluorescent), éclairant d’un blanc pâle et d’autres suivaient jusqu’au bout couloir.
Ce qui troubla beaucoup Alex, qui fut plongé dans d’intenses réflexions, se posant mille questions…
Alex fut interrompu dans ses réflexions par une voix devenue familière.
– Hé ! Tu vas où ? demanda le garde des générateurs.
Alex se retourna, surpris par la présence de l’extraterrestre, mais avec réflexion, il se dit que c’était logique.
Il s’avança dans sa direction, puis répondit :
– Aucune idée, la téléportation m’a désorienté… J’ai cru comprendre qu’on était dans le vaisseau mère ?
– Oui, c’est ça ! Si il est là, c’est que l’invasion va commencer !
Les révélations de l’extraterrestre terrifia Alex, il ne se douté pas que les aliens arriveraient aussi vite, de ce qu’il en avait pu en voir. Il fallait qu’il se dépêche de trouver l’endroit où il pourrait désactivé les boucliers protégeant les générateurs.
Alex chercha un moyen de soutirait l’information au garde, sans qu’il ne se doute de quelque chose.
Mais il y avait une chose qui lui revint subitement, un détail que lui avait dit l’extraterrestre, il lui avait parlé « du commandant de la flotte royal », ce qui signifier qu’une seule chose…
– Tu as déjà travaillé ici ? finit par demander Alex, qui commencé à refaire le puzzle.
– Oui, avant qu’on m’affecte aux générateurs, répondit le garde.
Alex réfléchit quelques secondes, il commençait à faire les déductions, il demanda :
– Donc, tu as déjà vu le…
– La reine, oui une seule fois… répondit le garde.
Les déductions d’Alex étaient les bonnes, cela signifié que le commandant devait se trouvé quelque part à bord de ce vaisseau.
– Tu peux me dire où se trouve ton chef ? Demanda Alex, qui sentait qu’il se rapprochait de son but, il sentit son cœur cogné dans sa poitrine à cause de l’excitation.
– Tu n’as qu’a me suivre, je dois le trouver aussi, vu que si j’étais téléporté, c’est que mon affectation est terminé. Il doit m’affecter ailleurs.
Alex ne pouvait s’empêcher de sourire sous son casque, il s’approcha de plus en plus de son objectif. Une fois qu’il trouverai le commandant, il ne lui resterai plus qu’une chose à faire… S’arranger pour que celui lui indique la salle des générateurs de boucliers, protégeant les générateurs de portail !
– Suis-moi ! dit le garde en emboîtant le pas.
Alex le suivit, ils traversaient un très long couloir, au bout de celui-ci ils tournaient à droite, puis continuer tout droit.
Ils croisèrent de temps en temps d’autres gardes, qui portaient exactement la même armure.
Puis enfin, ils arrivaient devant une porte métallique, Alex pensa qu’il s’agissait d’un ascenseur.
Le garde se mit devant et porte s’ouvrit automatiquement dans un léger vrombissement et l’intérieur de la pièce faisait pensé à l’intérieur d’un ascenseur.
Le garde entra, suivit par Alex, la créature se tourna vers lui et dit :
– C’est à l’étage suivant, puis il appuya sur l’un des boutons se trouvant juste au dessus du premier, il eut un léger vrombissement et l’ascenseur démarra.
Après environ une minute d’ascension, l’ascenseur arriva à destination, Alex et le garde en sortit.
Ils traversaient un autre grand couloir, puis ils tournaient sur la droite à un croisement.
Puis enfin, ils arrivaient devant une porte, le garde se plaça devant et celle-ci s’ouvrit automatiquement sans presque de bruit, elle se souleva et entra dans le mur. Alex espéré qu’il s’agissait de la salle des générateurs de boucliers…
Mais ce n’était pas le cas, à l’intérieur se trouvait une grande pièce étrange.
La pièce était presque vide, à part à ce qui s’apparentait à un étrange cercueil en métal au fond de celle-ci.
Alex et le garde entra, Alex resta choqué par ce qu’il vit, mais surtout il se demanda pourquoi le garde l’avait emmener dans une pièce vide ?
– Mais qu’est-ce qu’on fait ici ? Je croyais qu’on devais aller voir ton commandant ? Demanda Alex perplexe.
– Il est là-bas dans sa cuve régénératrice, répondit le garde en pointant le drôle de cercueil.
Alex se tût, s’il posait des questions sur la cuve, cela serait suspect s’il posait des questions sur un sujet qu’il était censé savoir, il se contenta d’attendre en se demandant ce qu’il allait bien se passer…
En y regardant de plus près, Alex remarqua que la cuve avait sur son dessus une petite lumière rouge.
Puis subitement, elle s’éteignit et presque instantanément une deuxième s’alluma en vert. Puis la cuve s’ouvrit, plus exactement une sorte de sas coulissa vers le bas. Découvrant une silhouette allongé à l’intérieur de la cuve, qui en sortit après quelques secondes.
Alex ne vit que le dos de la créature qui venait de sortir de la cuve.
Il était chauve, avec des petites oreilles pointus, comme l’autre extraterrestre que Alex avait tué. Il portait une cape noire et Alex vit également de grosses épaulières.
La créature prit alors quelque chose dans la cuve, il s’agissait d’un casque, qu’il mit sur sa tête.
La créature se retourna et Alex pût voir le reste de son corps… Et avec son armure, la créature était bien plus impressionnante que les gardes. Notamment, grâce à ses grandes épaulières et de sa cape.
Alex remarqua quelque chose d’étrange qui était incrusté dans l’avant-bras du commandant, une sorte de cristal bleu. Ou plutôt de gemme, de la taille d’une bille.
Alex se demanda bien à quoi pouvait-elle servir ?
Le commandant se tourna vers le garde, celui-ci lui se tenait droit comme un i. Il tapa son poing contre son plastron, puis il tendit le bras. Alex tenta de reproduire la même chose, mais avec une grande difficulté.
Le commandant fit le même geste que le garde et dit :
– Vous voilà soldat, bien, je vais maintenant vous affecter à la surveillance de la salle des machines.
– Bien ! Répondit le garde.
– Et que faites vous ici ? Demanda le commandant en se tournant vers Alex, qui ne sût quoi répondre.
Le commandant s’approcha de lui, il l’observé de la tête jusqu’au pied. Alex sentit son cœur cogné dans sa poitrine, il sentait que s’il ne répondait pas quelque chose et vite, les choses pourraient brusquement déraper…
– Il est nouveau, dit le garde, il ne sait pas où aller.
– Très bien, dis-moi, je peux savoir ce qui est arrivé à ton casque ?
Alex resta silencieux, intimidé par le commandant, alors il ne pouvait en dire la raison…
– Je… Reviens d’une mission d’éclaireur sur la Terre… Et en rentrant j’ai croisé des monstres… finit-il par répondre dans un souffle.
– Je vois, vous penserais à le changer, ordonna le commandant.
– À… Vos ordres commandant ! répondit Alex dont le cœur allait bientôt exploser.
– Suivez-moi ! dit le commandant, qui s’avança vers la sortie, suivit par Alex et le garde.
Ils rebrousser le chemin, jusqu’au croisement que Alex et le garde venaient de passé, puis tourner à gauche.
Ils traversaient tout le couloir, Alex tenta de faire baisser sa tension tout le long du trajet.
Ils arrivaient enfin à destination, devant une porte et une chose troubla Alex, il était capable de comprendre ce qu’il était inscrit au dessus de la porte.
Il lisait :
« Salle des Machines ».
Alex sentit son cœur faire un bon dans sa poitrine, il y était enfin là où il le souhaité, il ne lui resté plus qu’à trouvé un moyen de rentrer dans la salle.
Le garde se positionna devant la porte, Alex fit la même chose, mais lui prit l’autre coté de la porte.
Mais en regardant le garde de plus près, il remarqua que celui-ci tenait son arme, mais lui, la garda collé à son dos. Alors il prit son fusil et resta immobile.
Le commandant s’approcha de la porte et dit :
– Je vais faire mon inspection !
Alex sentit son excitation monter d’un cran, il y était presque…
Le commandant tendit l’un de ses bras, celui où se trouvé la gemme bleu, devant un panneau se trouvant à côté de la porte.
Une lumière bleu sortit alors d’une lentille, scannant la gemme et la porte s’ouvrit comme l’autre la précédente.
Alex ne put s’empêcher de jeter un coup d’œil à l’intérieur de la pièce.
Celle-ci était assez grande, plus que la précédente, il y avait des machines de partout, comme Alex pouvait s’y attendre. Ainsi que des voyants multicolores au fond de la pièce sur une parois.
Mais la pièce était surtout remplis de levier activant ou désactivant des générateurs.
Et il ne fallut pas longtemps à Alex pour repérer celui où il était inscrit au dessus : « Boucliers Portail ».
Ça y été, il resté plus qu’à Alex à trouver le moyen de baisser ce levier et sa mission serait enfin terminer.
La tension était à son paroxysme, le commandant entra dans la pièce et fit son tour d’inspection.
Alex savait qu’il devait agir vite, il ferma les yeux se concentra sur la gemme, cette pierre bleu était tout ce qui compté pour lui à cet instant…
Au moment où le commandant ressorti de la pièce, Alex se concentra à fond.
Et quand le commandant passa à côté d’Alex, qui était toujours tourné vers la pièce, sa gemme fut alors décroché de son avant-bras. Et fusa dans la main gauche qui tenait le fusil ( la partie garde de main, la partie qui se situant juste avant le canon).
Alex avait du mal à maintenir la gemme, car celui-ci devait en même temps tenir le fusil et la dissimuler à l’intérieur de la paume de sa main. Ce qui faisait que Alex devait maintenir collé la gemme contre le fusil.
Alex se tourna comme si de rien n’était, le garde ne sembla pas avoir remarqué quoi que ce soit, car il était resté tourner dos à la porte.
Tant dit que le commandant s’éloigna, retournant là d’où il venait, Alex attendit qu’il soit loin avant de faire quoi que ce soit d’autre…
Mais une question se posa, quelle serait la suite de son plan ?
Alex devait trouver le moyen d’éloigner le garde afin de pouvoir pénétrer dans la salle.
Il réfléchit pendant plusieurs secondes sans rien trouver, il ne voyait pas ce qu’il pouvait faire à peine un mètre du garde sans se faire repérer…
Puis, Alex eut un déclic, il pouvait utilisé sa télékinésie, il lui fallait trouver comment utiliser son pouvoir.
Il ne pouvait pas faire venir un objet vers lui pour assommer le garde, alors il devait trouver un objet à casser pour distraire le garde.
Mais comment ?
Alex ne savait même pas s’il était capable d’une telle prouesse…
Il lui resté plus qu’à essayer, il ferma les yeux, il fit le vide dans son esprit, tentant de trouver un objet se trouvant les parages, mais il en avait aucun…
Puis, les tubes lumineux apparurent alors dans l’esprit d’Alex, il savait qu’il étaient partout dans le vaisseau. Il serait plus facile de se concentrer sur eux, plutôt que de chercher des objets au hasard…
Alex fit le vide dans son esprit, il rassembla chacune de ses pensées vers les tubes lumineux.
Il se concentra sur l’idée de les détruire, au moins un, mais après plusieurs secondes à se concentrer dessus, rien ne se produisit…
Alex sentit la colère monter en lui, il ne savait pas comment casser ces tubes. Cela l’énerva encore plus, il sentit son cœur augmenté l’allure, le stress monta en lui.
Les images de Marlène se faisant massacré par les aliens s’insinua dans l’esprit d’Alex. Une sueur froide coula derrière sa nuque, Alex sentit une rage monter en lui.
Il fallait qu’il réussisse à détruire ces tubes, alors soudainement, il eut un flash, Alex savait enfin ce qu’il lui resté à faire…
Alex concentra toute sa colère, toute sa frustration sur l’un des tubes le plus proche et la seconde qui suivit, il eut un grand bruit de verre qui éclate. Suivi de celui d’étincelles résonnant dans le couloir.
Alex savait qu’il venait de réussir. Il sentit une montée d’excitation, il y était presque…
Quand le garde entendit cela, il se précipita vers la direction de ce vacarme, laissant enfin seul Alex.
Celui-ci attendit que l’extraterrestre soit suffisamment éloigné pour se dirigeait vers la porte.
Alex sentit son cœur cogné dans sa poitrine, il s’approcha du panneau de la porte et y mit la gemme devant, la porte s’ouvrit automatiquement.
Alex entra, ça y été, il lui resté plus qu’à baisser le levier correspondant à l’alimentation des boucliers.
À chaque pas qu’il faisait, Alex sentait les battements de son cœur s’accélérer.
Quand il fut à environ un mètre du levier, Alex tendit déjà le bras, cette fois il y était enfin…
Il baissa le levier, ce qui eut pour effet immédiat d’éteindre le voyant se trouvant juste en dessous. Alex savait que cela avait marché, cela ressemblait au fonctionnement de la technologie Terrienne.
L’excitation à son paroxysme, Alex quitta la pièce marchant à un rythme accéléré.
Il ne resta plus qu’à Alex à retourner à l’ascenseur, puis de rependre le téléporteur…
Une fois dans le couloir, Alex se débarrassa de la gemme, puis se dirigea vers l’ascenseur, quand subitement, il fut interrompu par une voix qu’il connaissait bien maintenant :
– TOI ! Tu pensez peut-être t’en tirer comme ça ? hurla le commandant.
Le sang d’Alex se glaça, il se figea sur place, paralyser par la terreur…
Alex se retourna lentement, le commandant et le garde se trouvaient devant lui, leurs armes pointer sur lui.
Le commandant avait un fusil différent du garde, celui-ci avait un canon plus gros et des boutons sur le côté.
Il savait que tout était fichu, alors qu’il était si prês du but…
Alex sentit une immense frustration monter en lui.
– Rends-toi ! Traître ! s’exclama le commandant.
Alex était coincé, il le savait, à deux contre un, il ne pourrait rien faire…
Au moment où le commandant s’approcha d’Alex, le garde tira, il sembla ne pas l’avoir fait exprès.
Alex par reflex mit son bras devant son visage, son pouvoir se déclencha et le laser revint sur le garde.
Le garde évita le laser in-extrémise en baissant la tête, le projectile continua sa course dans le couloir.
– Tu vas voir ! hurla le commandant.
Le commandant appuya sur l’un des boutons de son fusil, Alex ne comprit rien à ce qu’il faisait, de toute façon, il n’aurait pas le temps d’essayer…
Car le commandant appuya sur la détente de son arme et un projectile électrique en sortit et fusa sur Alex sans que celui-ci puisse faire quoi que ce soit…
Il le reçu de plein de fouet, Alex prit une puissante décharge électrique.
Alex sentit comme si son corps brûler de l’intérieur, son cri de douleur résonna dans le couloir. Sa vison se brouilla comme précédemment. Puis il s’effondra dans un bruit assourdissant, inconscient…
…
Alex reprit connaissance, sa vision était toujours trouble malgré son casque.
Lentement il retrouva sa vision, il reconnut l’ascenseur qu’il avait prit avec le garde.
Alex remarqua qu’il était à genoux, ses bras étaient attacher par le devant avec des sortes menottes épaisses, faite d’un métal que Alex ne connaissait pas.
Il sentit encore les douleur des brûlures des décharges électriques, le jeune homme leva la tête et vit le garde à sa gauche et le commandant à sa droite. Il le savait, cette fois c’était la fin pour lui…
Marlène, Ladur, ses parents et le reste de l’humanité était condamné…
Alex était désespéré, il ne savait pas où on le conduisait, mais où que cela soit, c’était sans nulle doute vers une mort certaine…
L’ascenseur s’immobilisa, la porte s’ouvrit, le garde et le commandant souleva Alex en le saisissant par les aisselles. Puis ils traversaient un nouveau couloir.
Après deux à trois minutes de marche, ils arrivaient devant une double-porte, garder par deux soldats armaient de fusils.
Ils s’écartaient pour laisser passer le commandant, garde et Alex, la double-porte s’ouvrit avec un léger vrombissement.
Ils entraient, l’intérieur étaient immense, Alex en était surpris par la taille.
Au centre de celle-ci se trouvait un trône fait de métal, différent des autres, de couleur noir.
Assis dessus, un alien, c’était l’un des extraterrestres de ce monde. Mais celui-ci était différent, on aurait dit une femme…
Elle avait des longs cheveux ! Comme une humaine !
Ils étaient soyeux, noirs. Même sa peau était différente des autres autochtones, elle avait des reflets argentés.
L’alien avait corps fin, des yeux uniformément noirs, Alex la trouvé belle, malgré qu’elle ne soit pas humaine…
Elle portait une armure, mais pas intégrale comme les autres, elle avait un plastrons et des épaulières, fait du même métal que les armures des soldats.
Elle avait également une protection sur son entre-jambe, ainsi qu’aux genoux jusqu’aux pieds. La femme alien porté aussi une chose sur sa tête, que Alex n’avait pas tout de suite remarqué, une étrange couronne, d’une matière translucide, sertie de gemmes multicolores. Il venait de comprendre qui elle était…
La reine porta une cape blanche, Alex remarque une autre chose était collé à droite de son bassin, un cylindre métallique, d’une couleur argent.
Il y avait deux gardes des deux côtés du trône, armé de fusil, mais Alex remarque qu’il avaient également quelque chose de collé à sur leurs bassins. Un étrange objet, ressemblant à un manche de cuter noir. Leurs armures étaient semblables à celle du commandant.
la reine posa son regard sur Alex, qui sentit une hostilité envers lui.
Le commandant et le garde emmena Alex devant le trône et le força à se mettre à genoux.
– Que se passe-t-il, commandant ? Demanda la reine à la fois surprise et intriguée.
– Majesté, cet individu s’est introduit dans la salle des machines, il a réussit à me subtiliser ma gemme. Il semblerai qui soit doté de pouvoirs de télékinésie… répondit le commandant.
La reine était bouche-bée par les révélations du commandant, puis elle ordonna :
– Très bien, vous pouvez disposer…
Le commandant et le garde quittèrent la pièce.
– Bien, qu’on lui retire son casque ! reprit la reine, les deux gardes s’approchaient d’Alex, qui sentit la panique le submerger.
Les deux gardes le tenait en joue, mais celui-ci ne compté pas bouger.
Ils arrivaient derrière Alex et l’un deux posa ses mains sur son casque et lui enleva…
La reine fut très surprise quand elle vit le visage d’Alex, celui-ci cru que son cœur allait sortir de sa poitrine.
– Un humain, comme c’est inattendu… dit-elle d’un ton trop aimable pour être sincère, je me présente, je m’appelle Céléstia Oméga V et je te souhaite la bienvenue dans la dimension du chaos !
EPISODE XI
L’entraînement de Marlène
Cela faisait déjà plusieurs jours que Alex avait franchit le portail, Marlène était de plus en plus inquiète pour lui…
Il était tôt ce matin là, quand son téléphone se mit à vibrer, la jeune femme tâtonna pour le trouver.
Elle n’était pas bien réveiller, elle finit par le saisir et lu le message, celui-ci provenait de LaDur :
On se donne RDV dans une heure au parking du commissariat, pour votre entraînement !
La jeune femme relu deux fois avant de comprendre ce qu’il était écrit, puis d’un seul coup, elle se leva de son lit, complètement réveiller par l’adrénaline.
Au bout de dix minutes, Marlène sortit de la salle de bain et alla prendre son petit-déjeuné.
La jeune femme était toute excité, elle attendait depuis plusieurs jours au moment où elle pourrait commencer l’entraînement au tir.
Mais elle était également stresser…
Une fois son petit-déjeuné terminer, Marlène se dirigea vers sa chambre et sortit quelque chose de sa commande. Le pistolet que lui avait donné LaDur.
Au bout d’une dizaine de minutes de marche, Marlène arriva à destination.
Elle attendit plusieurs longues minutes l’arrivée de LaDur, elle était très en avance.
La jeune femme regarda sa montre à plusieurs reprises, mais l’homme d’une quarantaine d’années se faisait désirer.
Puis après encore quelques minutes d’attente, il arriva enfin, il avait l’air toujours aussi dur.
– Vous êtes là depuis longtemps ? Demanda-t-il un peu mal à l’aise.
– Depuis environ quarante minutes, répondit la jeune femme, qui commençait à avoir mal aux pieds, à force de rester debout à entendre.
– Fallait pas arriver si tôt, rétorqua LaDur.
– J’étais presser de commencer ! Répondit la jeune femme.
– Bon, très bien, on y va !
– Au fait, pourquoi ne pas le faire ici ? Demanda Marlène intriguée.
– Je n’ai pas le droit de faire ça, il faut rester discret ! Répondit le flic avec impatience.
LaDur commencer à avancer, suivit par Marlène, ils marchaient quelques minutes, puis ils arrivaient devant une voiture de la police.
LaDur ouvrit la porte passager et Marlène entra dans la voiture.
Au bout de quelques secondes, le moteur vrombit et le voiture commença à rouler.
Tout le long de la route, LaDur resta presque silencieux, ce qui mit très mal à l’aise Marlène. Elle remarqua qu’ils quittaient la ville.
Ils se dirigeaient vers Crouy.
Après plusieurs minutes de trajet, ils arrivaient à destination, LaDur gara sa voiture et coupa de le contact.
Marlène sortit de la voiture, respirant un bon air frais, loin de la ville.
Ils se trouvaient sur un champ.
Au bout de quelques secondes, LaDur fit son apparaissions devant la jeune femme, avec des bouteilles vides de bière.
Marlène ne pouvait pas s’empêcher de sourire en s’imaginant LaDur buvant toutes ces bouteilles, devant totalement ivre. Cela le rendait un peu plus humain, aux yeux de la jeune femme.
– Bon, on va pouvoir commencer, dit LaDur.
– OK, on va tirer sur ses bouteilles ? demanda Marlène.
– À votre avis ? Rétorqua le flic, toujours peu aimable.
Marlène répondit par des yeux monter au ciel, l’homme se dirigea sur plusieurs mètres, avant de poser les bouteilles, bien aligner.
Une fois qu’il venait de les poser, LaDur revint vers la jeune femme, puis il se tourna vers les bouteilles.
– Bon, le plus important pour tirer, c’est de bien respirer ! dit-il d’un ton assuré.
LaDur sortit un pistolet de son étuis, il visa et dit :
– Démonstration !
À ces mots, l’homme tira, le coup de feu résonna à travers le champs, et sa balle pulvérisa l’une des bouteilles. Puis LaDur se retourna vers la jeune femme, qui était très impressionner.
– Bon, à votre tour, dit LaDur.
Marlène sortit son arme de son sac à main, posa son sac, ses mains tremblantes.
– Non, essayez de vous calmer, conseilla le flic.
– Je vais essayer, répondit la jeune femme qui sentit son cœur battre la chamade.
Marlène respira un grand coup, puis leva son pistolet, puis tira, mais ses mains tremblaient encore. La balle fusa, mais elle finit sa course à une vingtaines de mètres de sa cible.
– Bon, recommencez encore une fois, prenez votre temps, dit Ladur qui avait une voix plus apaiser, ce qui déstressa un peu Marlène.
La jeune femme refit le même geste, mais cette fois, ses mains tremblaient un peu moins, du coup, la balle passa seulement à une dizaine de mètres de sa cible.
Mais au bout du troisième essaie, elle réussit à exploser la bouteille.
Et puis virent les autres, Marlène sentit une chaleur monter en elle, elle commença à y arriver. Elle venait de réussir une chose qu’elle ne pensait pas être possible.
– Très bien ! dit LaDur enthousiaste.
Marlène lui sourit, le flic lui rendit un léger sourire, puis il regarda sa montre et dit :
– Bon, on va renter, on se fera un autre entraînement la semaine prochaine.
Marlène regarda LaDur avec une pointe de déception, maintenant qu’elle commençait à y arriver, elle voulait continuer dans cet élan.
LaDur et Marlène rentrèrent en ville, toujours avec le même silence qu’à l’aller…
Puis une fois arriver au commissariat, Marlène sortit de la voiture et dit au revoir à LaDur, puis enfin quitta les lieux.
Tout le long du chemin de retour, Marlène repensa à sa séance de tir avec LaDur.
Elle avait hâte de recommencer, cela lui permettait d’occuper son esprit et de moins penser à Alex.
Mais une fois l’entraînement finit, la reste de la journée de Marlène était longue, car c’était la seule chose qu’elle avait à faire ces temps-ci.
Mais bientôt, pour la jeune femme, les choses allaient changer…
EPISODE XII
Réunion de crise
Si il y avait une chose que LaDur détester, était du perdre du temps dans des réunions interminables et inutiles.
Et le temps justement, c’est ce que qu’il manqué en ce moment… Car l’humanité se préparer à l’invasion d’alien éminente.
Et une réunion, c’était à sa qu’il devait se convier, en tant que commissaire de police.
Il se leva tôt ce jour là, comme chaque jours depuis des années, à cause de son métier.
Le commissaire se leva avec difficulté et c’était le cas depuis qu’il avait vu un cadavre d’alien…
Si un jour où lui aurait dit que des créatures venant de l’espace attaquerait la Terre, il aurait bien ris au nez de la personne lui aurait raconter ça !
L’homme vivait seul dans un petit appartement, il n’avait ni enfant, ni femme et cella lui allait très bien. Car la seule chose qui compta pour lui était son travail.
Mais ces derniers temps, ce boulot n’avait plus aucun sens pour lui, il était totalement dépasser par les événements…
LaDur se lava les dents en repensant à ses monstres, la peur que cela lui inspiré, il revoyait en rêve le portail devant de plus en plus gros.
Une fois terminer son lavage de dents, sa douche, l’homme s’habilla en vitesse, de son habituel uniforme.
Sa réunion avait lieu à la mairie à quatorze heure.
Une fois qu’il finit de prendre son petit-déjeuné, l’homme quitta son appartement.
Et alla à son travail et comme il vivait dans un appartement que l’État lui mit à disposions à proximité de son lieu de travail, cela lui prit pas plus deux minutes pour y arriver.
Il passa le reste de sa matinée à faire de la paperasse… Puis trente minutes avant le début de la réunion, le commissaire partit en direction de la mairie. Il détesté être en retard…
La tension était palpable à l’intérieur de la salle de réunion de la mairie.
Elle était immense, pouvant contenir une cinquantaine de personne facilement.
Il y avait des dorures sur les murs, des tableaux d’arts,… Bref, la pièce était à toute point de vue, incroyable. Même impressionnante.
Il faisait une chaleur à crever, le soleil taper contre les bais-vitrés.
Le maire présidé la réunion, il était assit au bout d’une grande table fait de chêne. Qui était brillait grâce à du verni et parfaitement cirée.
Le maire était accompagné de son adjoint, de conseillés municipaux, mais et c’était la première fois pour le quadragénaire, maire d’une petite ville, du premier ministre et d’un colonel.
Ils étaient tous assis autour du maire, celui-ci commencé déjà à transpirer.
La situation dans laquelle il se trouvé était exceptionnelle, incroyable même, surtout pour un maire d’une petite ville…
Il prit la parole :
– Bonjour à tous, je suis honoré de la présence du premier ministre, ainsi d’un grand colonel de l’armée de terre dans ma petite ville.
Il eut quelques secondes de silence et le maire reprit :
– Dommage que ça soit en pareille circonstance, pour moi cette situation est plus qu’incroyable…
– Monsieur le maire et si vous commenciez ? Suggéra son adjoint.
– Vous avez raison, répondit le maire d’un ton décidé, comme je le disait la situation est incroyable, je dirais même plus, critique.
Le maire se racla la gorge et reprit :
– Comme vous le savez, les scientifiques dépêcher au Geek Island, n’ont pas pu trouver le moyen de faire disparaître le portail. Du coup, nous avons plus choix…
Il eut un nouveau moment de silence, puis le maire reprit :
– L’armée, par ordre du président a débarquer en ville, ils ont placés des explosifs qui se déclencheront au moment ou l’un des aliens sortira du magasin.
Des barricades ont été placer autour du magasin, ainsi des hommes, prêt à faire feu au cas l’une de ces créatures seraient encore vivante après l’explosion.
Il eut encore des secondes de silence, puis l’un des conseillés prit la parole et demanda :
– Et si les armures des ces montres résiste aux explosions, nous faisons quoi ?
– Nous avons analyser la structures des armures de ces aliens, il semblerait quelles soit faite d’un métal inconnu, répondit le maire d’un ton nerveux.
– Ma question tiens toujours, monsieur le maire, insista le conseillé.
– Je vais vous répondre, la structure des amures sont fait de métal ultra résistants, aucun calibre d’arme à feu les perceraient, mais il semblerait qu’il y ait une faiblesse au niveau de leurs yeux.
Les personnes autour de la table sembla reprendre espoir, puis le maire reprit la parole :
– J’aimerai attiré votre attention vers cet écran se trouvant face à moi. Tout le monde se tourna vers l’écran plat se trouvant au fond de la pièce.
Le maire appuya sur une télécommande se trouvant à côté de lui et qui alluma la télévision, un plan des armures des aliens s’afficha.
– Regardez le plan de cette armure, dit le maire, si on zoom dessus… il appuya sur un autre bouton et il eut un zoom sur les yeux de l’armure.
– Si on arrive à détruire leurs yeux, on pourra peut-être les tuer, reprit-il.
Il eut encore un nouveau silence, l’assistance sembla être plus en plus retrouver une nouvelle énergie.
Puis l’un des autres conseillés reprit la parole, il parla d’un ton grave :
– Mais comment faire pour réussir l’exploit de détruire leurs yeux ?
– Nous leur lanceront des grenades à brouillage électroniques, ce qui devrait les éblouir, répondit le colonel, qui était très silencieux jusqu’à maintenant.
– Et si nous parvenons pas a les repousser, qu’est-ce que nous allons faire ? Demanda un troisième conseillés.
Cette fois, il eut un plus long silence, la tension revenait d’un seul coup dans la salle…
Le maire se tourna vers le premier ministre et le colonel, qui le regardèrent d’un air nerveux, mais ce fut le premier ministre qui prit la parole et dit d’un ton grave :
– Le président à décider en cas d’échec, le tir d’une ogive nucléaire !
Il eut un silence glaçant autour de la table, qui dura plusieurs longues secondes…
Puis soudain, quelqu’un reprit la parole, une voix grave, presque brusque :
– Et pour les habitants ? Demanda LaDur.
– Malheureusement, on ne pourra pas les évacuer tous, répondit le maire d’un ton navré.
– Il faudra espérer qu’on en arriva pas là, dit le premier ministre.
– Qu’est-ce qui se passera si votre bombe ne les tuent pas, vous aurais tuer des milliers de gens pour rien, sans parler des radiations ! S’exclama LaDur indigné.
– Malheureusement, c’est la seule solution qui nous restes en cas d’impossibilité de les repousser… Répondit le premier ministre.
– Alors il faudra espéré que Alex parvienne à faire disparaître le portail, dit LaDur d’un ton grave, presque désespéré.
– Oui, il reste ce jeune homme, parti de l’autre côté du portail… Dit le maire, mais il nous faut bien penser au pire, et il faut penser à la survie du reste de l’humanité…
À ces mots, la réunion prit fin, tout le monde quittèrent la salle, LaDur sortit le premier, presser de partir.
Une fois à l’extérieur, LaDur se dit qu’il ne pouvait pas laisser Marlène ne pas être mise au courant. Malgré que cette réunion soit des plus confidentielle. Il ne pouvait pas s’empêcher de penser à la jeune femme… Il devait se l’avouer, le flic commença à avoir de l’affection pour elle,
LaDur prit son portable et tapa un message, qu’il envoya :
C’est pour vous dire, qu’ils comptent envoyer une bombe nucléaire si jamais ils ne parvenaient pas à repousser les aliens, il faudra vous préparez à vous mettre à l’abri !
Il remit son téléphone dans sa poche, puis il reprit sa route se dirigeant chez lui.
Quelques minutes plus tard, le téléphone sonna, LaDur le sortit et lu le message qui venait de Marlène :
OMG ! Ils sont sérieux, où vous voulez-vous que j’aille !!!!
LaDur s’attendait à cette réponse, il aurait savoir quoi répondre, mais il en avait aucune idée…
Il répondu tout de même :
Désolé, il faudra espéré que leur plan marche, je vous expliquerait tout demain, si ça vous intéresse.
Ladur eut à peine le temps de rentrer dans sa voiture, qu’il reçu une réponse de Marlène :
Bien-sûr que ça m’intéresse ! Á demain, bonne soirée à vous !
LaDur lu ce dernier message, encore une fois il s’attendait à cette réponse.
Décidément, cette fille avait du cran et cela plaisait à LaDur, maintenant, il fallait garder espoir, avec un peu de chance, leur plan marcherait…
LaDur le savait, il y avait une infime chance que cela marche, mais que leur resté-t-il ?
Bientôt l’humanité allait peut être subir sa propre destruction et si cela devait arriver, LaDur combattrait jusqu’à la mort… Car c’était la seule chose qu’il savait faire.
EPISODE XIII
La première vague
Cela faisait déjà plusieurs semaines que Alex avait franchit le portail, il manqua énormément à Marlène, elle pensa à lui à chaque instants de la journée…
La seule chose qui l’aider à tenir sans lui, c’était de se battre, ces derniers jours, Marlène les passèrent à s’entraîner à l’utilisation d’armes à feu. Entraînement reçu par LaDur.
Mais la jeune femme venait d’apprendre une terrible nouvelle part LaDur la veille… Une chose qui changea tout, comme pouvait-elle faire pour survivre à un bombardement nucléaire ?
Marlène décida d’y pas penser, fallait qu’elle reste positive, mais cela lui demanda un gros effort, elle devait se concentrer sur son entraînement.
LaDur lui indiqua que l’entraînement du jour serait le dernier, car il lui enseigner tout ce qu’il savait.
Marlène se rendit dans le parking du commissariat pour y attendre Ladur…
Le flic arriva deux minutes plus tard, ils partirent en voiture jusqu’à Crouy,
Une fois les bouteilles mise en place, l’entraînement commença…
Marlène tira sur les cibles sans aucune difficulté.
À cet instant, elle était devenue une véritable pros de la gâchette.
Et elle savait qu’elle le devait à LaDur, ses précieux conseilles l’avait aider.
« Vous devez bien respirer, la respiration est la clé d’un bon tireur », c’était les mots qui lui répéta en boucle.
Après deux heures d’entraînement passèrent, puis Marlène rentra chez elle. Sur tout le long du chemin, ses pensés étaient orientés vers Alex, mais aussi à la peur que lui inspiré l’arrivée éminente des extraterrestres…
Une fois chez elle, Marlène se posa sur son canapé et alluma la télévision pour se détendre un peu, mais en vain…
Car sur toutes les chaînes on ne faisait que de parler de l’invasion extraterrestre qui se préparer…
Au moment où Marlène allait éteindre la télévision, elle tomba sur le reportage en direct devant le Geek Island…
Elle reposa tout de suite la télécommande et fixa son attention sur le
reportage en question.
C’était une femme d’une quarantaine d’années qui s’approcha du magasin, il y avait des soldats entourant les lieux. La femme se dirigea vers l’un des hommes en uniforme et demanda dans le ton de l’excitation :
– Monsieur le soldat, pouvez-vous me dire ce qui se passe ?
Mais l’homme ne répondit rien, la journaliste insista sans obtenir de réponse, alors elle s’adressa aux téléspectateurs :
– Appartement les événements semble s’accélérer, peut-être que le portail s’emballe ! Je ne sais pas, mais vous pouvez voir qu’autour de moi, il y a des mouvements de partout, c’est la panique !
Le cameramen filma des soldats se poster devant le magasin et ainsi que des policiers, se préparant à quelque chose… Parmi eux… LaDur !
Que Marlène reconnut immédiatement, elle éteignit la télévision sur le champs et l’appela.
Le téléphone sonna plusieurs secondes sans qu’il décroche, alors elle raccrocha son téléphone et se précipita vers sa chambre.
Marlène sortit un pistolet d’une commode se trouvant à côté du lit. Puis elle le rangea dans son sac à main et se précipita vers la porte d’entrée, puis enfin quitta l’appartement.
Une vingtaine de minutes plus tard, Marlène arriva au centre-ville, elle cherche du regard LaDur sans le trouvé… Tour ce qu’elle vit étaient des centaines d’hommes et de femmes en uniforme, des policiers et des soldats s’affairant de tous les sens.
Marlène ne voyant toujours pas LaDur, elle décida de crier son nom, mais sans toujours aucune de réponse…
Soudainement, une main attrapa le bras de Marlène et la tira vers l’arrière. La jeune femme fut ramener sur un trottoir, elle se tourna vers la personne l’ayant attraper et vit que c’était LaDur…
Celui-ci sembla énervé et effrayer à la fois, cette réaction était dû par sa présence au centre-ville. Et Marlène remarqua une autre chose, LaDur porta un gilet par balle.
– Qu’est-ce que vous foutez ici ? Demanda-t-il brusquement.
Marlène sous le coup de la surprise ne répondit pas tout de suite, puis après quelques secondes de silence, elle dit d’un sec :
– À votre avis ? J’ai vu la télé, je veux savoir ce qui se passe ici !
LaDur relâcha la pression sur le bras de Marlène et répondit dans un ton plus calme :
– Bon, puisque que je sais que vous allez pas partir tant que vous ne saurez pas, je vais vous le dire… LaDur se tût quelques secondes, le temps de reprendre sa respiration après s’être énervé et reprit la parole :
– Le portail fait des siennes, on peur que les aliens débarquent ! Maintenant, partez, fuyez la ville !
Marlène était bouche-bée après ces révélations, elle sentit la terreur monter elle.
De la sueur commencé à couler sur son visage, son cœur battait la chamade.
Marlène s’était préparer à cela pendant plusieurs jours, mais elle redouter que ce jour arrive…
Mais on y été, elle ne pouvait plus espéré que Alex les sauves tous, elle ne pouvait pas non se cacher, elle irait où de toutes les façons ?
Marlène regarda LaDur droit dans les yeux et répondit :
– Je ne partirai pas !
LaDur fut surprit par cette réponse, il savait qu’elle était du genre têtu, mais pas inconsciente tout de même, il la regarda également et lui répondit d’un ton grave :
– Non, vous ne pouvez pas rester, c’est trop dangereux ! Je ne veux pas que vous creviez ici !
Marlène ne pouvait pas rester insensible aux mots de Ladur, cela la touché beaucoup, surtout venant d’un homme comme lui…
Elle ne se douté pas qu’il puisse tenir aussi fort à elle. Mais malgré tout, elle pourrait pas partir…
– Désolé mais je reste ! Je me suis pas entraîner pour rien ! Dit-elle d’un ton ferme. Malgré l’émotion qui en train de monter elle…
LaDur resta bouche-bée devant la réponse inattendue de Marlène, après quelques secondes de silence, il répondit tout aussi ferment :
– Écoutez, si je vous entraîner c’était où cas où, mais là c’est vraiment trop dangereux, vous… Ladur fut ininterrompu par une explosion… Il n’était plus temps pour la discussion, les aliens étaient là…
C’était la façade du Geek Island qui explosa, les vitrines volèrent en éclat, ainsi que la porte d’entrée.
Une épaisse fumée, mélanger à de la poussière se répandirent là où l’explosion avait eu lieu, on n’y voyait rien…
Au même moment, LaDur prit Marlène par le bras et l’entraîna loin du magasin.
Il se mit à courir, assez vite malgré son poids, Marlène était entraîner sans pouvoir réagir, sans comprendre ce qu’il faisait…
Puis après plusieurs mètres de course, LaDur s’arrêta, il se trouvé devant sa voiture de fonction. Marlène ne comprit toujours rien à ce qui se passé, elle était totalement en panique.
– Qu’est-ce que vous faites ? Finit-elle par demander.
– Fallait… D’abord qu’on s’éloigne du danger… Répondit LaDur essoufflé et en panique. Alors que des gouttes de sueur qui perlaient sur son front, mais il y a ceci que je voudrait récupérer…
Il sortit de son coffre de voiture, un fusil à pompe, qu’il chargea, Marlène voyant ça, fit de même et sortit son pistolet et le chargea également.
– Ne restez pas planter là ! Planquez-vous derrière la voiture ! Hurla LaDur.
Ce que fit tout de suite Marlène, rejointe par Ladur, ils observaient ce qui resta du Geek Island…
Celui-ci était toujours à moitié dissimulé par un écran de fumée. Mais qui commença à s’évaporer…
Une dizaine de silhouettes étaient cachés par la fumée, mais qui était de plus en plus visible, au fur à mesure que celle-ci disparaissait…
Une dizaine de soldats et de policiers se tenaient prêt à les recevoir, bien caché par les barricades.
Les soldats étaient tous armés de fusils FAMAS, les policiers eux, de MP5. Ils pointaient leurs armes pointaient vers les créatures.
Lentement, la fumée se volatilisa, laissant apparaître les créature derrière…
Puis quelques secondes plus tard, la fumée avait complètement disparue… Ils étaient là, les aliens, l’un d’entre eux était différent, Plus grand, plus impressionnant.
Il avait des épaulières plus grosses et le reste de son armure également, elle était proportionnelle à sa carrure. Il portait également une cape, mais aussi… un canon à la place du bras droit!
Cette fois il n’y avait plus de doute possible, les extraterrestres étaient bien là, l’espoir que tout ceci soit un rêve s’estompa immédiatement.
Le monde allait bientôt basculer dans la terreur, l’humanité allait peut-être s’éteindre ?
Mais pas sans combattre!
Sans attendre une seconde de plus, les soldats, ainsi que les policiers balancèrent tous en même temps des grenades par dessus les barricades.
Mais une fois sur le sol, elle n’explosa pas comme des grenades classiques, après leurs détonations, des particules métalliques microscopiques sortirent de ce qui rester des grenades.
Les extraterrestres semblaient déstabiliser, comme paralyser, les particules brouillaient leurs visions. Comme cela était prévu par le colonel.
– FEU ! Hurla le commandant, l’homme était bien caché derrière un tank, se trouvant à des centaines de mètres du magasin.
Tous se mirent a tirer en même temps, les balles fusaient par milliers sur les créatures.
Elles atteignirent leurs cibles, le casque de chacun des extraterrestres, plus exactement, leurs yeux…
Les tires dura plusieurs secondes sans s’arrêter, puis le son des fusils se stoppaient, ils avaient vider leurs chargeurs.
Mais c’était avec stupeur, qu’ils découvrirent qu’il y avait que des micros-fissures sur leurs yeux de leurs casques. Malgré qu’ils venaient de vider leurs chargeurs…
Leurs yeux étaient bien plus résistants que prévu, les canons des fusils fumaient encore, quand les aliens se mirent à bouger, les effets des grenades venait de se stopper…
– REPLIS ! Hurla le commandant, tous les hommes et femmes en uniformes se retirèrent.
Puis avant même que les aliens ne puissent faire quoi que ce soit, le tank tira, un gigantesque obus fusa vers eux.
Il eut une énorme explosion, bien plus puissante que la précédente, presque tout le magasin partit en fumée, ainsi que les barricades.
Un épais nuage de fumée recouvrit ce qui resté du Geek Island, tous espéré que cette fois les extraterrestres étaient bien morts…
Marlène qui cru que son cœur allait s’arrêter, était recroquevillé, elle se demanda si finalement, elle n’aurait pas dû rester sagement chez elle ?
Elle ne sentait pas de taille fasse à ces monstres, la jeune femme prier intérieurement pour les aliens soient morts.
Marlène sortit lentement la tête de derrière la voiture, son corps trembla frénétiquement.
La fumée était encore là, on n’y voyait toujours rien… Mais lentement, elle commença à se dissiper…
Bientôt, elle serait plus là, mais seulement, on pouvait distinguer des mouvements au travers de la fumée…
Des pas se firent entendre, puis il eut une détonation, un laser traversa l’écran de fumée et fusa dans la rue, pour finir sa course sur le visage du commandant, qui venait à peine de sortir la tête de derrière le tank pour voir ce qui s’était passé…
Son crâne explosa littéralement, des morceaux de cervelles furent éparpiller dans tous les sens.
Le reste de son corps retomba lourdement au sol, la panique se rependit partout dans les lieux…
D’autres tirs résonnaient, les soldats et les policiers tentèrent de s’enfuir, mais en vain.
Plusieurs d’entre eux furent abattus, certains purent s’échapper in-extrémise.
Ils coururent tout en s’abaissant, évitant les lasers, se cachant derrière des immeubles ou des maisons. Mais les extraterrestres, qui pour le moment ne bougeaient plus, allait bientôt sortir de derrière la fumée. Qui s’était presque évaporée. Ils étaient tous intact, comme si rien ne s’était passé.
C’était le plus gros d’entre eux qui s’avançait en premier, suivit par les autres, il fit quelques pas, puis s’immobilisa en tendant son canon…
C’est alors qu’une chose incroyable se produisit, sous les yeux écarquillaient des personnes encore vivantes…
Le gros alien appuya sur l’un des bouton de son bras et une boule d’énergie violette fit son apparition à l’intérieur de son canon. Elle grossit lentement, des arcs électriques commençaient en jaillir…
La boule grossie encore et encore, jusqu’à presque sortir du canon, puis le gros alien appuya sur l’un des autres boutons de son arme.
L’énorme boule d’énergie fut alors expulser du canon, comme un projectile, fusant vers le tank.
Quand celle-ci rentra en contact du tank, il explosa dans une énorme déflagration.
Il se souleva de terre, le goudron fut arracher, puis il retomba lourdement, là où il était, faisant trembler le sol, le fissurant, partout autour de lui.
Le choc fut si violant que toutes les vitres de sa voiture volèrent en éclat.
Heureusement pour lui, LaDur était caché derrière recroquevillé, il entendit quelques secondes, puis il se releva d’un seul bon.
LaDur qui était en panique total, chercha des yeux Marlène, qui la vit recroquevillé presque sous ce qui resté de sa voiture.
Il la prit par son bras, la souleva et commença à courir, son fusil dans l’autre main, le plus vite et le plus loin possible des lieux…
– ALLEZ ! BOUGEZ-VOUS ! Hurla-t-il à Marlène qui sembla paralysé par la peur.
Celle-ci le regarda d’un air ahuri, puis la seconde qui suivit, elle commença à rependre contenance, la jeune femme se mit à accéléré le mouvement.
Des lasers sifflaient au dessus de leurs têtes, LaDur lâcha le bras de Marlène, il se tourna vers elle et hurla :
– ‘Faut qu’on se sépare, ça s’ra plus dur pour eux de nous tirer dessus !
La jeune femme ne répondit pas, elle se contenta d’acquiescer, puis se dirigea vers la droite, pendant que LaDur alla vers la gauche.
Leurs poursuivant continuer de tirer, mais la stratégie des deux humains marcha, leurs projectiles ne les atteignirent pas…
Le plus gros d’entre eux, s’arrêta alors les autres firent de même.
Il sembla être leur chef leur fit des signes étranges, tout en leur parlant dans une langue inconnue. La seconde qui suivie, les aliens se séparèrent, cinq partirent avec le chef et les cinq autres partirent dans la direction opposer.
Le chef hurla à ses hommes d’autres instructions et la seconde qui suivie, ils accéléraient le pas.
Marlène zigzagua pour éviter les lasers, les tirs étaient de plus concentré sur elle, mais elle garda une bonne avance sur ses poursuivants.
Il y avait trois aliens qui étaient à plusieurs mètres d’elle, ils tiraient encore dessus, mais celle-ci évita encore les projectiles.
Marlène tenta de réfléchir afin de trouver le moyen de semer ses poursuivant, mais la terreur l’empêcher d’y arriver. Elle commença même se fatiguer…
La sueur dégoulina de partout, son cœur allait bientôt sortir de sa poitrine. Cette fois, elle sentit que ça serait bientôt la fin…
Un tir passa à quelques centimètres de son épaule, Marlène se mit alors à courir à l’opposé de celui-ci.
Mais un autre laser passa à quelques centimètres de son autre côté, Marlène regarda par-dessus son épaule et vit les cinq extraterrestres toujours sur ses talons.
Elle fallait qu’elle parvienne à les semer, mais comment ? La jeune femme n’en avait toujours aucune idée…
Marlène tenta un tir désespéré par dessus son épaule, mais qui n’atteignit pas sa cible.
Elle parvenait tout de même à remonter la rue, mais les aliens commença à la rattraper…
Soudainement, d’autres tirs venaient en face d’elle, mais pas ceux des créatures, mais c’était celui-ci des soldats.
Un combat s’engagea entre eux, profitant de cette diversion inespéré,
Marlène prit la fuite à l’opposé d’eux.
Marlène entendit les tirs derrière elle, mais elle savait que les soldats ne pourrait pas tenir longtemps…
Marlène continué de courir le plus vite qu’elle pouvait, malgré la fatigue de plus en plus forte, mais subitement, quelque chose passa au dessus d’elle.
Le projectile atterrir à quelques mètres de la jeune femme, au contact du sol, il explosa.
L’explosion fut d’une puissance gigantesque, Marlène reçu des gravats sur elle.
Marlène s’immobilisa sur place, tremblante de peur, de la sueur coula en grosses gouttes.
Marlène tourna la tête lentement et vit l’alien au bras canon, alors elle s’enfuit se dirigeant vers le bâtiment le plus proche d’elle. Il fallait qu’elle se mette à l’abri.
À quelques mètres de sa position se trouva un centre commercial, Marlène fonça vers lui…
Elle arriva enfin devant l’entrée, quand soudainement, celle-ci explosa, l’arrêtant dans sa course. Elle fut aveuglé par la déflagration.
Les éclats de verres brûlant que consistaient la porte furent projeter vers Marlène. Qui ne pouvait pas les éviter, tout ce qu’elle eut le temps de faire, c’était de mettre ses bras devant son visage.
Les bouts de verres la transperça à plusieurs endroits, les épaules et les jambes, les blessures n’étaient pas très grave, mais elle saigna beaucoup. Mais elle était aussi brûler assez gravement, la jeune femme hurla à cause de toute cette douleur.
Marlène sans avoir à se retourner, savait que c’était cet alien au bras-canon, cette fois l’explosion n’était pas très puissance… Il avait dû utiliser son arme au minimum de sa puissance.
Marlène reprit contenance, malgré l’intense souffrance, elle zigzagua pour tenter d’éviter un autre tire. Puis, Marlène pénétra à l’intérieur du centre commercial.
Il était immense, sur plusieurs étages, à peine entrer, la jeune femme vit des tas de rayons de marchandises variés…
L’intérieur du centre commercial était éclairé faiblement par des néons, Marlène continua de courir, mais le chef des aliens était seulement à quelques mètres derrière d’elle…
Il eut un nouveau tir, l’explosion, peu puissante, se produisit à une dizaine de mètres derrière Marlène.
Ce qui la propulsa au sol, atterrissant dans un fracas assourdissant. Dans sa chute, Marlène lâcha son pistolet, qui glissa au sol sur plusieurs mètres… Elle était sonné, cette fois elle était fichu…
Soudainement, un bras la souleva de terre, Marlène leva la tête et vit LaDur, l’expression de panique déformant son visage, de la sueur lui avait coulé dessus. Même sa moustache était devenue collante.
– ALLEZ DEBOUT ! ON BOUGE ! Hurla-t-il.
Ils courraient dans les allées du centre commercial, alors que des pas lourd se fit entendre derrière eux…
LaDur et Marlène se retrouvèrent caché dans l’allée la plus éloigné de l’entrée du centre commercial.
– Co… Comment vous avez fait pour semer les aliens ? Demanda Marlène intrigué.
– CHUT ! Répondit LaDur dans un ton sec, avec ceci ! LaDur montra son fusil à Marlène.
– Ça les ralentis ! Reprit-il.
Marlène reprit sa respiration, réfléchissant à ce qui fallait faire, LaDur souffla un bon coup et dit d’un ton toujours aussi brusque ;
– Il qu’on se sépare, mais ne sortez pas dehors, les créatures à l’extérieur vont vous cueillir !
– D’accord, mais il me faut mon flingue, il est resté à l’entrée…
Au moment où LaDur allait répondre, il fut interrompu par des pas qui s’approchaient d’eux…
Marlène retourna sur ses pas, essayant de faire le moins de bruit possible, tant dit que LaDur alla à l’opposé d’elle.
Les pas de l’alien semblaient s’éloigner de Marlène, peut-être que la créature était partit en direction de LaDur ? Et si tel était le cas, Marlène devrait alors se dépêcher…
LaDur marcha en faisant le moins de bruit possible, il tenait son fusil bien serrer dans ses mains.
Le commissaire savait comment faire face tous sortes de personnes dangereuse d’habitude, mais c’était la première fois de sa vie, en tant que flic, qu’il était totalement impuissant, il était dans un flou total…
L’homme n’avait jamais imaginé que cela puisse arrivé un jour, d’ailleurs, ces histoires d’envahisseurs n’étaient pas sa tasse de thé. Personnellement, il ne croyait pas aux petits-hommes verts, mais là, il y était en plein dedans… Comment faire pour s’en sortir ?
Donc, Ladur devait être le plus prudent possible, en espèrent que l’alien ne tombe pas sur lui… Il sentit la terreur grimper d’un seul coup.
Seulement, le flic n’était pas très chanceux, car il entendit des pas s’approchaient de lui…
Marlène y était presque, son arme était à quelques mètres d’elle, elle accéléra le pas…
LaDur commença à reculer doucement, mais le pas s’entendirent plus en plus fort, l’homme serra la détente de son fusil, mais bientôt la créature serait face à lui…
Marlène attrapa son pistolet, et fit demi-tour, elle se dirigea vers les pas…
Le chef des aliens faisait face à LaDur, celui-ci, le cœur cognant dans poitrine, pointa son fusil vers le monstre…
Marlène accéléra le pas, ses mains qui tenaient l’arme tremblaient…
Mais soudainement, Marlène entendit des coups de feu…
LaDur tira à plusieurs reprises sur l’alien, celui-ci s’immobilisa, sa tête bascula en arrière à chaque fois que les plombs le touchèrent.
Des micros-fissures commençaient à apparaître sur les yeux de la créature.
Le flic tira encore, encore et encore, l’alien resta figé sur place, à chaque nouveau tir. La fissure devant plus en plus grande… Mais bientôt, LaDur serait à court de munition…
Marlène courut pour rejoindre LaDur, elle avait du mal à respirer, tellement son cœur cogna dans sa poitrine. Les deux ennemis étaient à une dizaine de mètres d’elle…
Il eut un cliquetis qui retentit, LaDur était à court de munition, le chef des aliens, qui avait la tête basculé en arrière, la redressa lentement…
Puis il tendit son canon vers LaDur, qui était paralyser par la peur…
Marlène y était enfin, ses mains trembla encore frénétiquement, elle respira d’un seul coup, elle ferma les yeux, tendit son arme…
Lentement, ses bras trembla de moins en moins fort, puis ils s’arrêta complètement. Puis Marlène ouvrit de nouveau les yeux, l’air déterminer.
Pour la première fois de sa vie, Marlène était sur le point de faire quelque chose de vraiment extraordinaire pour elle… Une chose qu’elle n’avait jamais imaginé faire…
La créature chargea son arme, quand subitement, un cri perçant se fit entendre :
– HE TOI !! Hurla Marlène à plein poumon.
L’alien se retourna et la jeune femme tira, la balle fusa, tournoyant sur elle-même à toute vitesse.
Elle atteignit sa cible, explosa l’un des yeux du casque du monstre.
Les éclats de son œil volèrent dans les airs, le chef des aliens sembla déstabiliser…
Du sang violet coula à flot dans l’orbite du véritable œil de la créature. Un trou apparaissait là où se trouvait l’œil rouge de son casque.
Soudainement, LaDur reprit contenance, profitant du fait que la créature soit affaiblie pour passer à l’action.
Il frappa le monstre à coup de crosse en plein dans son orbite, l’enfonçant presque à moitié.
Le chef des aliens vacilla, puis s’écroula lourdement sur le sol, mort.
Marlène avait réussit, elle n’en revenait pas, la jeune femme sentit de intense chaleur monter en elle.
– Bon, maintenant qu’il est mort, on fait quoi ? Demanda LaDur.
Marlène regarda le cadavre du monstre, puis son regard se posa sur Ladur, l’air dubitative.
Puis soudainement, la jeune femme eut un flash, elle regarda de nouveau LaDur avec un léger sourire aux lèvres.
– Il faut que je mette cette armure ! Finit-elle par dire.
– Vous êtes folle ? Demanda LaDur qui la regarda d’un air incrédule.
– J’ai pas le choix, c’est le seul moyen de tuer ces choses !
LaDur ne répondit rien, il ne savait pas quoi dire, puis au moment où Marlène se baissa, il la retenue en attrapant son débardeur.
– Attendez, il faut d’abord que vous soigniez vos blessure, dit-il d’un ton inquiet.
– Oui, vous avez raison, répondit la jeune femme, qui regarda ses plaies avec inquiétude.
– Bon, il faut aller au rayon pharmacie, dit LaDur.
Une vingtaine de minutes plus tard, Ladur finit de prodiguer ses soins à Marlène. Qui était recouverte de bandages, puis les deux repartirent vers le cadavre de la créature.
– Bon, voyons-voir… Dit Marlène songeuse.
La jeune femme s’abaissa, observant l’armure, des flash d’Alex posant la paume de sa main sur le plastron de l’autre armure, lui revint.
Elle fit la même chose, il se passa rien pendant quelques secondes, puis subitement, des images s’insinuèrent dans son esprit…
Marlène cru qu’elle allait tomber dans les pommes, elle fut rattraper par LaDur.
– Est-ce que vous allez-bien ? Demanda-t-il inquiet.
– Mon dieu, j’ai reçu tous les souvenirs de cette chose directement dans mon cerveau, répondit Marlène d’une voix tremblante.
– Quoi ? Mais comment c’est possible ? Demanda LaDur choqué.
– Je… ne sais pas… Mon dieu, Alex a dû subir ça aussi, sans m’en parler…
– Il ne voulait sûrement pas vous inquiéter… On a pas le temps pour ça ! Allez-y mettez ce truc!
LaDur avait raison, Marlène devrait remettre son questionnement à plus tard, maintenant, elle savait comment marcher cette armure.
Après quelques minutes, Marlène, avec l’aide de LaDur, finit d’enfiler l’armure.
– Et pour le casque ? Demanda LaDur.
– Je pense qu’il est trop abîmer pour qu’il serve à quelque chose, répondit Marlène d’un ton navré.
– Et maintenant ?
– Il faut… Marlène fut interrompu par des bruits de pas qui se firent entendre à l’entrée du centre commercial.
Qui se trouvé à l’opposé de leur position, Marlène se plaça devant LaDur.
LaDur ramassa le pistolet que Marlène venait de laisser par-terre, juste à côté de son sac.
Les deux personnes se dirigeaient vers la sortie lentement, quand soudainement, des tirs fusaient sur eux…
Ils s’abaissèrent juste à temps, évitant les lasers, Marlène répliqua instantanément.
Son premier tir traversa la pièce touchant de plein fouet l’alien se trouvant à quelques mètres d’elle.
Celui-ci fut projeter dans les rayons, qui tombèrent en se renversant comme des dominos.
Un deuxième monstre débarqua à l’intérieur du centre commercial, il ne pût rien faire, lui fut lui aussi toucher par une boule d’énergie.
Projeter sur plusieurs mètres, retombant lourdement sur le sol, mort.
Marlène n’en revenait pas, c’était comme si l’armure lui avait transmit toutes les capacités de l’alien qui la porté…
LaDur, lui était bouche-bée par ce qu’il venait d’assister.
Lui et Marlène sortir du centre commercial, Marlène était devant, le bras-canon tendu.
Ce qu’elle vit était un décor de guerre, des cratères de partout, des cadavres jonchant le sol, certains d’entre eux, étaient en morceaux.
Ce qui resté du tank fumer encore, Marlène regarda dans toutes les directions pour s’assurer qu’elle ne voyait pas la présence d’extraterrestres.
Elle pensa qu’ils étaient tous morts, mais la chose étranges c’est qu’elle savait que les deux qu’elle venait de tuer, était loin d’être les seules… Or il n’y avait pas de cadavres d’aliens… Où pouvait-il bien être ?
Soudainement, trois extraterrestres arrivaient sur la droite, deux autres sur la gauche…
Marlène tira une première salve sur ceux de droite, les explosant tous en même temps. Leurs corps furent projeter dans les airs, retombant à des centaine de mètres de l’explosion, morts. Ceux de gauche reçurent la même sentence.
Il ne resta peu de chose de leurs corps, puis d’un seul coup, deux autres aliens débarquèrent dans la rue.
La jeune femme se tourna brusquement vers eux, sa cape virevolter dans les airs à cause de son geste brusque, tel un de ses super-héros préféré d’Alex.
Marlène tira ses deux salves d’une puissance plus faible que ses tirs précédents, tuant sur le coup les deux aliens.
Cette fois, elle le savait, ils étaient tous morts, mais la jeune femme était sûr que c’était qu’un début. D’autres arrivaient tôt ou tard…
LaDur rejoignit Marlène, il était stupéfait par ce spectacle incroyable.
– Ils sont tous morts ? Demanda-t-il avec espoir.
– Ceux là oui, mais ce n’est qu’un début, Alex a parler d’une armée et là, ils étaient qu’une dizaine à tout cassé, répondit Marlène d’un ton inquiet.
– Merde ! Une armée ? Comment va-t-on faire ?
La panique s’entendit dans le son de la voix du commissaire, c’était la première fois depuis qu’elle le connaissait, que Marlène le vit comme ça… Elle ne sût pas comment lui redonner courage, car elle même sentit le désespoir l’envahir de plus en plus.
Mais il ne fallait pas abandonner comme cela, il fallait se battre jusqu’au bout ! Et espérer que Alex les sauves tous.
Marlène regarda LaDur droit dans les yeux et répondit d’un ton déterminer :
– Prenez l’un de leur fusil, c’est le seul moyen que nous ayons pour les tuer !
– OK…
– On va se défendre comme on le pourra et espéré que Alex réussisse ! Il faut récupérer les autres fusils et les donner aux soldats et aux policiers encore vivants.
Après quelques minutes à rassembler les armes, LaDur et Marlène se reposaient, car la fatigue commença à se faire sentir…
– Vous voyez des flics ou des soldats quelques part ? Demanda LaDur.
– Non, j’espère qu’ils ne sont pas tous morts… S’inquiéta Marlène.
Qui regarda un peu partout pour vérifier si elle n’en vit pas l’un, mais sans résultat…
Soudainement, trois personnes arrivaient vers eux, deux femmes et un homme. Plus exactement, deux femmes soldats et un policier.
– Mon dieu, seul eux ont survécus? s’alarma Marlène.
Les personnes en uniforme arrivaient à leur rencontre, ils éraient épuisés, mais sans égratignures.
– Mais qu’est-ce que il s’est passé ici ? demanda le policier dont la voix était suraiguë.
Ladur prit la parole et expliqua tout, le policier et les soldats écoutaient tout le récit avec une expression crédule.
– Ils nous faut des renforts, si d’autres arrivent, dit l’une des femmes.
– Vous avez raison, acquiesça LaDur.
– Pour la civile, demanda l’autre soldat.
– Vous avez entendu ce que je vous ais raconter ? Elle a tuer tous ces créatures, il faut qu’elle reste ! Répondit LaDur d’un ton catégorique.
– Très bien, je vais tenter d’entrer en contact avec mes supérieurs pour les renforts, dit la première soldat.
Il était déjà plus de treize-heure maintenant, la faim, la soif, la fatigue commença à se faire sentir pour tout le monde…
Tout le monde se réfugia dans le centre commercial et se dirigeaient vers la cafétéria.
Là-bas, ils trouvèrent de quoi manger et ils se reposaient.
– Quel est le plan ? Demanda l’un des soldats.
La femme était en train de manger un steak, LaDur répondit :
– Il faudra tenir les lieux comme on pourra…
– Il faudra espéré que les renforts arrivent vite et nombreux, dit l’homme.
– Oui… répondit LaDur dont l’inquiétude s’entendit dans la voix.
– Il faudra installé des barricades improviser, dit la femme.
– Vous avez raison, répondit LaDur d’un songeur, si on finissait de manger ?
Le reste du repas se passa dans le calme, puis ils retournèrent à l’extérieur, chacun étaient armés de fusil laser, prêt au combat.
Bientôt, une nouvelle bataille commencerait, avec leurs armes, les soldats et les policiers, ainsi que Marlène et Ladur pourraient faire face.
Mais Marlène le savait bien, cela ne serait pas suffisamment contre une armée…
Quoi qu’il arrive, elle se battrai jusqu’à la mort, si il le fallait, car c’était la seule chose qu’elle pouvait faire.
EPISODE XIV
La reine Céléstia Oméga V
Il y avait bien longtemps que ses sujets avaient besoin d’elle… Chaque jour qui passé, les morts s’accumuler…
La reine avait charger ses savants pour une solution pour s’enfuir d’Oméga.
Ils travaillaient avec acharnement, mais malgré cela, sans rien trouvé.
Puis un jour, ils trouvèrent…
Ils décidèrent d’inventé une machine pouvant crée des portails dimensionnelles.
Et après plusieurs années de recherches et de travaille très éreintant, ils parvenaient enfin au but.
Il ne resté plus qu’à préparer le voyage, et un léger détail, les Terriens ne se laisseraient pas piquer leur planète comme cela.
Mais ils étaient rien face à la puissance des Omégaliens.
Des années plus tard, la reine était sur le point d’envahir ce nouveau monde…
Le palais trembla encore ce jour là, un bout de plafond s’écroula en plein milieu de la gigantesque salle du trône.
La reine sursauta sur son trône d’un métal noir, quand soudainement, la double-porte s’ouvrit.
Un Omégalien entra, il était vieux, on pouvait le voir à ses rides et à sa longue barde blanche.
Il était vêtus d’une longue robe marron, d’une cape noire à capuche.
Il marcha lentement, aider d’un long bâton, son dos voûté.
– Altesse, nous devons partir… Le palais risque de s’effondrer… Dit le vieil alien.
– Je sais… Répondit la reine d’un ton las.
C’était avec une immense tristesse, que la reine se leva de son trône et suivit son serviteur.
Ils marchaient pendant plusieurs minutes, traversant un long couloir aux murs fait du même métal noir que le trône de Céléstia. Puis au bout de celui-ci, ils s’arrêtaient devant une autre gigantesque double-porte.
Elle s’ouvrit automatiquement, les deux Omégaliens la franchir.
Ils étaient maintenant à l’extérieur du palais, la reine regarda le ciel et vit des éclairs violets éclataient.
Elle sentit le sol trembler, son serviteur l’attendit et lui demanda de continuer à le suivre.
Les deux Omégaliens marchaient encore plus minutes, traversant une grande coure.
Dont la végétation avaient presque disparue, ils croisèrent plusieurs sujets de la reine, qui s’inclinèrent à la voyant.
Puis enfin ils arrivaient en plein milieu d’une grand place, devant eux
se trouvait un immense vaisseau.
Il était rectangulaire, noir, il dépassé la taille de plusieurs immeubles.
Il était d’un design futuriste, des symboles étranges étaient sculptés par endroits.
Il avait deux gigantesque ailes et plusieurs réacteurs à l’arrière, l’avant quant à lui, disposer des plusieurs canons lasers.
Il tenait au sol grâce à quatre immenses trains d’atterrissage, ils ressemblaient à des pattes d’insectes géants.
– Il est prêt votre altesse, dit le serviteur de la reine.
– Très bien, répondit Céléstia dont la voix était toujours aussi triste.
Elle se tourna une dernière fois vers son palais, celui-ci était immense, du même métal noir que le trône.
Il y avait quatre grande tour, dont les rebords étaient faits de pics immenses, qui ondulaient. Le toit de celui était également pointu.
Puis Céléstia suivit son serviteur vers le vaisseau, le sas s’ouvrit à leur arrivé.
L’ouverture était immense, suffisamment grande pour faire rentrer une vingtaines d’Omégaliens en même temps.
Ils pénétrèrent à l’intérieur, celui-ci était encore plus incroyable que l’extérieur.
Il y avait des couloirs immenses, des soldats s’affairaient dans tous les sens.
Le serviteur reprit la route, suivit par la reine, ils marchaient au travers les couloirs pendant plusieurs longues minutes…
Puis enfin, ils arrivaient devant une autre double-porte, garder par des soldats.
Qui les laissaient passé, la porte s’ouvrit, laissant apparaître une nouvelle salle du trône, Avec la réplique du trône.
– Exactement comme votre ancienne salle du trône, majesté, dit le serviteur d’un air satisfait.
– Oui… Répondit toujours aussi tristement la reine Céléstia.
– Maintenant, ici sera votre nouvelle demeure.
Le vaisseau commença à prendre de l’attitude, puis il décolla complètement…
…
Les années se succédaient, le vaisseau resta tout son temps au dessus de la terre.
Évitant comme cela le climat hostile et autres catastrophes naturelles…
Le vaisseau avait récupérer le maximum l’Omégalien, les autres serait sauver une fois la Terre prise…
Puis un jour, une chose inattendue se passa… Une chose que même la reine ne pût anticiper.
La venue d’être venant de la Terre, pour contrarier ses plans…
Le plus incroyable, c’était que cet humain avait réussit à traverser le portail, survivre dans ce monde hostile et surtout à pénétrer dans le vaisseau.
Comment un tel être pouvait-il réussir un tel exploit ? Ce n’était pas possible !
Pourtant cet être se tenait devant elle, cela l’intriguer énormément.
Il fallait qu’elle sache comment cet humain avait fait…
La reine regarda l’humain devant elle, il fallait qu’elle l’interroge pour découvrir tout sur lui…
EPISODE XV
Les révélations
Alex le savait, c’était un jeune homme mort, tôt ou tard, la reine le ferrait exécuter…
Une fois mort, plus rien ne pourrait sauver la Terre, tous les habitants se ferait tuer… Marlène, LaDur, sa famille, ils se feraient tous massacrer… Alex sentit son cœur se serrer à cette pensée…
Mais pour le moment, celle-ci le regarda avec mépris et même haine.
Elle lui faisait peur, son cœur battait la chamade, de la sueur dégoulina de partout.
Ses pensés allaient toutes vers Marlène, il espéré très fortement qu’elle soit saine et sauve.
La reine Céléstia sembla songeuse d’un seul coup, elle sembla réfléchir, puis après plusieurs secondes de silence, elle prit la parole et demanda intriguée :
– J’ai pleins de questions qui me trottent dans ma tête, humain… Comment as-tu fait pour récupérer cette armure, pénétrer dans mon vaisseau ? Et appartement tu possèdes un pouvoir de télékinésie.
Alex la regarda incrédule, il ne s’attendait pas à ces questions, il était persuader qu’elle le ferait exécuter à la seconde où elle aurait ouvrir la bouche.
– Alors humain ! Réponds-moi, comment as-tu fais ? insista Céléstia en haussant le ton.
Alex ne sût quoi faire, mais si cette reine alien voulait connaître les détailles de son récit, pourquoi pas répondre ? Il se dit qu’il devait gagner un maximum de temps, pour tenter de trouver une solution pour s’échapper.
Alex prit une grande inspiration et dit avec la voix la plus calme qu’il pouvait malgré la situation :
– Pour… L’armure, je l’ai récupérer sur le cadavre de l’un de vos soldat…
Céléstia était surprise par la réponse d’Alex, cela lui sembla impossible qu’un simple humain puisse tuer l’un de ses sujets…
– TU MENS ! Comment un vulgaire humain pourrait tuer l’un d’entre nous ? S’exclama-t-elle hors d’elle.
– M… mon pouvoir s’est déclencher… répondit Alex dont la voix trembla.
– Ta télékinésie ? Comment un humain est-il capable d’avoir ce genre de pouvoir ?
Il eut un petit moment de silence, puis Céléstia pointa l’un de ses long doigt fin sur Alex. Elle possédait des très longs ongles noirs, ressemblant presque à des griffes.
– Comment cela se fait que tu as obtenu ses pouvoirs ? demanda-t-elle toujours aussi curieuse.
Alex ne répondit pas tout de suite, car lui-même n’en savait rien, du moins, il n’avait qu’une idée à cette question… Cela devait avoir un lien avec le portail et son accident…
Il reprit une bonne inspiration et dit enfin :
– Je… ne sais pas trop… Ça doit… Avoir un rapport avec le portail, il… Mais il fut interrompu par son interlocutrice qui s ‘exclama :
– Le portail t’as dû t’envoyer un rayon d’énergie ! C’est bien cela ?
Alex fit oui de la tête, la reine était bouche-bée, elle resta silencieuse pendant plusieurs secondes, puis dit enfin :
– Je vais t’expliquer quelque chose sur notre monde, humain… La dimension du chaos ne porte ce nom par hasard. Il y a bien longtemps, nous les Omégaliens, vivaient heureux dans une planète luxuriante.
Alex écouta attentivement les explications de la reine, ce qui lui donnait le temps de trouver le moyen de s’échapper…
Il la fixa dans les yeux, tout en réfléchissant, mais pour le moment, il ne trouva aucune idée…
La reine reprit la parole :
– Mais quand l’un d’entre nous, meure, son corps se décharge de toute l’énergie électrique contenue à l’intérieur de celui-ci.
– Quoi ? Interrompit Alex incrédule, il ne s’attendait pas à cette explication surréaliste de la reine.
– Et oui humain. Nous les Omégaliens, nous sommes pas si différent de vous, du moins biologiquement, répondit Céléstia d’un ton dédaigneux. Elle reprit :
– Tu dois savoir qu’un corps humain est une machine bio-électrique, du courant électrique traverse votre corps. Mais pour nous c’est différent, nos corps peut générer en moyenne dix fois plus de courant électrique. Donc, je vais en revenir à mon explication concernant le fonctionnement de notre planète.
Quand l’un d’entre nous, meure, la planète aspire toute son énergie, c’est comme cela qu’elle marche.
– Qu’elle marche ? Votre planète aspire l’énergie contenue dans le corps de l’un d’entre vous pour s’alimenter ? Demanda Alex toujours aussi incrédule fur à mesure des explications de la reine.
– C’est exactement cela, bon, laisse moi finir, je reprends… Donc, notre planète aspire l’énergie d’un Omégalien à sa mort. Mais vue la puissance contenue à l’intérieur de son corps, cela prend des centaines d’années pour que celui-ci soit complètement décharger de son énergie.
Jusqu’ici ça allait, mais au fur à mesure des années, nous nous sommes multiplier à une vitesse incroyable. Du coup, la planète a aspirer de plus en plus d’énergie, tellement, que son noyau est devenue instable.
Ce qui déclencha des catastrophes climatiques…
Il eut un nouveau moment de silence, Alex en profita pour chercher un moyen de s’échapper, sans rien trouver… Le problème était ses épaisses menottes.
– Les morts ce sont enchaîner, mais à chaque nouveau mort, la planète aspiré encore plus d’énergie, devenant encore plus instable… Maintenant, ce monde est sur le point de s’éteindre !
Alex commença à comprendre là où venait en venir la reine.
– Il fallait donc trouver une solution, alors j’ai eu l’idée de la constriction des générateurs de portail. Puis après l’observation de plusieurs planètes, une seule pouvait nous convenir, reprit la reine. La Terre est parfaite pour nous, je vous ais observé pendant des centaines d’années. Vous êtes si primitif, vous ne méritez pas cette planète, alors nous allons vous la prendre.
– Ça explique tout ! s’exclama Alex, dont la colère commença à monter en lui…
– Et oui, mais attends, je n’ai pas terminer mon histoire, je pense avoir compris comment tu as obtenu tes pouvoirs, répondit Céléstia.
– Ah oui, expliquez-moi ça, altesse ? demanda Alex sur le ton de
l’ironie.
– Merci mon petit être humain, alors d’abord je vais t’expliquer comment marche les générateurs, cela te permettra de tout comprendre :
C’est assez simple, chaque générateur aspire l’énergie de nos cadavres qui sont enterrer.
En fait, les générateurs sont doter de sondes, elles mêmes doter d’aiguilles qui piquent les corps et aspirent leurs énergies. C’est cette énergie qui crée le portail.
Quand tu as reçu de plein fouet cette décharge d’énergie, cela a dû te surcharger en courant électrique.
Quand la reine vit l’expression d’incompréhension du visage d’Alex, elle dit :
– Tu vois, comme je te l’ais dit, un corps humain produit du courant électrique. Mais vous les humains, vous en produisaient rien en
comparaison de nous !
Le cerveau d’un être humain produit le courant électrique de votre corps.Vos neurones plus exactement et c’est cela qui vous permet d’utiliser vos capacités cérébrales. Comme nous, sauf que nous, nos capacités cérébrales sont dix plus grandes que les vôtres. Ce qui explique que nos corps génèrent environ dix fois plus de courant électrique.
Mais la décharge que tu as reçu a surchargé ton corps et ton cerveau en courant électrique. Ce qui a démultiplier tes capacités cérébrales !
Voilà qui explique ta télékinésie ! Cela aurait tuer n’importe quelqu’un être humain, mais pas toi !
Alex était totalement abasourdit par ces révélations, maintenant tout devint clair, ou presque…
La reine sembla à la fois surprise et également incrédule par le fait que Alex soit encore vivant malgré la puissance énergique qu’il s’était pris.
Céléstia leva un doigt, les deux gardes se tenant de chaque côtés d’Alex, prirent les sortes de cuter se trouvant collé à leur bassin et appuya sur l’unique bouton. Quelque chose d’incroyable se passa, une chose que Alex ne s’imagina pas possible malgré leur technologie… Une sorte de lame sortit de leur cuter, ressemblant à un mélange de laser et de flammes. De couleur mélangeant l’orange et le rouge. Cela ressembler aux sabres lasers de Star Wars.
Les gardes plaçaient leurs lames au niveau du coup d’Alex, les croisant comme un ciseau.
Alex sentit la chaleur des lames, il transpira comme vache qui pisse, mais sa sueur n’était pas seulement dû à la chaleur…
– Il y a une chose qui m’intrigue, comme tu as fait pour être ici ? Demanda Céléstia.
Alex reprit sa respiration, tentant de garder son calme, il répondit :
– J’ai été téléporter avec l’un de vos soldat.
– Hummm, intéressent, quelle incroyable coïncidence, mais maintenant, tu vas mourir…
On y été, la fin d’Alex, il fallait qu’il trouve une solution, il devait gagner encore un peu de temps…
Il réfléchissait à toute vitesse, la seule chose qu’il lui venait était de faire parler encore la reine.
– J… J’aimerai… Savoir pourquoi vous avez choisit la terre, permis toutes les autres dans l’univers ? Demanda-t-il dans l’empressement.
– Je te l’ais dit, il y a longtemps que je vous observe et votre planète est la seule qui nous conviennes.
– Je vois, vous pensez vraiment que la Terre va vous laissez prendre sa planète ? Demanda Alex sur le ton du défi, il releva lentement la tête, il voulait lui faire face.
– Vous n’êtes rien, on vous écrasera en quelques heures… Répondit la reine d’un ton supérieur. D’ailleurs, mon armée est déjà débarquer à l’heure qui l’est !
Alex sentit une rage monter elle, maintenant, il comprit enfin ce qu’il devait faire… Sa colère l’aiderai à utiliser sa télékinésie…
Il pensa à Marlène se faisant massacrer par les Omégaliens, il fallait qu’il la sauve…
– Vous sous-estimé les terriens, on sait se défendre ! Hurla-t-il, il fallait qu’il provoque la reine, afin de la poussé à sortir de ses gongs. Comme cela, elle oublierait ses ordres et resterai concentrer sur lui…
– La terre est à nous depuis des millénaires et elle le restera ! Hurla-t-il.
– Vous vous croyez tellement plus légitime à vivre sur la Terre ? Alors que vous l’avez presque détruite ! S’emporta la reine.
Le plan d’Alex commença à porter ces fruits, il fallait qu’il continu dans son élan.
– Peut-être, mais on vous la laissera jamais à des créatures de votre espèces ! Hurla-t-il, cette fois sa rage était à son paroxysme.
Son visage en était déformé, ses veines avaient doublé de volume, son cœur cogna dans sa poitrine. Il sentit son pouvoir couler dans ses veines, circuler partout à l’intérieur de lui…
– SALE PETIT INSTECTE!! TU N’EST RIEN !! Hurla de rage la reine. Son cri résonna dans toute la pièce, faisant même sursauté ses gardes.
– Je vais prendre un plaisir immense à massacrer chaque personne de ta planète, je vais massacré tous tes amis, tes parents !! Hurla de nouveau Céléstia.
En hurlant, la reine laissa apparaître des dents pointus, tel ceux d’un animal.
Alex de son côté, laissa sa rage exploser, il sentit une puissante énergie circulant dans tout son être… Dans un cri assourdissant, Alex relâcha toute cette énergie, une puissante onde psychique fut projeter par tout son corps.
Les deux gardes furent propulser sur plusieurs mètres, glissant sur le sol.
Puis avant même qu’ils puissent se relever, Alex se concentra sur leur épées laser qui s’étaient échapper de leurs mains.
Il en fit venir une vers lui, celle-ci flotta dans les airs, il activa la lame, puis la fit fusé dans sa direction.
Elle tournoya dans les airs, puis elle vint couper ses menottes. Puis le jeune homme la ramassa, car celle-ci était tomber à ses pieds.
La reine insista à ce spectacle avec stupeur, mêler d’une certaine admiration.
Les gardes de la reine se relevèrent doucement, encore sonné, celui désarmé ne pût faire quoi ce soit, Alex se releva, se précipita sur lui l’épée en avant. D’un seul coup de lame, il le transperça de part en part, l’Omégalien s’écroula au sol, mort.
Le deuxième sortit le fusil qu’il avait posé derrière son dos pour prendre son épée.
Il tira à plusieurs reprise sur Alex qui eut à peine le temps d’opposé son épée par réflexe. Le projectile laser vint s’écraser contre la lame.
Alex n’eut pas le temps de réfléchir à ce que cela signifier, il devait contrer d’autres tirs…
Il en contra deux autres, puis fonça sur le garde, celui-ci n’eut pas le temps de réagir.
Alex fendit les airs avec son épée, coupant en deux le fusil du garde, puis trancha le ventre de celui-ci.
Il s’effondra sur le sol, mort, l’alien avait une profonde entaille chauffée à blanc en plein milieu de son plastron.
Alex se tourna vers la reine, son regard était remplis de haine, Céléstia avait exactement le même…
Elle se leva de son trône, prit le cylindre collé à son bassin, puis elle le pointa devant elle. D’un léger geste, la reine appuya sur l’unique bouton se trouvant dessus.
Le cylindre s’allongea, une grande lame fit son apparaissions, devant électrifiée, à l’instar de la masse de l’autre créature que Alex avait combattu. À l’autre extrémité, se trouvé une pic.
En y regardant de plus prêt, ce cylindre ressemblait à une lance, Alex commença à faire des pas sur le côté.
La reine fit la même chose, les deux firent des cercles autour de la pièce, s’apprêtant à se sauter dessus, comme des animaux.
Bientôt, le combat allait commencer, un combat qui déciderait du destin de l’humanité…
EPISODE XVI
Confrontation
De ses yeux bleus, Alex fixa son ennemie droit dans les siens, la reine fit de même avec ses yeux uniformément noirs. Ils se renvoyaient des regards plein de haine.
Ils continuaient de faire des cercles autour de la salle du trône, gardant la même distance entre eux.
La reine pointa sa lance vers Alex, qui se mit en garde, Céléstia fit tournoyer sa lance au dessus elle. Alex était perturbé par ce qu’il voyait.
Puis soudainement, la reine fit d’étranges pas, comme des pas de danse. Elle tourna sur elle-même, tout en faisant tournoyer sa lance autour d’elle, puis fit quelques pas de gazelle en direction d’Alex, surpris.
La cape de la reine virevolta dans les sens, on aurait dit un spectacle, certes un spectacle dangereux, mais élégant.
C’est alors, qu’elle attaqua, son coup de lance était rapide, fusant vers Alex, qui ne pût qu’opposé son épée par réflexe, car il était surpris par la vitesse de la reine.
Il eut un bruit métallique résonnant dans la pièce. Des étincelle se produisaient au contact des deux lames, ainsi que des arcs électriques.
C’était le début du combat, qui serait des plus sanglant…
Les coups de la reine était rapide, très rapide, chacun d’entre étaient également précis. À tel point, que Alex avait du mal à tous les contrer…
Céléstia tenta à plusieurs reprise d’embrocher Alex avec sa lance, de temps en temps, elle fit d’autres pas de danse en faisant tournoyer sa lance à très grande vitesse, afin de déstabiliser le jeune homme.
Alex avait de plus en plus du mal à contrer ou a esquiver les coups.
Un coup de lance particulièrement vicieux faillit le décapiter, il baissa in-extrémise la tête.
Le jeune homme fit quelques pas en arrière, restant sur ses gardes, la sueur coula à flot sur tout son corps.
Alex ne savait pas comment toucher son ennemie, il fallait qu’il trouve une faille dans la garde de Céléstia. L’ennuie, c’était qu’elle n’en avait aucune…
Céléstia tenta une nouvelle attaque, que Alex évita encore à la dernier seconde. Le jeune homme commençait à fatiguer, ce qui ne sembla pas être le cas de la reine.
Si les choses continuer comme cela, Alex se ferait tuer…
Céléstia le savait, elle domina son adversaire, elle prit un énorme plaisir à ce combat, d’autant qu’il y avait longtemps qu’elle n’avait pas combattue…
Alex dû éviter plusieurs coups rapides de la reine, qui s’esclaffa bruyamment.
Il s’abaissa in-extrémise pour éviter un nouveau coup de lance, cette fois celui-ci venait de l’autre extrémité. Le jeune homme perdit une mèche de cheveux.
Alex décida de faire d’autre pas sur le côté, pour tenter de se retrouver sur le flanc de Céléstia. Mais sans succès, car celle-ci fit une pirouette pour se retrouver face à lui de nouveau.
Céléstia fit de nouveau tournoya de nouveau sa lance, la passant d’une main à l’autre, puis fit de nouveaux pas de danse en direction d’Alex.
Celui-ci recula, il s’éloigna le plus qu’il pouvait d’elle, il recula, recula, recula et recula encore… Le jeune homme se trouva dos à la double-porte…
Celle-ci s’ouvrit brusquement, les deux gardes se trouvant derrière furent surpris.
– ROMPEZ ! Hurla la reine, IL EST À MOI !!
Les gardes t’excusèrent et quittèrent le couloir, pendant ce temps là, Alex recula encore, il pénétra dans le couloir…
La reine s’approcha lentement de sa proie, cette fois, elle s’était piéger toute seule… Un petit coup d’estoc et c’était fini…
Sans attendre plus longtemps, c’est ce qu’elle tenta, mais Alex parvenait à la contrer in-extrémise.
Il fit glisser sa lance contre la parois du vaisseau avec le plat de la lame, la pointe de sa lance gratta un peu du mur.
Alex recula encore de quelques centimètres, Céléstia s’approcha de lui, toujours aussi lentement…
Alex devait tenter quelque chose, il ne devait pas laisser la reine s’approcher trop de lui. Alors il décida d’attaquer le premier, il leva son épée au dessus la tête et fonça sur elle…
Le fou, il fonça sur elle, la reine savait qui lui rester plus qu’à l’embrocher…
C’est ce qu’elle fit, mais au dernier moment, Alex dévia son épée sur le côté. Mais la reine parvint tout de même à opposer le manche de sa lance.
Des nouveaux étincelles jaillir de la lame d’Alex, puis subitement, la reine fit dévier l’épée sur le côté avec sa lance. Faisant tourner ses bras, cela déstabilisa le jeune homme.
La reine dévia la lame d’Alex de plus en plus sur le côté, celui-ci avait plus en plus du mal à résister…
Puis soudainement, Alex fut désarmer, son épée glissa sur le sol, la lame rentra à l’intérieur du manche.
Alex était mort cette fois et très rapidement il sentit quelque se planter dans son plastron.
Il baissa les yeux et avec horreur le pic de la lance de la reine, perçant son plastron, le fissurant…
Mais le jeune homme ne sembla pas blesser, la reine se trouva au bout de la lance. Elle était tourner à lui, car son mouvement pour le transpercé lui obliger à se retourner.
La reine tourna la tête le sourire aux lèvres, Alex était sous le choc de l’estoque.
– Je vais t’apprendre quelque sur moi, petit humain… Dit la reine d’un ton narquois.
La reine tendit l’autre main, Alex était surpris ce qu’il vit, ne comprit rien à ce qu’elle faisait…
Puis soudainement, Alex fut projeter, il fut décrocher du pic et il traversa la couloir à toute vitesse.
Le jeune homme atterrissait contre le panneau d’une porte, l’écrasant sous le choc.
Sa tête cogna également violemment la parois, son corps glissa contre, il fut sonner…
Alex sentit quelque de chaud couler derrière sa tête, sa vision se troubla.
Alex entendit de pas s’approcha lentement, il savait que c’était Céléstia… Elle venait pour l’achever…
– Tu sais mon petit humain, tu n’es pas le seul à avoir des pouvoirs de télékinésie, affirma la reine. Tu sais, je ne suis pas reine pour rien… Seul un individu sur mille possède de ce genre de capacité extraordinaire. Et c’est mon cas !
C’était à peine si Alex l’entendit, il se sentit partir… La reine était maintenant à moins d’un mètre de lui…
Il fallait qu’il bouge, il le savait, mais c’était sans succès…
Puis soudainement, Alex parvint à bouger, il se laissa tomber sur le sol et rampa… Alors que Céléstia était presque devant lui…
Alex rampa tentant d’atteindre la porte, celle-ci s’ouvrit, le panneau étant cassé.
Il pénétra dans la pièce, mais à peine rentrer, Alex ne bougea plus, il était au bord de l’évanouissement…
La reine entra à son tour dans la pièce, elle vit le corps étendu d’Alex…
Elle ne voulait pas l’achever trop vite, elle voulait s’amuser encore un peu avec avant d’en finir…
D’un geste nonchalant, Céléstia fit décollé le jeune homme du sol, puis baissa le doigt, celui-ci s’écrasa violemment contre le sol. Il eut un craquement horrible au contact contre celui-ci. Le nez d’Alex fut briser.
Son sang se rependit sur le sol, mais il était trop faible pour crier, malgré la douleur insoutenable.
Puis de nouveau, la reine fit un geste du doigt et Alex se souleva du sol. Puis elle fit tourner son doigt et le corps d’Alex se tourna vers elle.
– Tu es un bon jouet, petit humain ! S’exclama Céléstia.
Elle écarta la main et les bras et les jambes d’Alex s’écartaient, il commença à sentir une immense douleur provenant de ses muscles et tendons.
– Tu vas bientôt mourir ! Enchaîna la reine au bord de l’extase.
Alex hurla à la mort, cette torture était insupportable, pourquoi cette créature démoniaque ne l’achever pas ?
– Hummm, que c’est bon à mes oreilles ! Vas-y continu de cirer ! S’exclama la reine d’un presque pervers dans sa voix.
Elle continua d’écarter les bras d’Alex, jusqu’à entendre des craquement dû aux muscles et tendons commençant à s’arracher.
– Bon… Si on en finissez ? Demanda-t-elle, toujours aussi joyeuse.
Cette fois c’était fini, Alex était sur le point de mourir, il le savait… Ses pensés se dirigeaient vers Marlène…
Alex entendit quelque chose tomber par-terre, faisant un bruit métallique. Il ne savait pas quoi cela pouvait être, mais cela n’avait pas beaucoup d’importance.
La vision d’Alex devint plus en plus floue, des points noirs apparaissaient, il n’avait jamais ressentit une telle douleur…
La reine regarda Alex avec un énorme plaisir dans ses yeux, comme un lion sur le point de dévorer sa proie.
La seconde qui suivit, Alex sentit une intense douleur dans chacun de ses membres.
Il hurla, son cri résonnant dans la pièce beaucoup plus petite que la salle du trône.
La douleur était à son paroxysme, Alex ne souhaiter qu’une seul chose… La mort… Puis c’est à ce moment précis, qu’une chose incroyable se passa…
Alex sentit comme si son sa conscience quitta son corps, il ne ressentit plus aucune douleur… D’ailleurs il ne ressentit plus rien du tout…
Sa conscience voyagea à la vitesse de la lumière, traversant l’univers… Puis arriva à l’intérieur d’une planète, que Alex reconnue… La Terre…
Puis continua à voyager de ville en ville, jusqu à une petite ville du nord de la France…
Il vit… Marlène… Elle était en plein milieu d’une bataille. Il pénétra alors dans sa tête. Alex sentit alors une connexion s’établir entre eux…
– Mais qu’es-ce qui se passe ?! Demanda la voix de Marlène dans la tête d’Alex. Dont la conscience était revenue à l’intérieur de son esprit.
– Je ne sais pas… On dirait une connexion télépathique… Répondit mentalement Alex dans le ton de l’incompréhension.
– Mais comment c’est possible ? Demanda la jeune femme abasourdit.
– Pas le temps ! Là je suis un peu occupé… Je ne sais pas comment me sortir d’une mauvaise situation…
– De quelle situation ? S’inquiéta Marlène.
– Pas le temps de t’expliquer ! Je dois trouver le moyen de m’en sortir…
– D’accord, tu veux que je t’aide comment ?
– Je ne sais pas !
Soudainement, Alex fut ramener à la situation présente, la reine lui parla :
– Tu as fait une drôle de tête, j’ai cru tu étais mort. Heureusement, tu es encore là, ça serait trop tôt…
– Je… Ne… Mourrai pas tout de suite… Répondit Alex d’une faible voix.
Alex sentit un regain d’énergie, il ne savait d’où elle venait, mais peu importait… Il comptait pas mourir sans se battre !
C’est alors que Alex vit quelque chose qui brilla, il baissa les yeux, c’était la seule chose qu’il pouvait faire, car il était paralysé par le pouvoir de Céléstia.
C’était une pièce, sa pièce… Qui avait dû tomber de son armure, celle-ci devait être bien endommagé après la violence des coups qu’elle avait subie.
Alex regarda derrière la reine et des commandes sur un cockpit. Il comprit alors où il se trouvait…
Derrière Céléstia se trouva également une verrière, on pouvait distingué des nuages sombres au travers…
Alex remarqua parmi les commandes, des leviers, l’un d’eux s’appelant : « Boucliers ».
Il eut alors un flash lumineux, il savait ce qu’il lui rester à faire…
Alex ferma les yeux et se concentra sur sa pièce, qui parvenait à faire léviter de quelques centimètres du sol…
Puis très lentement, il la fit venir lui, puis la faire s’élever derrière son dos.
Il lui resta une dernière chose à faire… Cela n’allait pas être facile…
– On dirait que tu prépares quelque chose ? Demanda la reine intrigué par ce qu’il faisait.
– Vous… pensez que je peux faire quelque chose comme cela ? Demanda-t-il avec une certaine ironie dans la voix.
– Tu me prend pour une idiote ?!! S’exclama Céléstia qui perdit patience.
La reine propulsa Alex au travers la pièce, celui-ci se cogna contre la parois à l’autre bout. La pièce retomba au même moment.
Puis Alex fut ramener vers la reine, sonné…
Il se concentra de nouveau sur la pièce, celle-ci flotta de nouveau derrière lui.
Alex devait gagner du temps, il se concentra en espérant rentrer de nouveau avec Marlène…
Il ne se passa rien pour le moment, puis soudainement, il entendit la voix de Marlène dans sa tête…
– C’est toi chéri ? Comment tu vas ? Demanda-t-elle inquiète.
– Bien ! Écoute, j’ai besoin de toi ! Répondit Alex dans l’empressement.
– Tu as besoin de quoi ?
– Je sais que tu dois être occupé, mais j’ai besoin que parvienne jusqu’au portail !
– Quoi ?
– Écoute et m’interromps pas, on a pas beaucoup de temps !!
– OK…
– Il faut que tu tirs quelque de puissant au travers le portail !
Alex eut à peine le temps de terminer sa phrase que sa connexion avec Marlène se stoppa…
– Bon, je vais en finir avec toi ! S’exclama la reine.
Alex sentit un pression sur tout son corps, la reine s’approcha de lui, sa lance brandit…
– Vous… êtes pas… Très courageuse ! Hurla-t-il.
C’était la seule chose qui lui venue, la reine s’immobilisa. Elle le fixa avec une rage immense.
– Que veut-tu dire ? Demanda-t-elle.
– Me… tuer comme ça, sans que je puisse faire quoi de ce soit… répondit Alex.
– Tu voudrais que je te libère ? Tu rêve ! Tu as ta chance, tu ne fait pas le poids face à moi !
– Vous avez raison… Vous êtes bien plus fort que moi… Mais ce n’est pas tout la force…
– Ah oui ? Et que y a-t-il d’autre ? Demanda la reine avec curiosité.
– Une… chose qui s’appelle l’humanité…
Alex s’était concentrer sur sa pièce tout le long qu’il parlait à la reine, il la fit tourner sur la tranche à toute vitesse…
Il ne resta qu’une seule chose à faire… Et espéré que Marlène réussisse…
…
Il était déjà plus de quinze heure quand une nouvelle bataille commença dans la petite ville de Soissons.
Les Omégaliens avaient débarquer par centaine, malgré les renforts de l’armée, la situation devenait désespéré…
La technologie des aliens dépasser largement celui des humains et le nombre des extraterrestres étaient bien supérieur.
Malgré tout, il y avait un petit espoir de victoire et ce petit espoir était incarné par une jeune femme… Son nom était Marlène.
La jeune femme était doté d’une armure très puissante, qui lui permettait de tuer bien d’entre eux…
Marlène venait d’entrer en contact télépathique avec Alex, mais si celle-ci ne savait comment cela était possible, cela lui avait redonné le courage de se battre ! Car maintenant, elle le savait vivant et de plus, celui-ci avait un plan…
Et lui avait donner une mission très importante, Marlène était déterminer à y arriver.
Mais il y avait un hic, une centaine d’Omégaliens se trouver entre le portail et elle…
La jeune femme se caché derrière un immeuble, elle subissait des rafale de tirs.
À côté d’elle se trouvé LaDur, son visage était fermé, il transpira abondement.
Marlène se tourna vers lui et dit d’un ton stresser :
– LaDur je vais avoir besoin de vous !
– Comment ça ? Demanda-t-il intrigué.
– Il faut que vous fassiez une diversion, j’ai besoin de passer ! Répondit la jeune femme.
– Comment ça passé ?
– Pour aller jusqu’au portail, ne cherchez pas à comprendre !
LaDur acquiesça sans rien dire, puis il fonça fusil laser en main, sortant de sa cachette.
Il hurla de rage, tirant en rafale, Marlène de son côté, savait ce qu’elle lui rester à faire…
Elle chargea son canon, une boule d’énergie apparue alors à l’intérieur de celui-ci.
LaDur parvint à abattre plusieurs Omégaliens, puis il se réfugia dans une pharmacie. Une vingtaines extraterrestres le poursuivit, Marlène chargea encore son arme…
Puis enfin, elle sortit de sa cachette et tira, la boule fusa sur une dizaine d’aliens.
L’explosion fut d’une puissance gigantesque, ils furent tous tuer sur le coup.
Marlène tira à plusieurs reprise sur une dizaine d’autres Omégaliens, les tuant tous.
Puis la jeune femme courut à toute vitesse vers ce qui rester du Geek Island.
D’autres créatures se mirent sur la route de Marlène, ils tiraient tous en même temps.
Pour éviter les projectiles, Marlène fit une roulade, puis tira à son tour. Elle abattit deux Omégaliens d’un seul coup, puis deux autres dans la foulée.
Enfin, les obstacle étaient tous morts, il ne resté plus qu’à Marlène à traverser la rue et de pénétrer dans le Geek Island.
La jeune femme se mit à accéléré le pas, au bout de quelques secondes, elle arriva devant ce qui était auparavant l’entrée du magasin.
Marlène, prudente, entra, le magasin qu’elle connaissait, n’exista plus… Il y avait des gravas partout, les rayons étaient tous au sol, en morceaux.
C’était la même chose pour les bornes d’arcades, de la poussière flotta dans tout le magasin.
Marlène marcha toujours aussi prudemment, ses pieds écrasa des gravas, celui-ci craqua légèrement. Elle progressa, arrivant vers l’arrière boutique.
C’est à ce moment qu’elle se souvenait du premier jour d’Alex… Le jeune homme avait postuler à un poste de vendeur, uniquement pour faire sa connaissance. C’était étrange de pensé qu’il y a encore trois mois, les choses étaient des plus normales. On pouvait même dire, génial. Et à cet instant, c’était la guerre…
Marlène revint à l’instant présent, elle avait sa mission à accomplir.
La jeune femme progressa vers le fond de la pièce, là se trouvé l’entrée de la cave.
Marlène vit avec stupeur, que la porte qui dissimuler l’entrée, était parti en fumée.
Il y avait des traces de brûles tout autour du dormant, il s’agissait de l’œuvre des Omégaliens, cela ne faisait aucun doute.
Marlène descendit les escaliers menant à la cave, grâce à son armure, elle était protéger par le froid.
Au bout de quelques secondes de descente, Marlène était en bas, devant le portail… Qui faisait presque la taille de la pièce, à ce moment là…
Marlène savait ce qu’elle allait faire, il garda ses distances avec le portail et dirigea son bras-canon vers lui.
Elle chargea l’arme, une boule commença à apparaître à l’intérieur du canon, comme à chaque fois…
La boule grossie, grossie, encore et encore, jusqu’à devenir énorme. Aussi grosse que Marlène…
…
Alex était toujours suspendu au dessus du sol, la reine allait bientôt en finir avec lui…
La pièce tourna de plus en plus vite, il fallait qu’il l’envoie… Mais vite, la reine s’approchait dangereusement de lui, lance en main.
– Vous… Ne serez jamais… Ce que c’est… D’être… HUMAIN ! Hurla-t-il.
Marlène s’immobilisa, l’air décontenancé, c’est à ce moment, que la pièce fusa sur elle…
La reine évita facilement la pièce en penchant légèrement la tête, la pièce continua sa route vers le cockpit du vaisseau.
Il eut grand BAM ! Qui résonna dans la pièce, des arcs électrique jaillissaient là où s’était planter la pièce.
Pile en dessous du levier des boucliers protégeant le vaisseau.
La reine se retourna horrifié par ce qu’elle vit, dans sa décontraction, elle lâcha l’emprise qu’elle avait sur Alex. Celui-ci tomba violemment au sol.
Céléstia se retourna rageuse, regardant avec encore plus de haine le jeune homme.
– C’était sa ton plan ? C’est complètement inutile ! Hurla-t-elle.
Alex se releva doucement, avec difficulté, tremblant de douleur.
Mais quand il leva la tête pour faire face à la reine, il lui sourit… D’un sourire victorieux…
La reine devint encore plus enragé, elle se précipita vers lui, sa lance tendu, lame en avant.
Mais c’est à ce moment, qu’une puissante lumière violette traversa la verrière.
Elle éblouissait Alex, la reine se retourna, se figeant sur place…
C’est alors qu’une gigantesque explosion se produisit, la déflagration souffla la verrière, ainsi que le cockpit.
Alex eut à peine le temps de sauter au sol, les flammes dévoraient tout sur son passage…
Le vaisseau commençait à pencher dangereusement, Alex sentit qu’il glissa.
Une alarme retentit dans la pièce, Alex glissa de plus en plus, au fur et à mesure que le vaisseau pencha.
Puis soudainement, le vaisseau pencha à la verticale, Alex fut alors aspirer par le trou béant, là où se trouver la verrière…
Il commença sa chut dans le vide, tombant à une vitesse affolante, tout son corps fut frapper le vent.
Il crut que son cœur allait lâcher, il hurla à s’en faire exploser les cordes vocales.
Tandis que le vaisseau tomba en piqué vers le sol, en dessous se trouver les générateurs de portail.
Oui, les boucliers des générateurs étaient de nouveau actif, mais il résisterai difficilement à un vaisseau de la taille de dix immeubles de vingt étages.
Quand le vaisseau s’écrasa, l’explosion était si puissante, qu’elle balaya tout sur son passage. La déflagration atteignit les nuages, Alex, de son point de vue, il y avait une gigantesque boule de feu qui lui arrivait dessus…
Par réflexe, il mit ses bras devant son visage, mais in-extrémise, il fut envelopper par une bulle invisible et quand les flammes l’atteignirent, Alex était sain et sauf… Il sentit tout de même la chaleur des flammes…
Il resté tout de même un détail, l’atterrissage, cela lui serait quelque peu préjudiciable…
Comment éviter cela ? Alex n’avait pas beaucoup de temps pour trouver une solution…
Le sol s’approcha à grande vitesse, Alex était fichu, il le savait… Dans un dernier geste de désespoir, il mit ses mains pour amortir le choc de l’atterrissage.
Alors c’est à cet instant précis, qu’une nouvelle chose se produisit, la bulle l’entourant se renforça…
Mais cela n’empêcha pas la gravité de faire son travail, le choc de l’atterrissage fut d’une violence immense…
La terre se souleva jusqu’au ciel, retombant comme de la pluie… Ainsi que des bouts de métaux…
…
Il ne resta plus grand chose du vaisseau, qu’une simple épave fumante, des tas de métal, entasser les uns sur les autres…
Le tout reposant dans un gigantesque cratère fumant, soudainement, une main sortit de la décharge, la main ganté par une pièce d’armure rouge…
Il s’agissait d’Alex, vivant, grâce à sa bulle mental de protection… Un véritable miracle…
Alex tenta se sortir des décombres du vaisseau, avec difficulté, il attrapa un énorme bout de métal et l’envoya loin de lui. Puis, il fit de même avec un deuxième, puis un troisième, puis un quatrième et enfin un cinquième.
Puis enfin, Alex fut totalement libérer des décombres du vaisseau, il regarda avec surprise son corps, il n’avait pas d’autres blessures… Un vrai miracle songea t-il.
Il se tourna et vit l’horizon, le portail était certes encore là, mais avait déjà diminué de moitié.
Alex savait qu’il ne serait bientôt plus là, il fallait qu’il se dépêche, avant que celui-ci disparaisse totalement.
Au moment où il commença à se diriger vers le bord du canyon, il entendit des bruits de pas…
Il se retourna et vit avec stupeur la reine, vivante…
Elle était blesser, mais bien vivante, comment cela était-ce possible, Alex n’en avait aucune idée… Peut-être sa télékinésie ?
Les blessures de la reine étaient nombreuses, elle saigna abondement du visage, la moitié de celui-ci était brûler. Ses cheveux étaient dans tous les sens. Sa couronne n’était plus sur sa tête, il lui manqua une épaulière, d’ailleurs, ce qui lui resté de son armure était fissuré de partout. Là où son épaule était nue, elle avait une profonde entaille.
La précieuse cape de la reine était également à moitié carboniser, celle-ci regarda Alex avec toute la haine qu’elle pouvait.
Le jeune homme remarqua, qu’elle n’avait plus sa lance, Céléstia se dirigea vers lui en boitant…
Alex vit quelque chose briller sur le sol, en y regardant de plus près, il remarqua la lance juste aux pieds de la reine, qui sembla trop blesser pour l’avoir remarquer…
Alex saisit sa chance, il se concentra, dirigeant sa main devant lui, Céléstia fut surprise par ce geste et s’immobilisa.
Le jeune homme était au bout du rouleau, la bulle qu’il avait faite apparaître était malgré lui, pour sa survie était presque tout ce qui resté de ses pouvoirs… Mais là, il devait se concentrer, faire appel aux dernière force qu’il lui rester…
La reine le regarda avec curiosité, puis subitement, elle comprit… Elle regarda autour d’elle et vit sa lance à ses pieds… Celle-ci commencer à trembler…
Céléstia tenta de la ramasser, mais trop tard, celle-ci glissa au sol, alors la reine se mit à courir malgré la douleur.
D’un geste de la main, Alex saisit la lance et la tendit devant lui… La reine Céléstia vint s’embrocher dessus.
Puis Alex sortit la lance du corps de la reine, celle-ci vacilla, son regard devint vitreux, enfin la reine s’écroula sur la sol…
Alex s’approcha du corps de la reine, il la regarda, c’était la fin d’une centaine d’années de règne.
Alex devait se dépêcher, le portail avait encore bien diminuer de taille…
C’est alors que quelque chose traversa l’esprit du jeune homme, il n’avait plus son casque, pourtant, il ne souffrait pas du manque d’oxygène. Mais c’était pas le moment de se poser des question, son temps lui était compté…
Alex courut le plus vite possible, ses muscles lui faisaient mal, mais il diminua pas sa vitesse.
Au bout de quelques mètres, il arriva devant un hic, Alex se trouva devant la parois du cratère.
Il devait le remonter, alors s’aida de sa lance pour escalader la parois.
Cela lui prit plusieurs minutes pour grimper complètement le cratère. Puis Alex courut de nouveau et au bout de plusieurs minutes, il arriva au bord du canyon.
Le portail s’était encore rétrécie de plusieurs mètres, Alex devait encore descendre la parois du canyon.
Alex réfléchit comment il pouvait descendre, au bout de plusieurs minutes, il eut une idée. Un peu risquer, mais c’était à tenter… Mais il n’avait pas d’autre solution…
Il planta la lance dans le sol, par le pic, il regarda son avant-bras, il rechercha un bouton… Le jeune homme le trouva…
Alex pointa son avant-bras vers le sol et appuya sur le bouton, le grappin fut alors projeter et le piton s’accrocha au sol.
Alex récupéra sa lance, puis s’élança dans le vide, le câble se déroula sur plusieurs mètres, puis se stoppa dans un bruit métallique.
Il était encore à une bonne centaine de mètres du sol, il savait ce qu’il lui rester à faire…
De son autre main, Alex coupa le câble et il fit une chute vertigineuse…
Alex se concentra encore pour faire apparaître la bulle protectrice, au bout de quelques seconde, il y arriva.
Le choc de l’atterrissage fut d’une violence forte, mais rien en comparaison de l’autre atterrissage.
Alex leva la tête et ne vit pas le portail, mais le soleil lui tapa sur la tête, il savait qu’il lui faudrait des heures pour l’atteindre, à conduction de courir et de couper au maximum, il espéré qu’il soit encore là quand il serait arriver…
Le jeune homme devait ne pas perdre la moindre seconde, il courut
comme un dératé.
Chaque mouvements lui faisait mal, mais toutes ses pensés se dirigeaient vers Marlène, c’était son unique source d’énergie.
Après environ trente minutes de course, Alex entendit des bruits venant du ciel… Il s’immobilisa, il transpirer déjà à grosses gouttes, le visage rouge, il leva la tête.
C’était la chauve-souris de l’autre fois, Alex la reconnue grâce son aile trouée.
Il n’avait vraiment pas de temps à perdre, il serra le poing, il attendit qu’elle vienne vers lui…
Alors que Alex sentit son cœur cogné dans sa poitrine, la sueur dégoulinant de partout, il était essouffler. Il sentit son pouvoir de nouveau circuler dans ses veines, alors que son sang palpita. La chauve-souris commença à piquer vers lui…
C’est que Alex avait attendu, il leva une main au ciel, la créature se trouva à quelques mètres de lui, arrivant à toute vitesse.
Mais soudainement, la chauve-souris fut comme serrer par une force invisible, puis chuta, s’écrasant sur le sol, à une centaine de mètres d’Alex.
Puis Alex continua sa route en courant, devant lui se trouvait les sables mouvants qu’il connaissait bien.
Ils les évita, puis continua sa course, il lui fallait des longues minutes pour arriver aux rochers pointus.
Après environ quarante minutes de course, Alex arriva à destination.
Il s’arrêta quelques secondes, de plus en plus essouffler, le temps de réfléchir à comment couper, il devait gagner un maximum de temps. Car le jeune homme savait que le portail allait bientôt disparaître…
Sa décision était prise, en coupant à plein milieu des rochers, cela lui ferrait gagner environ deux heures. Mais une question se posa, est-ce que l’armée des Omégaliens serait encore là ?
Et si c’était le cas, Alex serait dans un véritable bourbier…
Alex reprit sa courses, sans rencontrer de danger… Puis quelques minutes à traverser les rochers, il y était enfin…
À moins d’une centaine de mètre de lui, se trouvait le portail, du portail, moins ce qu’il en rester…
Celui-ci avait presque disparu, à tel point, qu’il était très haut dans le ciel…
Mais soudainement, Alex entendit quelque chose sous la terre, quelque chose qui approcha…
Alex serra sa lance, il sentit le danger, les bruits devenait de plus en plus fort.
Puis subitement, quelque chose sortit de sous la terre, plus précisément du sable, celui-ci fut alors projeter partout dans les airs.
Mais le jeune homme vit alors que la chose qui sortit de la terre, n’était en réalité plus d’une…
Ils étaient une trentaine, de la taille d’un chiot, poilus, blanc… Mais surtout, ils ressemblaient à des araignées géantes.
Alex était phobique de ces bestioles, mais il n’avait pas le temps à perdre avec elles.
Les créatures aranéides se mirent à encercler le jeune homme, celui-ci décida d’attaquer, il ne voulait leur laisser le temps d’agir.
D’un coup de lance rapide, Alex transperça l’une des araignées, puis il fit de même avec deux autres. Trois autres créatures lui sautaient dessus, celui-ci les coupaient en deux, d’un seul coup de lance, avant qu’elles n’arrivent à sa porter.
Alex tournoya dans tous les sens, telle la reine, puis planta sa lance sur des créatures, la clouant sur le sol.
Puis fit encore une pirouette, tournant dans un autre sens et planta deux autres araignées. Il répéta les mêmes gestes pour en tuer trois autres.
Mais Alex commença à s’épuiser, il utilisa son pouvoir pour en faire voler une dizaine.
Mais c’était tout ce qu’il pouvait faire… La fatigue le submergea, la sueur coula à flot.
Les créatures fonçaient toute en même temps sur Alex, qui balaya le sol de sa lance, il en trancha plusieurs, mais certaines, parvenait à s’accrochait sur son armure…
La panique l’envahis, c’était le pire qui pouvait lui arriver, c’était ce qu’il redouter le plus…
Alex planta sa lance sur le sol, il commença à arracher les créatures de son armure. Mais elle était vraiment nombreuses, elles commençaient à grimper le long de son armure…
Alors subitement, le jeune homme se mit à se rouler sur le sol, tentant d’en écraser le maximum. Mais il ne parvint qu’en tuer que deux ou trois.
Alors Alex roula encore, écrasant une ou deux autres araignées. Mais les autres tenaient bon.
Alex se relava d’un bond, il tenta d’arracher encore d’autres créatures, mais les autres grimpaient encore un peu plus…
Il fallait qu’il trouve le moyen d’en finir avec elles, il n’avait plus de temps à perdre… C’est alors que le jeune homme vit sa lance, et il eut une idée…
Il prit sa lance et sa la planta du côté de la lame électrifiée, le courant électrique le grilla sur place dans un cri assourdissant, mais avait aussi pour effet de tuer toutes les créatures arachnides. Son corps fuma, les brûlures devaient être nomes, c’était la même chose pour la douleur, mais Alex sentit qu’il n’avait pas d’autres choix…
Ça y été, Alex avait réussit, il ne lui rester plus qu’à reprendre sa route et vite, il avait perdu bien trop de temps comme cela.
Alex continua sa route, mais au bout de quelques mètres, il s’arrêta, devant lui, se trouvait des morceaux de cadavres.
C’était tout ce qu’il resté de l’armée des Omégaliens, en y regardant de plus près, Alex remarqua des traces de pas se dirigeant vers les rochers.
Mais que c’était-il passé ? Alex n’avait pas le temps de réfléchir plus longtemps…
Mais au moment de se diriger vers le portail, un hurlement le stoppa, il se retourna et vit l’un des monstres l’ayant attaquer à son arrivé dans la dimension du chaos.
Alex vit du sang violet sur la massue du monstre, il comprit alors ce qui s’était passer…
L’armée des Omégaliens furent massacrer par les monstres primitifs, ceux qui avaient survécus aux massacre s’étaient échapper.
Cela avait dû se produire au moment où le portail avait commencer à disparaître. Les monstres primitifs en avait profiter pour attaquer les Omégaliens bloquer…
Le monstre observa Alex, il sembla prêt à attaquer, mais il n’en fit rien…
Ce qui étonna drôlement Alex, mais y réfléchissant, dans le chemin du retour, il n’avait pas était attaquer. C’était sûrement dû à un certain respect qu’ils leur montrer ou d’une certaine crainte ?
Le monstre quitta les lieux sans rien dire, Alex se tourna vers le portail, comment l’atteindre ? Il ne lui resta que quelques minutes…
Il regarda la lance qu’il tenait dans sa main et une idée lui traversa la tête.
Jouer au saut à la perche, Alex recula de plusieurs mètres, afin de prendre de l’élan…
Alex se mit à courir, de plus en plus vite et au dernier moment, il planta sa lance dans le sol, il fut un bon spectaculaire.
Il lâcha sa lance, ses pieds vers l’avant, puis au moment où ils traversaient le portail, Alex fit appel à la télékinésie et sa lance fut arracher du sol. Pour atterrir dans sa main. Le portail disparu juste au moment où Alex le franchit…
Alex l’avait fait, cela lui sembla presque impossible de revenir de ce monde hostile…
Il le savait au moment même où il avait franchir le portail pour venir dans ce monde, mais par miracle, il venait de réussir l’impossible…
Maintenant, tout de ce qu’il devait faire, c’était d’espéré que les Omégaliens de l’autre côté du portail ne seraient pas très nombreux…
EPISODE XVII
En mauvaise posture
Il y avait des corps d’Omégaliens partout dans la cave, le portail avait diminué de moitié sa taille. Alex devait avoir réussit, mais où était-il passé ?
Marlène n’en avait aucune idée, tout ce qu’elle savait c’était que les générateurs de portail étaient détruits, que Alex avait réussi sa mission. Le portail allait bientôt disparaître.
Il ne resté plus qu’à tuer les Omégaliens encore sur Terre et tout serait fini…
Marlène ne pouvait pas rester dans la cave plus longtemps, il n’y avait plus d’aliens qui traversaient le portail. Il fallait qu’elle remonte aider les autres.
Cela la gêna, car cela équivalait à ne pas savoir si Alex aller revenir ou pas…
Mais la jeune femme n’avait pas le choix, elle le savait, les autres avaient besoin d’elle.
Marlène regarda le portail une dernière fois avec espoir, mais la seule qu’elle constata que celui-ci avait encore bien diminuer, puis remonta les escaliers menant à l’extérieur.
Une des premières choses qu’elle sentit était la baisse de la température, ce qui signifier qu’il était dans les dix-huit heures passés. Marlène
La jeune femme remarqua une trentaine de nouveaux corps jonchant le sol. La plupart, des soldats…
Elle fit révulser par ce qu’elle voyait, il fallait que cela cesse. Marlène courrait pour tenter de trouver et tuer les derniers Omégaliens.
La jeune femme regarda de tous côtés afin de savoir s’ils étaient pas cacher quelque part… Mais rien…
Marlène avançait lentement, prudente, puis au bout de quelques minutes à avancer sans trouver personne… Que ça soit un survivant ou un extraterrestre, elle se demanda où pouvaient-ils bien être ? Ils ne pouvaient pas être tous mort ?
Puis une chose frappa Marlène, où pouvait bien être LaDur ? Pas mort, ce n’était pas possible ?
Marlène se rappela l’a voir vue courir comme un dératé pour faire diversion, mais où ? Elle n’en avait aucune idée…
Marlène commença à remonter la rue à la recherche d’une trace menant à LaDur. Tour ce qu’elle vit étaient des corps d’Alien ou de soldats ou bien de policiers…
Soudainement, un flash vint à Marlène, elle revoyait LaDur se diriger à sa gauche au moment où elle partit vers le Geek Island.
Quelque part… Vers… Les boutiques ! Se dit-elle.
Alors la jeune femme courra vers les boutique, elle commença également à crier « LADUR !» Mais sans avoir de réponse…
Par conséquent, Marlène continua ses recherches vers les petits commerces.
Au bout d’un moment, elle entendit un crament, elle s’immobilisa pour localiser le bruit.
C’était une petite pharmacie que Marlène connaissait bien, pour y être aller plusieurs fois.
La jeune femme courut vers sa direction, puis au bout quelques mètres, Marlène entendit des coups de feu, plus précisément, des lasers…
Marlène accéléra le pas, son cœur battant la chamade, au bout de quelques secondes, elle fut devant l’entrée de la pharmacie.
Celle-ci était complètement détruite, des morceaux de vitres joncher le sol.
Marlène tenait le bouton de tir de son bras-canon, avançant prudemment à l’intérieur du commerce…
Elle regardant à droite et à gauche, sans rien voir, elle continua de progresser, quand soudainement, elle tendit d’autre tirs de laser…
Marlène se précipita vers la directions des bruits, prête à faire feu à tout moment…
Au moment où elle arriva devant les comptoirs, elle vit les cadavres de plusieurs Omégaliens…
Leurs corps fumaient encore, subitement, LaDur sortit de derrière la caisse.
Marlène cria à cause de la surprise, puis au bout d’une seconde, elle baissa son arme, soulager.
– Marlène ! Hurla LaDur soulagé lui aussi.
– Vous sain et sauf… Lui répondit la jeune femme les larmes aux yeux.
– Oui, j’ai eu de la chance… Au fait, vous avez réussis ce que vous vouliez faire ?
– Oui…
Marlène raconta ce qu’elle avait fait et également elle lui parla du portail. Sa réaction fut alors immédiate, il cria de joie. Puis après quelques secondes de silence, il dit avec inquiétude dans la voix :
– Il doit en rester dehors, il faut être prudent !
– Vous avez raison, confirma Marlène.
C’est à ce moment que des bruits de pas se firent entendre, Marlène se retourna et vit trois Omégaliens.
Ils tiraient en même temps, Marlène n’eut pas le temps de réagir, elle fut toucher au bras-canon, des arcs électriques en jaillissaient. Elle tomba au sol, LaDur tira à son tour, il parvint à abattre un, mais l’autre lui tira dessus, le touchant à l’épaule.
Il tomba derrière le comptoir, Marlène se releva d’un bon et ramassa de son autre main le fusil du cadavre de l’Omégalien.
Elle abattit les deux autres, puis elle sauta par dessus le comptoir, en regardant le sang qui coula de l’épaule de LaDur, le visage de Marlène perdit sa couleur.
– Vous saignez beaucoup ! S’écria Marlène.
– Je sais… Répondit LaDur d’un ton faible.
– Il faut stopper le saignement !
– Les… Autres vont débarquer ! On ne peut rester ici !
– Il faut vous soignez !
– Mais… Les aliens !
Marlène resta silencieuse quelques secondes pour réfléchir à la meilleure choses à faire.
Après quelques secondes de réflexion, elle mit le fusil sur son dos en le passant sous sa cape, puis elle attrapa LaDur par son col de son uniforme.
Marlène le traîna jusqu’à l’arrière boutique, se trouvant à quelques mètres du comptoir.
Une fois arrivé à destination, Marlène lâcha LaDur, elle regardant autour d’elle pour trouver de quoi le soigner. Les lieux étaient petits, étroit même.
Après quelques minutes de recherche, Marlène revint vers LaDur, dont le sang coula à flot.
Il fallait qu’elle se débarrasse de son canon cassé pour soigner le policier, heureusement, il y avait un bouton. Elle appuya dessus, le canon tomba au sol dans un bruit sourd.
Cela prit alors plusieurs longues minutes pour Marlène de prodiguer les premiers soins à Ladur, d’autant qu’elle y connaissait presque rien…
– Merci… On fait quoi maintenant ? Demanda LaDur toujours aussi faible.
– Vous restez cachez ! Répondit la jeune femme d’un ton stresser.
– Et vous ?
– Je vais restez avec vous ! Je vous ne laisserez pas !
– Mais votre canon ? Il est pas foutu ?
– Si mais j’ai un fusil et je vais me poster derrière le comptoir, c’est une bonne position !
– Mais…
Marlène interrompit LaDur, en se tournant vers lui et dit d’un ton décider :
– C’est vous qui m’avez tous appris !
Marlène quitta la pièce et arriva derrière le comptoir.
Elle s’allongea, elle mit un coup de poing au travers celui-ci.
Marlène sortit son poing du trou, celui-ci était suffisamment gros pour placer le canon de son arme. La jeune femme était prête…
Mais pendant plusieurs longues minutes, rien ne se passa…
Marlène garda le doigt serrer sur la détente, des tas de pensés s’insinuaient en elle, notamment l’image d’Alex, la jeune femme ne pouvait pas s’empêcher d’espérer qu’il revienne.
Elle pense à ses parents, bien à l’abri en ce moment, elle espéré que les choses reste comme cela.
Il fallait que la jeune femme s’en sorte, il fallait qu’elle réussisse à tuer ces créatures, pour éviter le pire…
Mais au fond d’elle-même, Marlène savait qu’elle avait qu’une petite chance d’y arriver… Seule face à peut-être une trentaine, voire plus d’extraterrestres…
Plusieurs minutes passaient, sans que rien n’arrivait, pas la moindre trace d’extraterrestres.
Soudainement, des bruits de pas se firent entendre, Marlène serra la détente de son fusil…
Cinq Omégaliens entrèrent dans la pharmacie, s’approchant lentement, Marlène attendit qu’il soient suffisamment proche pour tirer…
La seconde qui suivit, il eut une détonation, Marlène tira, l’un des aliens fut toucher sur le bas du corps, il tomba lourdement au sol.
Avant même qu’ils puissent faire quoi ce soit, deux autres furent toucher par des lasers.
À peine avaient-il toucher le sol, les deux autres tiraient dans la direction de Marlène. Leurs projectiles traversaient le comptoir, mais sans toucher la jeune femme.
Marlène roula sur le côté, puis se leva d’un bon, tirant en rafle, tuant les deux autres Omégaliens.
Elle se cacha de nouveau, se demandant combien était encore les créatures ? La jeune femme savait qu’elle ne pourrait pas rester derrière ce comptoir trop longtemps…
Mais elle ne pouvait se résoudre de quitter LaDur, d’un seul coup, Marlène entendit de nouveaux bruits de pas… Bien plus nombreux…
Une dizaine d’Omégaliens débarquaient dans la pharmacie, ils tirèrent en rafale sur le comptoir. Les lasers transperçaient de toute part le comptoir, comme du gruyère.
Par miracle, Marlène ne fut pas toucher.
Elle attendit que les tirs cesse, pour sortir de derrière le comptoir et tirer en rafale.
Elle parvint à tuer deux Omégaliens, mais dû s’abaisser pour éviter une pluie de lasers.
Marlène se colla dos au comptoir, entendit les extraterrestre s’approchait d’elle… Elle sortit et tira encore, abattant un autre, mais il eut un cliquetis signifiant qu’elle n’avait plus de munition… Alors elle s’abaissa d’un seul coup, évitant plusieurs tirs.
Cette fois Marlène le savait, elle était fichu, les Omégaliens allaient l’achever…
Et Alex ? Que était-il devenu ? Mort sûrement… À cette pensé, Marlène sentit des larmes lui coulaient sur sa joue.
Les extraterrestres s’approchaient lentement du comptoir, prudent, mais voyant qu’ils ne reçurent pas d’autres tirs, accélérant le pas.
L’un d’eux prit des deux mains le comptoir et le souleva du sol et le balança. Le meuble retomba avec fracas sur le sol.
Marlène était à découvert, à la merci de ses ennemis, les Omégaliens la viser, ils étaient sur le point de tirer…
La jeune femme recula lentement, leva les mains, elle trembla de peur. Peut-être qu’elle ne souffrirait pas ?
C’est au moment où l’Omégalien allait tirer, que quelque chose d’incroyable se produisit…
Toutes les créatures devant Marlène furent propulser dans les airs, celui qui s’apprêter à tirer, fut également propulser, mais il passa par-dessus la jeune femme.
Celle-ci resta bouche-bée, ne comprenant pas ce qui se passa…
Puis après quelques secondes d’incompréhension, Marlène vit que quelqu’un se trouver au seuil de ce qui resté de l’entrée de la pharmacie…
Quelqu’un qu’elle ne pensa plus revoir… C’est à peine si elle le reconnut.
Son armure était bien endommagée, lui aussi d’ailleurs… Son nez était cassé et son visage avait l’air fatiguer.
Il était armé d’une étrange lance, Marlène ne comprit rien, ce ne pouvait-être vrai ?
Mais quand elle vit Alex entrer dans la pharmacie, qu’il lui souriait avec des larmes aux yeux, elle savait que c’était vrai !
Marlène était sur le bord de l’évanouissement, elle avait du mal à supporter toutes ses émotions…
Mais la jeune femme se reprit, elle voulait se jeter sur le cou du jeune homme, mais elle avait les jambes en coton, il lui était impossible de faire le moindre mouvement.
Alex s’approcha d’elle doucement, planta sa lance au sol et une fois arriver suffisamment près d’elle, l’attrapa par la taille et l’embrassa tendrement.
EPISODE XVIII
Un retour inattendu
Alex était bel et bien de retour, plus personne n’y croyait vraiment, mais ils se trompaient…
Il était dans les bras de Marlène, qui pleurait à chaude larme, lui-même avait les larmes aux yeux, l’émotion était à son paroxysme.
Après plusieurs minutes d’étreinte, Alex relâcha la jeune femme, puis demanda d’un ton inquiet :
– Où est passé LaDur ?
– Juste ici ! répondit l’intéressé, dont la voix résonna vers l’arrière boutique.
Alex fut soulager, Marlène se tourna vers lui et demanda soucieuse :
– Et pour le portail ?
– Il a disparu, répondit Alex le sourire aux lèvres.
Il eut quelques secondes de silence, puis Alex reprit la parole :
– Bon, je te laisse ici, j’en aurai pour pas longtemps…
– Tu vas où ? demanda Marlène inquiète.
– Il faut en finir avec ces créatures ! répondit l’intéressé.
– Mais t’es fou, ils sont sûrement encore une bonne trentaine dehors et toi tu es seul !
– T’inquiète pas, il reste quelques policiers et soldats encore vivants.
Alex donna un bisous à Marlène et fit volte-face, il récupéra sa lance et se dirigea vers l’extérieur.
Il serra sa lance et franchit l’entrée, alors que Marlène le regarda partir sans un mot.
Une fois un pied à l’extérieur, Alex sentit les premiers rayson orangés du soleil sur son visage, le jeune homme vit une trentaine d’Omégaliens lui arrivaient dessus… Comme l’avait prédit Marlène…
Alex avait un plan, qu’il avait mis en place avec les policiers et les soldats.
Il courait vers le sud, poursuivit pas les Omégaliens, comme il l’avait prévu.
Une fois arrivait au bout de la rue, il eut des tirs, mais opposé à Alex. C’était les policiers et les soldats, comme prévu, ils se tenaient caché derrière l’angle d’un immeuble.
Seulement, il se passa une chose que Alex n’avait pas prévu, les Omégaliens se séparèrent en deux.
La moitié d’entre eux fonçaient sur les hommes et femmes en uniforme et l’autre sur lui.
La bataille finale commença, il fallait que les humains l’emporte, sinon, Soissons risquerait de subir une attaque nucléaire…
Alex se retrouva à combattre une quinzaine d’extraterrestres, ils l’encerclait…
Alex tenait sa lance prêt à embrocher le premier Omégalien se trouvant sur sa route.
Il activa sa bulle de protection, seulement il n’était pas sûr qu’elle tiendrait face à autant d’ennemis… Cela dépendrait de sa résistance mental…
Les Omégaliens tiraient tous en même temps, à chaque impact de laser, Alex sentit comme des coups de poignards directement dans son cerveau.
Mais résister, il fallait qu’il résiste, le jeune homme fonça sur ses ennemis avec un cri rageur.
Plusieurs tirs passaient au dessus de la tête d’Alex, celui-ci arriva devant l’une des créatures.
Il l’embrocha sans que celui-ci en puisse rien faire, retira sa lance de son corps, et fit une pirouette pour en transpercer un deuxième.
Puis il reçu de plein fouet plusieurs tirs, les lasers s’écrasaient sur sa bulle.
Alex commença à faiblir, s’il continuait à subir des tirs comme cela, sa bulle ne résisterai pas longtemps…
Alex effectua quelques pirouette supplémentaire, d’une agilité incroyable, malgré son armure et embrocha, trancha, transperça plusieurs Omégaliens.
La fatigue commença à se faire sentir, ce qui n’a rangea rien à sa bulle…
Les tirs étaient de plus en plus précis et chaque nouveau impact était comme un nouveau coup de poignard.
Plus la fatigue étant de plus en plus forte, les coups de lance d’Alex était de moins en moins précis. Il commençait à rater ses cibles.
La sueur dégoulina partout sur son corps, Alex parvint à tuer deux autres Omégaliens, puis il s’arrêta net.
Ils étaient trop nombreux pour lui, son cœur cogna dans sa poitrine, son souffle devint plus en plus fort.
Alex avait même du mal à respirer, il planta sa lance sur le sol, les extraterrestres tiraient tous en même temps.
La bulle allait bientôt céder, mais une chose encore plus terrible se produisit, les cris et les tirs des humains se stopper…
Alors que le nombre d’alien face à Alex était déjà énorme, mais une dizaine d’autres venaient en renfort.
Cette fois Alex se retrouva seul, il était fichu, sa bulle ne résisterait pas à une vingtaines d’Omégaliens…
Ils tiraient en rafale, Alex commençait à saigner du nez, tellement qu’il se trouvait à bout de souffle…
C’est à cet instant que sa bulle éclata, Alex fut alors projeter par l’onde psychique qui en résulta.
Il tomba au sol, les Omégaliens commençaient à l’encercler pour l’achever…
Alex se releva doucement, il poussa un cri rageur, laissant exploser le reste de son pouvoir.
Certains Omégaliens furent alors projeter par l’onde psychique, mais cela était loin d’être suffisant.
C’était de la poudre aux yeux, une dernière action avec de mourir…
Les créatures allaient achever le jeune homme, quand soudainement, un cri résonna dans la rue.
Le cri d’une jeune femme, hurlant le nom d’Alex, celui-ci tourna la tête dans sa direction… Et Marlène, arme à la main courant vers lui…
Alex en était bouche-bée, cette jeune femme était folle, elle se ferait tuer.
Les Omégaliens se retournèrent tous en même temps, les tirs fusaient vers la jeune femme…
Elle fit des roulade pour éviter les lasers et répliqua, elle tua deux autres Omégaliens.
Mais ceux qui restaient tiraient en rafale, Alex voyant sa hurla :
– NOOOOOOOOOOON !!!
Il sentit une nouvelle énergie circuler dans ses veines, il tendit son bras vers Marlène, le jeune homme devait la protéger…
Au moment où des tirs allaient la toucher, ils furent écraser pas quelque l’entourant…
C’était une bulle de protection, celle-ci fut très surprise, la jeune femme ne sembla pas comprendre ce qui se passa…
Mais cela ne lui empêcha pas de tirer sur les créatures, elle parvint à en tuer trois autres.
Alex en profita pour récupérer sa lance et se mit à courir dans la mêlée, il transperça un ennemi en pleine tête, alors que celui-ci était retourner, occupé à tirer.
Le sang violet gicla, Alex retira sa lance, l’Omégalien tomba au sol lourdement.
Le combat faisait rage depuis des longues minutes, mais bientôt, Marlène et Alex se retrouverait en difficulté…
La fatigue allait bientôt les submerger, les Omégaliens étaient toujours bien plus nombreux qu’eux…
De plus Marlène allait bientôt manquer de munition, Alex sentit ses forces l’abandonner…
La bulle de Marlène allait bientôt céder, car Alex était épuisé, à bout…
Cette fois les choses étaient bien terminer…
Marlène et Alex tenta de fuir, mais ils avaient du mal à éviter les tirs ennemis.
Les Omégaliens les encerclaient de nouveau, ils n’avaient plus aucune échappatoire…
C’est alors que des cris rageurs se firent entendre, ils semblaient venir de nulle part…
Alex et Marlène tournèrent la tête ensemble et virent, non pas des personnes en uniforme, mais des civiles… Ils étaient une cinquantaine…
Courant vers eux, certains armé de fusils lasers, trouver sûrement sur la route, d’autres de battes, de fourches, de club de golfes…
C’était inespéré, ces gens étaient censés être confiner chez eux, mais leur volonté de défendre la Terre était la plus forte.
Alex sentit une nouvelle énergie circuler de nouveau dans son corps, un regain de volonté !
Il fallait qu’il les protèges tous, ces braves gens n’étaient pas protéger, surtout que la plupart ne pourraient pas faire grand chose avec leurs armes.
La quantité d’énergie pour protéger tout le monde serait tellement grande, qui n’en resterait plus assez pour Alex. Mais il s’en ficher… Le plus important pour lui, était les autres.
Il se concentra intensément et sentit son énergie se vider totalement, le reste son pouvoir devait être parfaitement répartit entre tous les personnes…
Et la seconde qui suivit, une bulle de protection apparue alors autour de chaque personnes. Les projectiles lasers s’écraser contre elles, les Soissonnais entrèrent dans la mêlée dans un fracas assourdissant.
Les coups de battes, de club de golf, de pioches retentirent dans la rue.
Les armes contondantes parvenaient à peine à faire des micros-fissures aux casques des Omégaliens…
Mais les tirs de lasers tua trois ou quatre extraterrestres.
Alex qui était vider de tous ses pouvoirs, se battait comme il pouvait, tuant un maximum d’Omégaliens.
Il en transperça plusieurs avec sa lance, dont la lame électrifiée se refléta dans les rayons du soleil qui se coucher. Donnant un spectacle à la fois beau et horrible. Il en décapita deux, leurs têtes volèrent sur une vingtaine de mètres, le jeune homme tournoya dans tous les sens pour éviter les tirs. Telle la reine.
Marlène jeta son fusil qui n’avait plus de munition, et en prit un autre se trouvant près d’un cadavre d’Omégalien.
– RAMASSEZ LES FUSILS ! Hurla Alex en s’en faire décoller les poumons.
C’est que firent les civils et ils se mirent à tirer en rafales sur les créatures, les tuant l’un après les autres…
La bataille était presque finie, les Omégaliens encore vivant, reculèrent de plus en plus, submerger par le surnombre des humains.
Il eut encore quelques tires, mais bientôt les bruits se stoppaient complètement… C’était enfin terminer, c’était la victoire des humains.
Une victoire collective, dans l’énergie du désespoir.
…
C’était le début de la nuit quand tous les secours étaient arrivaient sur les lieux, ainsi que les véhicules des morgues, de ceux du journal télé.
Et pour ce qui était des morts, ils étaient nombreux, que ça soit ceux des soldats, des policiers ou même ceux des Omégaliens…
Alex, Marlène et LaDur étaient en train de se faire examiner par des médecins.
Alex et Marlène avait dû retirer leurs armures, Marlène avait des bandages coloré de rouge, ses blessures s’étaient ré-ouvertes lors de ses nombres combats… D’ailleurs celle-ci était allongé sur un brancard, les médecins craignaient qu’elle perde connaissance avec le sang qu’elle avait perdu.
Les blessures d’Alex étaient surtout interne, ses muscles, ses tendons étaient déchirer.
– Mon cœur tu es dans un sale état, s’inquiéta Marlène d’une voix faible à cause de sa fatigue.
– Toi aussi bébé, on vas se faire soigner et après on pourra dormir tranquillement, répondit Alex dont la voix était également faible.
Alex et Marlène se tenait la main, ils se tenaient côte à côte, à plein milieu de la rue.
– Au fait… Je ne vous ais pas remercier… dit LaDur dont la voix était tout aussi faible.
Le policier était entrain de se faire soigner par un médecin, il était allongé dans une ambulance. Celle-ci se trouvé non loin d’Alex et de Marlène.
– Pas la peine, pensez à vous faire bien soigner, répondit Alex surprit par les propos du commissaire.
Après que Alex eut terminer ses soins, il ressemblait littéralement à une momie avec ses bandages. Il se leva et alla vers LaDur.
Il lui serra la main en souriant, celui-ci fut également surpris par ce geste. L’homme d’une quarantaine d’années lui rendit son sourire.
Puis Alex sortit de son ambulance, les portes de celle-ci se referma et elle démarra.
Petit à petit, les corps furent enlever des lieux, seule quelques ambulance restaient sur place et les journalistes de la télévision.
Et également une poignée des personnes qui étaient venus en aide à Alex et à Marlène.
Ils venaient à la rencontre d’Alex le sourire aux lèvres, lui serrant chaleureusement la main, ainsi qu’à Marlène.
Celui-ci ne sût comment réagir, il était très gêner, c’était la même chose pour Marlène.
Soudainement, des journalistes venaient à leur tour, non pas pour lui serrer la main, mais pour l’interroger, évidement…
– Monsieur… Comment déjà ? Demanda une femme micro à la main.
– Alexandre Duval, répondit Alex gêné.
– Très bien, avez-vous un commentaire à faire ? Vous venez tout de même de sauver le monde !
– Heuuuu…. hésita Alex.
– Vous n’avez pas de chose à dire aux téléspectateurs du monde entier ?
Alex regarda la caméra pointer sur lui, il sentit ses joues devenir encore plus rouges.
Après plusieurs secondes de silence gênant, il répondit :
– Bah… Bonsoir à tous…
C’était les seules mots qui sortirent de sa bouche, la journaliste le regarda avec un mélange d’incompréhension et d’amusement.
Puis elle se tourna vers le cameraman et commença à parler aux téléspectateurs. Mais Alex ne l’écouter pas, il se tourna vers sa petite-amie, la regardant avec amour… Ils étaient enfin réunis et cela n’était pas gagner…
Mais pour Alex, l’essentiel, c’était d’être près de celle qu’il aimé…
Marlène lui rendit un regard de braise.
– Bébé, il y a une chose que j’aimerai te dire, dit Marlène.
– Quoi ? demanda l’intéressé.
– Je t’aime !
Alex ne sût pas quoi répondre, il était sous le choque de ses mots, il sentit une larme lui coulait sur la joue. Il sourit à Marlène, qui lui rendit son sourire.
Bientôt la rue serait complètement déserte, Alex et Marlène seraient envoyer à l’hôpital.
Ils leurs fraudaient plusieurs semaines pour se remettre de leurs blessures…
La ville de Soissons, quant à elle, lui faudrait plusieurs mois, pour être de nouveau sur pied…
Cette petite ville, connue par peu de personne, a été le théâtre d’un spectacle terrible.
Le monde à faillit disparaître ce jour là, et le monde se rappellera de celle et celui qui l’on sauver…
Bien que le jeune homme appeler Alexandre Duval ne souhaiter pas du tous ces honneurs.
Pour lui, une vie simple et sans soucis était ce qu’il y avait de mieux. Mais malheureusement pour lui, ce ne serait plus le cas maintenant.
Épilogue
Les semaines passaient pendant les quelles Alex et Marlène furent soigner à l’hôpital…
Alex lui de son côté, il avait des bandages de partout, mais surtout, il avait une atèle sur son nez cassé, ce qui lui donner une drôle de voix.
Marlène, en ce qui la concerner, était également recouverte de bandages.
Pendant leur séjour là-bas, ils étaient aller voir beaucoup de fois LaDur dans sa chambre personnelle.
Celui-ci se remettait doucement de sa blessure, mais grâce à l’intervention de Marlène, il avait éviter le pire.
Une fois sorti, ils décidèrent d’aller rendre visite à une personne qui leur était cher… Une personne sans qui leur rencontre n’aurait pas eu lieu…
Le soleil se coucha lentement, ses rayons orangés venaient se refléter sur la tombe en granit de Francine.
Alex et Marlène se tenant devant, main dans la main, ils étaient encore recouvert de bandages.
Ils se recueillaient en silence pendant plusieurs minutes, puis Marlène prit la parole en se tournant vers Alex et demanda :
– Dis chérie ? Tu penses qu’elle savait ce qu’il y avait entre nous deux ?
Alex surprit par cette question, regarda Marlène d’un air intrigué et répondit :
– Bah oui…
– Non, je veux dire, quand elle t’as embauché, elle savait ce que tu ressentais pour moi et c’est pour cela qu’elle accepter de te prendre ?
– C’est possible, ça expliquerait pas mal de chose…
Ils restaient silencieux encore plusieurs secondes, puis Alex demanda :
– Tu vas faire quoi maintenant ?
– De quoi tu veux parler ? demanda Marlène intriguée par cette question.
– Maintenant qu’il y a plus de magasin ?
– Ah oui… aucune idée…
Il eut un nouveau silence de quelques secondes, puis Marlène reprit :
– Bon, si on y aller, j’ai jamais aimé les cimetières ?
– OK…
Les deux amoureux quittèrent le cimetières, main dans la main. Ils empruntèrent le trottoir, puis ils se dirigeaient vers le centre-ville.
Au bout d’un moment de marche, Marlène demanda d’un ton intrigué :
– Au fait, il y a quelque chose qui intrigue…
Alex sursauta, le jeune homme était perdu dans ses pensés, il répondit :
– Vas-y.
– Ça concerne l’armure, je me demandais comment cela fait que j’ai eu tous les souvenirs de la créature qui la porter ?
Alex ne répondit pas tout de suite, il réfléchit quelques secondes, puis il eut un flash et répondit d’une voix excité :
– Aaaah, ça explique tout !
C’était au tour de Marlène de sursauté, Alex s’excusa et dit :
– La même chose m’ais arrivé, j’ai eu tous ses souvenirs de l’alien dont j’ai pris l’armure…
– Oui, c’est bien ce que je pensé, je me demandais pourquoi tu m’en avais pas parler ?
– Je ne voulais pas t’inquiéter, bref, je parie que le casque garde en mémoire tous les souvenirs de son porteur. Dès que quelqu’un touche le plastron, cette personne reçoit tous les souvenirs de son ancien propriétaire. Mais aussi ses capacités, qui reste graver dans la mémoire de chaque personne. La reine m’a dit que les Omégaliens n’étaient pas différents de nous au niveau biologique.
Marlène resta bouche-bée par ses explications, des moins étranges, pour ce qu’elle la concerner.
– C’est pour ça que je comprenais tous ce qu’ils disaient ! reprit Alex d’un ton jovial.
Ils marchaient depuis quelques minutes dans le silence, quand soudainement, Marlène demanda intrigué :
– Comment ça se fait que tu as pu entrer en communication télépathique avec moi, l’autre fois ?
– Hmmm ? répondit Alex, qui semblait songeur et après quelques secondes de réflexion, il répondit :
– C’est sûrement, que tous les deux on été très proches émotionnellement, du coup, quand j’étais sur le point de mourir, une connexion mental s’est ouverte entre nous à ce moment là.
Marlène sourit à Alex, elle sembla très heureuse de cette réponse.
Après plusieurs minutes de marche, les deux amoureux avaient remonter tout le trottoir et étaient arriver devant un tournant.
– Et maintenant on fait quoi ? demanda Marlène.
Alex la regarda droit dans les yeux et répondit simplement :
– Et si on rentré à la maison ?
FIN
1Sabre Japonais
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